lundi 27 mai 2013

La première esclave d’Hollywood sous contrôle de l’esprit

Le 21 mai 2013 par Vigilant Citizen, traduit par le Bistro Bar Blog
Marilyn Monroe est peut-être la figure la plus emblématique de la culture américaine et le sex- symbol le plus facilement identifiable de tous les temps. Cependant, derrière le sourire photogénique de Marilyn il y avait un individu fragile qui fut exploité et soumis à un contrôle de l’esprit par de puissants « maîtres »(= dresseurs). La première partie de cette série en deux épisodes va explorer la vie cachée de Marilyn, esclave Monarque d’Hollywood.
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Marilyn Monroe est le sex-symbol ultime, incarnant tout ce que représente Hollywood, glamour, tape-à-l’oeil et sex-appeal. Son personnage emblématique de blonde sensuelle a révolutionné pour toujours l’industrie du film et, à ce jour, influence grandement la culture populaire. Alors que Marilyn représente tout ce qui est glamour à Hollywood, la perturbante histoire de sa vie privée représente également tout le côté obscur d’Hollywood. Marilyn a été effectivement manipulée par des « médecins de l’esprit » de haut niveau qui contrôlèrent tous les aspects de sa vie et qui lui dérobèrent en fait son âme. Sa mort, à l’âge précoce de 36 ans est l’une des premières « mystérieuse mort d’une célébrité » de la culture populaire. Alors que de nombreux faits orientent vers un meurtre, sa mort est toujours classifiée comme « suicide probable ».
Pendant que de nombreux biographes expliquent les malheurs de Marilyn comme étant des « problèmes psychologiques », l’assemblage des faits de sa vie combiné avec la connaissance du côté obscur d’Hollywood révèle quelque chose d’encore plus sombre : Marilyn Monroe fut l’une des premières célébrités soumise au contrôle Monarque de l’esprit, une branche du programme MK ULTRA de la CIA (pour plus d’informations sur le sujet, lisez mon article intitulé « Origines et techniques du contrôle de l’esprit Monarque », traduit aussi par le BBB, voir ICI et ICI.) Par des traumas et un programme psychologique, Marilyn devint une marionnette de haut niveau pour l’élite de l’ombre, elle devint même le mannequin présidentiel de JFK.
Quand la programmation de Monroe perdit son pouvoir et qu’elle commença à sombrer, certains affirment qu’on l’a « jetée du train de la liberté », un terme MK ULTRA désignant des esclaves qui sont tuées quand elles ne sont plus utiles (et potentiellement dangereuses) à leurs maîtres.
La première partie de cette série d’articles va fouiller la vie et la carrière véritables de Monroe, une fillette solitaire dont la grande beauté devint une vraie malédiction.
Ses premières années
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Norma Jeane adolescente
Norma Jeane Mortenson eut une jeunesse difficile et instable. Elle ne connut jamais son père et sa mère était mentalement instable et incapable de prendre soin d’elle. Dans Mon Histoire, Monroe a écrit qu’elle se rappelle avoir vu sa mère « hurler et rire » pendant qu’on l’emmenait de force à l’hôpital.

À l’âge de 11 ans, Norma Jeane fut déclarée pupille de l’état. Elle passa sa jeunesse dans 11 familles d’accueil au total; quand il n’y avait pas de foyer d’accueil disponible, elle atterrissait parfois dans un orphelinat de Los Angeles. Comme si le fait de passer d’une famille d’accueil à une autre n’était pas assez difficile, Norma Jeane se rappelle avoir été durement traitée dans plusieurs d’entre elles. Pire encore, elle fut violée dans au moins trois d’entre elles.
