vendredi 2 août 2013

Ce qu'on ne sait pas a propos des Forces Spéciales Tunisienne....


  • La Brigade Anti Terrorisme (BAT).
  • Le Groupe des Forces Spéciales(GFS),
  • L’unité Spéciale de la Garde Nationale (USGN),
  • Le Groupe d’intervention et de Protection (GIP),



Mis à part les stages à l’étranger, leurs formations sont classées selon 3 degrés de Brevets de Spécialité (BS). Leurs examens sont programmés selon les besoins de chacune des unités. Bien que rare, lorsqu’une session de recrutement est organisée, en moyenne 100 agents admissibles sont sélectionnés selon des critères très sélectifs dans chaque unité,  par un comité de sages, d’officiers gradés* et une sélection naturelle lors de leurs formations ne laissent aucunes chances aux "pistons" éventuels.

  • BS1 – Qui dure entre deux et trois mois, précédés généralement d’un pré-stage de deux à trois semaines d’exercices extrêmement pénibles de résistances physiques et mentale. Le taux de réussite est entre 10 et 15%.
Lorsque le nombre de BS1 le permet, le second examen est programmé (l’attente peut durer plusieurs années)

  • BS2 – Dure entre trois et quatre mois, précédés d’un pré stage qui peut durer 1 mois, d’exercice physique et technique. Le taux de réussite est d’environ 70%. Les 30% Restants sont généralement éliminés par cause de blessures physiques ou psychologiques et abandons volontaires.
Lorsque le nombre de BS2 le permet, le troisième examen est programmé (l’attente peut aussi durer plusieurs années)

  • BS3 – Dure entre quatre à six mois, précédés d’un pré stage qui peut durer 1 mois, d’exercice Technique et de Simulations. Le taux de réussite est d’environ 70%. Les 30% Restants sont généralement éliminés par cause de blessures et abandons.


Financièrement ces aptitudes leur fourni une augmentation salariale dérisoire, et donc, leur seul et unique motivation est l’amour de la patrie, du drapeau et de l’hymne, non pas celle de telle ou telle personnes, et ces formation créent des liens et un esprit d’équipe exemplaire à la « un pour tous, tous pour un ».
Programmés pour protéger la Patrie, d'agir, identifier, intervenir en évitant une maximum de victimes avec sang froid, faire partie d’une des élites militaire et para militaire Tunisienne est une fierté. Lorsqu’on a confiance en ses propre compétences, il est clair que lorsqu’on offre sa carriere à la protection de son pays, si jamais on nous demande « que penses-tu de leila, de ben ali ? »  Qu’on aura sans regret, tendance à cracher en public et dire les cinq vérités. D’où le fait que l’ancien système a fait en sorte de « cacher » au fond du tiroir ces unités spéciales, et fait en sorte à ce qu’elle ne se retrouvent jamais ensembles. "On ne peu pas les faire disparaitre, les faire dissoudre... Alors plutot les mettre de cotès".

Même si l'ancien systeme s'est efforcé de faire en sorte a ce que ces unités ne se rencontrent pas, leurs officiers se connaissent et reconnaissent parce qu'ayant effectués leur études supérieurs à l'académie militaire (un peu comme polytechnique en france, sous la tutelle du ministère de la défense), ils sont ingénieurs en Techniques d'armement,  Electro-mécanique, Génie informatique, Télécommunication, Droit et gestion, génie civil... Et comme tout institut supérieur, des liens se sont fait, à partir de leur études.

Dans un second temps, Ali seryati sans aucune légitimité, voyant un comportement de plus en plus critique envers le système venant des unités spéciales, a décidé de modifier leurs programmes d'entrainement quotidien dans le but de les affaiblir. Cela dit, bien que leur programme ai été modifiés et allégés, ils ont continués a aller de l'avant de leur pleins grés, tous seuls, comme une famille, ils ont décidés seul, a travers internet, en analysant les interventions des unités US, Françaises, de se faire des programmes plus poussés et non seulement n'ont pas étés affaiblis, mais se sont renforcés pour chacune des unités.

