mercredi 22 mai 2013

Bouteflika hospitalisé !



Bouteflika  hospitalisé ! 
Où se trouve-t-il  Bouteflika en ce moment ?
Bouteflika   a-t- il été  réellement transféré à Paris. ?  Qui a donc donné l’ordre de le transférer dans un hôpital militaire français. ? Selon d’autres sources, ce transfert est entouré de mystères et d’une situation explosive. Certains affirment, posséder des informations  sûres, certaines et véridiques sources . ? Que Bouteflika   a fait l’objet d’un enlèvement par  la mafia de  généraux. ?  IL   est  en ce moment séquestré  quelques parts, sur ordre des généraux mafieux. ?  IL  est placé dans un isolement total, il est privé de toute communication avec son peuple et ses amis. S’agit-il d’un coup  d’état militaire, en préparation avec la complicité et la bénédiction de la France. ? D’autres affirment, que Bouteflika, n’a jamais été hospitalisé  à l’hôpital militaire français, que toute cette histoire  fut maquillée par les généraux avec la complicité des français. ? Qui dit la vérité. ? Si  le pays avait une presse libre,  un e presse à qui on fait l’honneur de l’inviter et de lui ouvrir toutes les portes, elle est digne d’informer le peuple dans tous les détails. Mais  l’interdiction de deux journaux, la censure qui frappe la presse,  prouve, au peuple algérien, que ce pouvoir incarne une dictature cruelle, une dictature féroce, coupable de tous les crimes imprescriptibles,  coupables de génocides et à cause de cette  sanguinaire dictature, nous sommes plongés dans une obscurité totale, nous ne savons rien  sur le malade supposé transféré. ? Ou est-il, à Paris, à Alger, à Genève, à Tel-Aviv. ? Où se trouve-t-il en ce moment. ? La presse, n’est pas autorisé, les journalistes sont empêchés, les chaines des TV algériennes, ne sont pas  dépêchées sur les lieux. ?  L’absence du ministre de la communication, à Paris, en est une preuve que le malade n’est pas à Paris. ?  En l’absence d’une presse libre et indépendante, nous sommes,  conditionnés par la rumeur publique, la seule qui échappe au pouvoir et le peuple souffre de cet état  de verrouillage systématique  et de  rétention de l’information, incompatible avec la démocratie. ?  IL faut le dire haut et fort, que nous sommes dans un  état policier, prédateur corrompu.
  Le peuple exige  toute la vérité. Aucun régime, n’a le droit de nous priver de savoir  et de connaitre la réalité  et de suivre cette hospitalisation mystérieuse et énigmatique.  Ce régime n’a aucun respect, i de  considération à l’égard du peuple, qu’il méprise de haine et de farouches sentiments inhumains.

La  maladie  de Bouteflika, prouve au peuple, que ce malade, n’est qu’un  piètre figurant, de la mafia des généraux, qui gèrent et dominent le pays sans partage. Cette maladie a démasqué la vraie nature de cette mafia, laquelle a pris Bouteflika  en  otage, et il n’a jamais  un authentique et  un quelconque pouvoir entre ses mains, il n’est que l’exécutant des ordres des généraux mafieux. La mafia use de mensonges et de subterfuge pour dissimuler la vérité au peuple, une politique basée sur la séquestration et le silence complice d’un futur coup d’état militaire  en vue.  La mafia, s’empare de Bouteflika, pour l’éloigner de l’hôpital  militaire à Alger, de peur, que certains divulguent les secrets susceptibles de contrarier leurs plans. Ils se sont arrangés, pour l’expédier à Paris et s’assurer de son isolement et de son écart de sa fonction toute symbolique. L’affaire de Hichem Aboud, dévoile la stratégie des généraux membres de la mafia, qui  n’est pas habituée   aux actes de désobéissance des éditeurs  disciplinés et dociles  pour publier des articles  sans l’aval de la DRS. Pour prévenir, tous les Editeurs, et en particulier, el-Watan, la publication rebelle, les généraux mafieux décident de  frapper fort  les journaux   qui ont osé  révéler l’état de santé de Bouteflika ;  mon journal  et  el-djarida  d’une interdiction une manière de passer un message,   d’intimidation à l’égard des éditeurs  privés,  de se tenir  à l’écart  et de ne pas imiter cette publication  qui n’est pas du gout des décideurs mafieux.   Toute cette agitation prouve que la situation est grave et que le malade  est séquestré, dans un bâtiment militaire, comme s’il s’agissait d’un prisonnier, n’ayant aucun droit de communiquer avec son peuple. Cette situation est tragique pour le malade  pris en otage, pour le peuple qui ne sait rien,   risque de mettre les généraux  dans les bancs des accusés  et cette  panique  qui ébranle  les généraux  n’est pas sans lien avec  la peur du changement rapide et radical.

C’est  la confusion totale et je crois  sans pouvoir étaler toutes les preuves,  que  M. Hicham   dit la vérité, une vérité  qui dérange les généraux mafieux. Dans un état démocratique qui se respecte  un Président, doit pouvoir communiquer avec son peuple. Si au contraire, M. Aboud  Hicham,  a menti au peuple, il ne tient qu’au pouvoir, de filmer en direct le malade, en présence de personnes, membres de sa famille, ses amis et des journalistes  français et étrangers invités  à cette manifestation de la vérité. 
Tous les membres du régime illégitime sont des menteurs et usent et abusent de mensonges flagrants et indignes. Au lieu de dire toute la vérité au peuple, le régime des militaires  mafieux, usent de la censure et de l’interdiction de deux journaux qui ont courageusement  dit  au peuple la vérité sur la maladie ou sur l’enlèvement et la séquestration d’un Président d’un pays souverain. ????? ?

