samedi 14 avril 2012

La France semble prise au piège avec ses citoyens

 Le 11 avril 2012, Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois mis en garde contre les conséquences d’une victoire de François Hollande à la présidentielle. “J’entends que chez certains on se sent inspiré par l’esprit de 1981. C’est leur droit. En 1981, il a fallu deux ans pour que tout s’arrête et tout se retourne. En 2012, il faudrait deux jours, c’est ça la vérité”. “Il y a un point qui nous rassemble, c’est que nous ne voulons pas d’une crise de confiance qui emporterait la France. Nous ne voulons pas d’une France à genoux, nous ne voulons pas d’une France qui perdrait la maîtrise de son destin, nous ne voulons pas que tous ceux qui ont amené la France où elle est aujourd’hui aient à ramasser la France dans une situation que connaissent aujourd’hui une partie de nos partenaires européens”, a lancé le président-candidat.
La France semble prise au piège avec ses citoyens
La rédaction britannique du Financial Times écrit : “L’économie française est tellement solide au regard du président qu’il a mis en garde les Français cette semaine contre un scénario ‘à la grecque’ si son rival socialiste était élu.”





En fait, N. Sarkozy n’a fait que créer les conditions nécessaires à une prise de pouvoir par le tandem Hollande/Mélenchon. Il prétend être le meilleur candidat de la France, mais le haut niveau de F. Hollande dans les sondages traduit la politique de nuisance nationale de l’équipe Sarkozy. Cela dit, on se rend vite compte qu’ils ne sont que des candidats de l’establishment. L’un comme l’autre ne sont que les pantins d’un pouvoir qui se joue de sondages et d’événements divers pour imposer un scénario : la PERESROIKA DE L’OUEST, c’est-à-dire le collectivisme.





N. Sarkozy se veut le candidat défenseur des intérêts de la France. N’est-ce pas le moment de rappeler ce que l’on a vite oublié du tandem Sarkozy/Lagarde ? Extrait d’un article publié il y a déjà quelques temps (21 décembre 2011) mais que l’on ne doit pas oublier.





La France semble prise au piège avec ses citoyens
SCANDALE : la France gage l’or de la Banque de France !





Comme jadis les pays dits « sous-développés », qui sont désormais « émergents » et nous rattrapent à toute vitesse, la zone euro se met sous tutelle du FMI (Le Figaro). Incapables de se diriger eux-mêmes, les européens – attention ce n’est pas une blague – versent de l’argent (150 milliards d’euros) au FMI pour qu’il le reprête à des pays européens en difficulté !





Mais au fait, comment fonctionne cette tuyauterie ? Il s’agit de « prêts bilatéraux des pays au FMI » et, c’est magique, « de tels prêts n’impliquent aucun risque en capital pour leurs souscripteurs, car le FMI est, par construction, toujours remboursé sur ses propres crédits ». On aimerait bien savoir comment car le FMI ne peut pas faire tourner la planche à billets. S’il enregistre des pertes, il faut bien que quelqu’un paye. En outre ces prêts sont en réalité des « avances », elles ne figurent donc pas dans le budget des Etats concernés. C’est magique, on vous le dit, de l’argent circule et il n’est décaissé de nulle part, et toute perte est impossible.





Ceci dit, comme le FMI et l’UE n’ont pas encore inventé la pierre philosophale, il y a quand même un « gage » dans cette affaire. Lisons l’article : « ces avances ne présentent aucun caractère budgétaire pour l’État prêteur: il s’agit en réalité d’accords de swap («échanges») à partir des réserves en devises et en or des banques centrales (telle la Banque de France) et le FMI. » Et voilà : l’or de la Banque de France (2435 tonnes) sert, au moins pour partie, de garantie à ce montage !





L’or de la Banque de France, c’est le patrimoine national, comme la Joconde ou la Tour Eiffel. S’en servir de gage pour un tel montage financier est une HONTE et un SCANDALE. Cette opération a été réalisée en catimini, c’est pitoyable. L’or de la Banque de France doit servir de garantie ultime (c’est notre « arme nucléaire » monétaire), nous exigeons que ce gage soit annulé, et comptez sur ce blog pour suivre l’affaire. (Source : http://ladettedelafrance.blogspot.fr/2011/12/scandale-la-france-gage-lor-de-la.html)





Qui a consenti à utiliser l’or de la France pour des intérêts si vils ?