Par exemple, à l’âge de 11 ans, Norma Jeane fut adoptée par la meilleure amie de sa mère, Grace McKee et son nouveau mari, Ervin Silliman « Doc » Goddard. C’est là que « Doc » lui fit subir des agressions sexuelles à répétition, qui obligèrent Norma Jeane à partir. Dans un autre cas, quand elle était au collège, Norma Jeane fut envoyée dans la maison de sa grand-tante à Compton en Californie. C’est là que l’un des fils de sa grand-tante la viola, l’obligeant une nouvelle fois à partir. Voici un autre récit de maltraitance :
« Elle a dit avoir été fouettée par la mère d’une famille d’accueil pour avoir touché « une partie sale » de son corps. Un autre accident plus sérieux arriva quand elle eut huit ans. Un soir un pensionnaire qu’elle nomme M. Kimmel (Marilyn révéla plus tard que ce n’était pas son vrai nom) lui demanda de venir dans sa chambre et il verrouilla la porte derrière elle. Il l’entoura de ses bras. Elle lui donna des coups de pied et se débattit. Il fit ce qu’il voulait, lui disant d’être une gentille fille. (dans une interview ultérieure, Marilyn déclara que la maltraitance consistait en attouchements.)
Quand il la laissa partir, il lui tendit une pièce de monnaie et lui dit de s’acheter une glace. Elle lui jeta la pièce à la figure et courut raconter à sa mère adoptive ce qui s’était passé, mais la femme ne voulut pas l’écouter.
« Tu n’as pas honte », lui dit sa mère adoptive, « M. Kimmel est mon meilleur pensionnaire.
Norma Jeane alla dans sa chambre et pleura toute la nuit.
Marilyn disait qu’elle se sentait sale et qu’elle avait dû prendre des bains pendant plusieurs jours pour se sentir propre. Des tentatives répétées de ce genre, vouloir se sentir propre avec des douches ou des bains sont des comportements typiques des victimes d’agression sexuelle.
Marilyn disait qu’elle commença à bégayer après l’incident et que cela la reprenait pendant les périodes de stress. Quand elle raconta à un journaliste sa maltraitance, elle commença à bégayer.
Il est évident qu’elle fut une enfant maltraitée dont la précoce sexualisation entraîna un comportement inadéquat en tant qu’adulte.
- Daily Mail, « Le pull rouge magique qui transforma ‘Norma Jeane, le haricot vert’ en Marilyn Monroe »
La jeunesse instable et parfois traumatisante de Norma Jeane en fit une candidate parfaite pour le contrôle Monarque de l’esprit. Étant pupille de l’état, elle n’avait pas de famille stable.
« Certains enfants vivent dans des familles d’accueil, ou avec des parents adoptifs ou dans des orphelinats, ou avec des nourrices et des tuteurs. Comme ils sont à la merci d’adultes non identifiables, des enfants de ce genre sont fréquemment vendus à des agences de renseignement pour devenir des esclaves contrôlés psychiquement. »
- Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave (La recette des Illuminati pour créer un esclave sous contrôle psychique)
Le contexte de vie de Norma Jeane en fit une cible de choix pour la Programmation Beta (connue aussi comme programmation « chaton », Kitten Programming en anglais) Femme attirante et charismatique cherchant à faire partie du show business, elle en avait aussi le profil parfait.
« Beta est la deuxième lettre de l’alphabet grec et elle représente les modèles sexuels et les alters créés par les programmeurs. La partie primitive du cerveau est impliquée dans ce type de programmation. Une maltraitance précoce servira d’ancre à cette programmation ».
- Ibid.
Contact avec le Hollywood occulte
Avant de devenir célèbre, Norma Jeane prit le nom de Mona et travailla comme strip-teaseuse dans un cabaret de Los Angeles. Elle y fut mise en contact avec Anton LaVey, l’homme qui fondera plus tard l’Église de Satan, à l’influence énorme. Selon Springmeier, LaVey était un programmeur MK et Monroe devint l’une de ses esclaves « chaton ».