 La  censure  d’ une publication est un crime ,  l’interdiction  de  journaux, est  aussi  un crime, on n’a pas le droit de  priver le peuple d’informations, le régime, s’il était ce qu’il prétend, il y a qu’une seule manière de prouver au peuple, que la presse ne dit pas la vérité, c’est de mettre à la disposition de Bouteflika, un dispositif  d’une chaine sur les lieux de sa détention et de sa séquestration, qui doit lui assurer de communiquer avec le peuple, deux fois par jours en direct. De saluer les citoyens algériens, hommes et femmes, de s’entretenir avec eux et de leur dire toute la vérité sur sa maladie,  sur  sa  présence   à l’étranger et qu’il n’est pas atteint   d’une  maladie honteuse pour la cacher. ? C’est la seule façon, de prouver que les éditeurs profitent d’une situation de confusion et  de dire toute la vérité au peuple, de ce choix de traitement  médical à l’étranger. Qui a donc décidé de ce transfert en catimini,  à l’étranger dans  un établissement militaire, dans le but de le soigner dans le plus grand secret. ?   Est-il réellement à Paris. ? Qui a pu s’entretenir avec le  pseudo malade. ? Nous sommes  dans une période   d’une complexe  ambigüité, le régime cache la vérité au peuple et tente d’entretenir  un état basé  sur  les  mensonges et les intrigues. Qui peut prouver, à l’opinion publique et internationale, que les journaux  Algériens inventent des mensonges.  Sur l’état de santé de Bouteflika .?  C’est le malade, lui-même, qui doit prendre la parole, et d’informer le peuple de sa  convalescence et de son traitement  médical prolongé.  Mais comme le pouvoir militaire, qui gère la situation du malade, ce  pouvoir illégitime et  mafieux, n’autorise, ni le ministère de la communication, ni son médecin personnel, ni la télévision algérienne.  Ni les membres de sa famille, ni les journalistes arabes et étrangers, pour s’assurer, qu’il se porte bien, et que son état ne cesse de s’améliorer. ?  Est- lui, Bouteflika, qui refuse de  communiquer avec son peuple. ? Qui peut le prouver. ?  Pourquoi, son frère, Said, ce parrain de la mafia, si impliqué dans les scandales, ne se manifeste plus. ? Est-il de mèche avec les coupables de cet enlèvement spectaculaire. ?

 Pourquoi, ce silence injustifié, un malade qui représente tout un peuple, a parfaitement le droit, de recevoir les journalistes algériens,  de recevoir  ses  amis,  et de nous dire comment il se porte et quels sont ses futurs objectifs. ?  Non, on le cache au peuple, on le séquestre, on l’isole et on le prive de communiquer avec le peuple. ? C’est un  drame pour le peuple algérien qui ne sait rien sur l’état  du malade. Est-il vivant. ?   Est-il mort. ? Est-il dans   un coma profond  pour ne pas pouvoir communiquer avec son peuple. ?  Alors qui dit la vérité. Qui a intérêt à prolonger cette  hospitalisation en catimini   pour  cacher la vérité au  peuple. ?  Si la presse algérienne, est systématiquement  tenue  à l’écart, comment le peuple, peut-il avoir des nouvelles de son Président gravement malade, si  nos braves journalistes ne sont ni invités ni autoriser à rendre visite au malade.?  La presse algérienne, fait un excellent   travail, en dépit de toutes les intimidations et les chantages, les journalistes sont courageux, et dignes de respects. C’est le régime des généraux corrompus qui est pourri jusqu’à la moelle épinière. Un régime de prédateurs, de criminels, d’assassins  qui ont les mains tachées de sang   des innocents s. Ils vont subir le même sort que le général Argentin, mort en prison.

C’est une honte pour ce régime de séquestrer un malade et de spéculer sur sa maladie. Je suis certains, que si le Président, avait la liberté de communiquer avec le peuple et de s’entretenir avec son peuple, de lui dire toute la vérité,  le peuple algérien, se sentira très touché, car il est   humain et sensible, il organisera, une prière spéciale, pour invoquer la miséricorde et la clémence  et la grâce divine  sa faveur. Mais, il ne se manifeste pas, il ne fait aucune révélation,  aucun signe, aucune communication susceptible de prévenir le peuple, qu’il est prisonnier    de  la mafia  criminelle. Dans la précipitation,  les généraux membres de la mafia coupables de crimes contre l’humanité, sont responsables de cette grave crise, qui a fait que Bouteflika,  pourrait être considéré comme victime d’un enlèvement, suivi d’une séquestration et il est placé sous haute surveillance  des militaires français dans un hôpital militaire français et tous les algériens dignes de ce nom doivent demander des comptes à la France sur cette séquestration d’un Président malade. C’est un crime imprescriptible, d’abuser d’une personne malade pour lui faire subir un isolement dans un   immeuble spécialement aménagé pour tels cas. La complicité de la France,  y  est  entière.  Nous considérons, le régime des généraux mafieux, illégitime, indigne de notre peuple, nous condamnons ces pratiques   antidémocratiques et à cette  occasion, nous manifestons notre solidarité agissante au frère M. Hichem Aboud, et nous l’invitons  à exiger du pouvoir, qu’il nous montre le visage de  Bouteflika, que ce régime  nous le montre, nous voulons  voir son visage et qu’il  s’exprime, s’il porte bien , et qu’il  n’est pas  l’ otage des généraux mafieux et sanguinaires . Loutfi.


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