Selon une étude menée par Cisco, il y aura 50 milliards d’objets connectés à Internet en 2020.
Progressivement, les objets sont dotés de puces qui permettent à leurs utilisateurs d’exploiter bien plus que leur fonction de base
A terme, les objets auront leur identité, leur profil digital, au même titre que les personnes physiques. La création d’un réseau qui mettrait en relation ces objets s’appelle la communication Machine To Machine (M2M) ou The Internet Of Things (IOT). Cela s’apparente à l’association des technologies de l’information et de la communication, avec des objets dits intelligents et communicants et cela dans le but de fournir à ces derniers les moyens d’interagir sans intervention humaine avec le système d’information.
Ces interactions entre objets entraînent la création de données concernant leur utilisation. Cette technologie aura pour effet d’améliorer la production grâce au feedback fourni. A terme, cela crée un cercle vertueux qui permet d’optimiser l’usage pour les utilisateurs.
Non seulement les machines communiquent entre elles mais on imagine qu’à terme elles puissent communiquer avec les hommes. On passe du M2M au M2P (Machine To People).
Le thème du salon Le Web, où Viadeo sera présent en décembre, a justement pour thème The Internet OF Things et réunira comme d’habitude des intervenants experts sur le sujet.
Si on prend l’exemple de l’électroménager, on peut envisager que notre frigo, relié à notre téléphone, nous indique que les stock de lait est faible et qu’il faudra passer au supermarché en rentrant pour en racheter, ou il pourrait même nous suggérer de commander lui-même la livraison de quelques litres.
Pour un exemple déjà en service, Nest propose un thermostat pour la maison réglable en fonction de ses besois et qui permet des économies de chauffage, qui représente une bonne partie des dépenses en énergie des lieux de vie. Et surtout, le système est réglable depuis son mobile. Quoi de mieux qu’arriver chez soi et trouver un endroit chauffé ?
Je trouve dans cette technologie une triple économie : une économie de temps, d’argent et de ressources en énergie (une fois les solutions développées). Mais aussi un énorme gain de données qui décrypteront les comportements des utilisateurs..
Certaines solutions sont déjà proposées pour les entreprises désirant donner « vie » à leur produits, en ligne, comme un Facebook For Things. Le projet Evrythng conçoit un graphe interactif entre les objets, qui donne une identité aux produits : un type d’ADN renommé ADI, Active Digital Identity, Cette ADI est donc la base d’identification du produit qui peut ensuite interagir avec d’autres grâce à une puce NFC ou un QR code.
La tendance du Physical Web rassemble donc 3 types d’acteurs : les personnes, les systèmes (hardware ou software) et les objets.
Progressivement, les objets sont dotés de puces qui permettent à leurs utilisateurs d’exploiter bien plus que leur fonction de base
A terme, les objets auront leur identité, leur profil digital, au même titre que les personnes physiques. La création d’un réseau qui mettrait en relation ces objets s’appelle la communication Machine To Machine (M2M) ou The Internet Of Things (IOT). Cela s’apparente à l’association des technologies de l’information et de la communication, avec des objets dits intelligents et communicants et cela dans le but de fournir à ces derniers les moyens d’interagir sans intervention humaine avec le système d’information.
Ces interactions entre objets entraînent la création de données concernant leur utilisation. Cette technologie aura pour effet d’améliorer la production grâce au feedback fourni. A terme, cela crée un cercle vertueux qui permet d’optimiser l’usage pour les utilisateurs.
Non seulement les machines communiquent entre elles mais on imagine qu’à terme elles puissent communiquer avec les hommes. On passe du M2M au M2P (Machine To People).
Le thème du salon Le Web, où Viadeo sera présent en décembre, a justement pour thème The Internet OF Things et réunira comme d’habitude des intervenants experts sur le sujet.
Si on prend l’exemple de l’électroménager, on peut envisager que notre frigo, relié à notre téléphone, nous indique que les stock de lait est faible et qu’il faudra passer au supermarché en rentrant pour en racheter, ou il pourrait même nous suggérer de commander lui-même la livraison de quelques litres.
Pour un exemple déjà en service, Nest propose un thermostat pour la maison réglable en fonction de ses besois et qui permet des économies de chauffage, qui représente une bonne partie des dépenses en énergie des lieux de vie. Et surtout, le système est réglable depuis son mobile. Quoi de mieux qu’arriver chez soi et trouver un endroit chauffé ?
Je trouve dans cette technologie une triple économie : une économie de temps, d’argent et de ressources en énergie (une fois les solutions développées). Mais aussi un énorme gain de données qui décrypteront les comportements des utilisateurs..
Certaines solutions sont déjà proposées pour les entreprises désirant donner « vie » à leur produits, en ligne, comme un Facebook For Things. Le projet Evrythng conçoit un graphe interactif entre les objets, qui donne une identité aux produits : un type d’ADN renommé ADI, Active Digital Identity, Cette ADI est donc la base d’identification du produit qui peut ensuite interagir avec d’autres grâce à une puce NFC ou un QR code.
Etes-vous prêt à interagir avec vos objets si ils vous facilitent la vie ?
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La rédaction