« Marilyn Monroe était orpheline et elle fut programmée pendant sa petite enfance par les Illuminati/CIA pour devenir une esclave Monarque. Avant de devenir actrice, alors qu’elle était toujours strip-teaseuse, elle passa du temps avec le fondateur de l’Église de Satan, Anton LaVey. Des victimes de LaVey l’ont dénoncé comme étant un programmeur du contrôle de l’esprit ».
- Ibid.
La biographie de LaVey mentionne aussi une « aventure » avec Monroe, qui fut probablement bien plus que cela.
« Quand la saison du carnaval se terminait, LaVey gagnait de l’argent en jouant de l’orgue dans les cabarets de la région de Los Angeles et il raconte que c’est à cette époque qu’il eut une brève aventure avec une certaine Marilyn Monroe encore inconnue ».
- Magus Peter H. Gilmore, Anton Szandor LaVey: A Biographical Sketch
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À cette même époque, LaVey fréquentait une autre actrice, celle qui fut connue comme la « Marilyn Monroe fruit du travail d’un homme » : Jayne Mansfield. Leur relation fut aussi qualifiée « d’aventure », mais la réalité était un peu plus sombre.
« Anton LaVey fut le dresseur/programmeur de bon nombre d’acteurs et d’actrices d’Hollywood, dont Jayne Mansfield et Marilyn Monroe, qui lui servirent toutes deux d’esclaves sexuels ».
- Anton Szandor LaVey, Whale.to
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Photos de Jayne Mansfield avec Anton LaVey
Marilyn Monroe et Jayne Mansfield avaient beaucoup de choses en commun. Elles étaient toutes deux des « blondes canon » (ni l’une ni l’autre n’étaient des blondes naturelles) et on leur attribue la « sexualisation » d’Hollywood. Toutes deux furent playmates dans Playboy, toutes deux eurent une « aventure » avec Anton LaVey et toutes deux eurent une « aventure » avec Robert F. Kennedy et JFK (« l’aventure » était en réalité de jouer le rôle de mannequins présidentiels). Enfin, toutes deux moururent dans leur trentième année.
Une star avec une vie de prisonnière
Un autre point commun entre Monroe et Mansfield est qu’elles faisaient toutes deux partie de l’agence de mannequins Blue Book. C’est là que Norma Jeane fut métamorphosée en une emblématique Marilyn Monroe.
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Quand Norma Jeane fut recrutée comme mannequin, elle avait des cheveux roux bouclés. Cette « fille d’à-côté » subira bientôt une transformation made in Hollywood et incarnera un nouveau personnage nommé Marilyn Monroe.
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Marilyn avant chirurgie esthétique (on lui corrigea le nez qu’elle avait un peu fort). [Photo ne provenant pas de l'article de Vigilant Citizen.]
Les initiés de l’industrie du spectacle convainquirent Norma Jeane de subir de la chirurgie esthétique, de changer son nom et sa couleur de cheveux en blond platine. Son personnage d’une Marily Monroe sensuelle, d’une « blonde écervelée » lui permit de trouver des rôles dans plusieurs films qui initièrent un évident changement culturel à Hollywood.
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Dans le film « Les hommes préfèrent les blondes », Marilyn exhibe sa chevelure de blonde platine marque déposée hollywoodienne. Elle joue ici un rôle d’une femme sensuelle et pourtant matérialiste qui n’a pas peur d’utiliser son charme pour obtenir ce qu’elle désire. Ce genre de personnage sera répété à loisir dans la culture populaire.
Norma Jeane se servit du nom de Marilyn Monroe comme nom de scène pendant plusieurs années, mais en 1956, elle accomplit un changement étrange mais symbolique : elle échangea légalement son nom pour celui de Marilyn Monroe. Un changement qui reflétait de nombreuses et tristes vérités sur sa vie personnelle : en terme de contrôle de l’esprit, le changement de son nom représente la suppression de sa « personnalité profonde » dans le but de permettre à son personnage d’alter programmé d’exister. Marilyn ne fut plus que ce qu’ils voulaient qu’elle soit.