Pour ce qui est du ministère de l'intérieur, depuis que haj kacem etait en poste, aucun officier n'est allé en stage a l'étranger, sauf certain membres du GIP.  C’est à croire que la mission du ministre était de garder au loin, les meilleur compétences en matière de sécurité qui sont fatalement patriotes, protecteur de la patrie, logiquement contre le système corrompu… et de plomber le ministère de l’intérieur d’éléments néfastes, sans aucune compétence réelle, sans formation militaire, para militaire, de stratégies ou en matière de sécurité, de manipulation d’armes, à qui on fournit des armes de guerre… Parfois même sans BAC… Aucun patriotisme, aucune conviction, règles éthiques et non-respect de notre Tunisie… Mais dociles delà leurs antécédents pouvant etre dérangeants ou tout simplement obéissant  par « hezzen el koffa ». Ils se sont métastasés tel un cancer dans les postes les plus stratégiques du ministère de l'intérrieur durant des années. Les possibles défections des unités spéciales se sentaient.

Pour ce qui est de l'armée, Zaba lui-même aurait démis de ses fonction un colonel de l'unité spéciale de l'armée, il y a de cela plusieur années lorsqu'en toute franchise, après lui avoir posé la question, il lui aurait répondu que techniquement il lui était possible de prendre controle le palais présidentiel en une matiné...


Ces unités sont :

1 - Le Groupe d'Intervention et de Protection (GIP) émanent directement, jusqu’au 16 janvier 2011,  du palais  présidentiel, depuis, ils sont sous l’égide du ministère de l’intérieur. Cette unité recrute directement ses membres à partir de la sureté et de la garde nationale et leur fait passer les examens BS. Leur vocation est la garde rapprochée du chef d’état, de sa famille ainsi que celle d’autre dignitaires et ministres. Contrairement à ce qu’on pense ils ne sont aucunement intimement liés à la famille Présidentielle, bien au contraire, mis à part un salaire légèrement plus élevé, d’une liberté plus grande et une assiduité moins fréquente aux entrainements, c’est ceux qui ont été les plus exposés au comportement arrogant quasi quotidien de la famille de l’ancien régime, allant de l’humiliation verbale jusque l’humiliation physique de l’ex première dame. Les mêmes agents ont également servi lors du régime de Bourguiba, et sont actuellement chargés de la protection de l’actuel président par intérim.



2 – Le groupe des Forces Spéciales de l’Armée Nationale est l’élite des commandos de l’armée de terre   dépendant du ministère de la Défense. Elle est basée officiellement à Bizerte. Cette unité recrute directement ses membres à partir des commandos de l’armée de Terre et leur fait passer les examens BS. Leur mission principale est la protection du Territoire national tunisien et de maitriser toute tentative d’attaque d’une force étrangère. Entrainés également à manier des armes lourdes, l’ensemble du corps militaire national a volontairement souffert d’un manque de bienfaisance venant de l’ancien régime. Pourtant patriote et ayant été délibérément délaissé, ce corps militaire est un des plus solide de la région du point de vue humain.








3 – L’Unité Spéciale de la Garde Nationale (USGN) est l’élite de la garde nationale (équivalent en France du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale, GIGN), dépendant du ministère de l’intérieur. Elle est basée officiellement à Bir Bouregba. Cette unité recrute directement ses membres de la garde nationale et leur fait passer les examens BS. Leur mission principale est l’intervention à l’intérieur de l’espace national, notamment en zone non urbaines (montagnes, forets, plages, desert).









4 – La Brigade Anti Terrorisme (BAT) (équivalent en France du corps d’élite de « Recherche Assistance      Intervention Dissuasion, RAID – ou aux USA, des Special Weapons and Tactics, SWAT) , aussi connue sous le nom « Les Tigres Noirs » est l’élite de la police nationale Tunisienne, dépendant du ministère de l’intérieur. Elle est basée dans la Capitale, plus précisément à Bouchoucha. Cette unité recrute directement ses membres à partir de la Police nationale. N’étant intervenus sur terrain qu’en cas extrême et donc pratiquement jamais, leur mission principale est l’intervention en zone urbaine, et prises d’otages sur différentes plateformes (avions, bateaux).







Venant des quatre coins de la Tunisie, n’ayant pratiquement aucun rapport direct avec les citoyens et donc loin de toute idée de corruption, des entrainements quotidiens quasi éprouvants, chacun des agents de ces unités, bien que discrets, forment avec honneur, ce qui a de plus sûr en matière sécurité nationale en cas d’agression armée. Dans le souci de protéger la nation Tunisienne toute entière, jamais un des agents n’appliquerait d’ordre anticonstitutionnel, à l’encontre d’un seul Tunisien ou de la patrie.

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