Comme plusieurs biographies l’ont révélé, Marilyn avait peu ou pas de liberté personnelle. Elle n’avait aucun contact avec sa famille et ses maîtres l’isolèrent pour mieux la contrôler et éviter que des gens « réels » l’aident à prendre conscience qu’elle était manipulée. Les seules personnes avec qui elle était en contact étaient ses « psychologues » et ses maîtres.
« L’existence de Marilyn n’était pas celle d’une « richarde » mais ressemblait plus à celle d’une prisonnière. Marilyn n’avait droit à aucune vie personnelle, en dehors de celle ordonnée par ses programmeurs et ses maîtres. Les programmeurs et ceux qui profitaient d’elle lui firent subir une telle pression qu’ils faillirent plusieurs fois l’amener au bord de la folie ».
- Springmeier, Op. Cit.
Marilyn était également sous constante surveillance. Des années après sa mort, on retrouva une quantité incroyable d’équipements de surveillance dans l’une de ses maisons.
« En 1972, l’actrice Véronica Hamel et son mari devinrent les nouveaux propriétaires de la maison de Marilyn à Brentwood. Ils embauchèrent une entreprise pour remplacer le toit et refaire la maison et l’entreprise découvrit un système de micros et de mise sur écoute du téléphone dissimulé dans toutes les pièces de la maison. Ses composants n’étaient pas disponibles sur le marché en 1962, mais selon les mots d’un officiel du département de la justice à la retraite, c’était « un équipement de série du FBI. » Cette découverte vient à l’appui des déclarations des théoriciens de la conspiration que Marilyn aurait été surveillée par les Kennedy et la mafia. Les nouveaux propriétaires dépensèrent 100.000 dollars pour faire enlever de la maison les appareils d’écoute ».
- Source: IMDB
Ensorcelée par les médecins de l’esprit
En 1956, Marilyn se convertit au judaïsme et se maria avec son troisième mari, le scénariste Arthur Miller. À cette époque, les seules personnes dans la vie de Monroe étaient son mari, son professeur d’art dramatique Lee Strasberg et ses psychiatres Margaret Hohenberg, Marianne Kris et Ralph Greenson.
« La vie de Marilyn était incroyablement monotone. Ses rendez-vous avec son médecin (j’appris plus tard que ces rendez-vous étaient avec des psychiatres) et ses leçons d’art dramatique étaient virtuellement tout ce qu’elle avait pour se distraire ».
- Lena Pepitone, Marilyn Monroe Confidential: An Intimate Account” (confidences de Marilyn Monroe : récit d’une prisonnière)
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Lee Strasberg, le « mentor » de Marilyn. Selon Elia Kazan, « Il portait sur lui l’aura d’un prophète, d’un magicien, d’un médecin-sorcier, et d’un psychanalyste ».
La preuve ultime que ces individus étaient les SEULES personnes dans la vie de Marilyn est qu’ils héritèrent presque tous de sa fortune. Lee Strasberg hérita à lui tout seul de 75 % de ses biens et le Dr Kris obtint 25 %.
« Marilyn démarra une association avec Lee Strasberg et sa femme Paula dès 1955, ils eurent très rapidement une influence colossale dans la vie de Marilyn, prenant en charge presque tous les aspects de son existence.
De nombreux amis et collègues de Marilyn virent ceci arriver et se sentirent très mal à l’aise mais ils étaient impuissants à agir à ce sujet. Pendant son mariage avec Arthur Miller, ce dernier avait commencé à exprimer ses inquiétudes à Marilyn.
Au cours de la dernière année de sa vie il y eut des signes que sa confiance dans le couple Strasberg faiblissait et qu’elle ne voulait plus qu’ils la contrôlent. Il fut dit qu’elle songeait à se dispenser de leurs services – ce qui a été vu comme un autre indicateur que Marilyn avait l’intention de changer son testament ».
- Loving Marilyn, Who Owns Marilyn’s Things?
Traduit par le BBB, A suivre.

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