… Sachant que, de toutes les façons, la Grèce n’a aucune chance de s’en sortir. On comprend les révélations du Parisien signalant que le candidat Sarkozy a, en bon patriote, placé ses avoirs au moins dans une banque étrangère, mais ne possède officiellement RIEN en France… Que penser d’une telle attitude ? Souhaitons seulement que les banquiers chargés de gérer le patrimoine du président-candidat n’utiliseront pas une partie de la coquette somme pour spéculer contre la France. Bien sûr, ce ne sont que des inepties…


La France semble prise au piège avec ses citoyens
Une nouvelle crise bancaire pointe à l’horizon…





La fin de semaine s’est terminée sur fond de craintes concernant la croissance chinoise et de détérioration de la situation de certains pays de la zone euro. Après les injections massives de la BCE, lesquelles ont momentanément stoppé l’effondrement des bourses européennes et des valeurs bancaires, le scénario annoncé par Trader Noé a repris, n’en déplaise aux optimistes aveugles, venus nous insulter sur ce blog il y a quelques semaines.





Il est vrai que si leur lecture se limite aux discours et aux explications des marionnettes au pouvoir, leur jugement du monde réel ne peut qu’en être altéré. Un certain Nicolas Sarkozy affirmait, il est vrai, cet hiver, que la crise était “derrière nous”. Un peu comme Dame Lagarde qui en 2008 annonçait la reprise ! Pour son extrême compétence en matière économique, elle fut placée au FMI… où elle donne des recommandations aux pays de la zone euro en grande difficulté…





Pourquoi avoir décalé la crise de décembre 2011 à avril 2012 ?





La question importante est : pourquoi avoir imposé une accalmie, sachant pertinemment que rien n’était arrêté ? D’aucuns doivent remarquer que l’injection massive d’euros par la BCE a parfaitement correspondu avec un silence étrange des agences de notation américaines…





Étrange, n’est-ce pas ?





On ne peut que relever la coïncidence d’un redémarrage de la crise financière avec l’arrivée des élections présidentielles françaises. Les lecteurs perspicaces trouveront peut-être d’autres coïncidences qui seront les bienvenues pour justifier le timing du jeu de massacre opéré par les banquiers internationaux. Car on imagine bien que les élections présidentielles françaises cachent quelque chose de bien plus important.





En tout cas, dès que certains points clés donnés sur les valeurs bancaires par Trader Noé furent cassés, le plongeon s’est accéléré : depuis une dizaines de jours, les valeurs bancaires plongent brutalement. Le CREDIT AGRICOLE qui avoisinait les 5 € il y a une bonne semaine est désormais sous la barre des 4 € ! De hauts cadres des quatre plus grosses banques françaises, en contact avec notre rédaction, sont écœurés de “l’incompétence et de l’aveuglement” de leur “hiérarchie” (sic).





Attention aux banques espagnoles





Commentaire intelligent de l’économiste J. Sapir : “Les primes des CDS, ces assurances de crédits, montrent une ascension constante depuis deux semaines. L’Espagne a ainsi dépassé son précédent maximum, qui datait de décembre dernier”. “Les banques espagnoles ont d’ailleurs dû emprunter à la BCE pour 316 milliards d’euros en mars, alors qu’elle n’avaient emprunté que 170 milliards en février. La perception de la qualité du crédit, qu’il soit public ou privé, se dégrade rapidement en Espagne. En ce qui concerne l’Italie, une part croissante des investisseurs pense que ce pays devra restructurer sa dette avant la fin de l’année. Or, l’exemple de la Grèce, où les gouvernements avaient fait pression sur leurs banques pour qu’elles acceptent l’échange de titre à des conditions très défavorables, est encore frais dans toute les mémoires. Les banques sont donc de plus en plus réticentes non seulement à acheter des dettes nouvelles de l’Italie mais même à conserver les titres italiens qu’elles ont acquis dans leur portefeuille.


À cette situation s’ajoute une fuite des capitaux massive de l’Espagne et de l’Italie, que ce soit vers des pays considérés comme sûrs dans la zone euro (essentiellement l’Allemagne, les Pays-bas et le Luxembourg) ou vers l’extérieur de la zone (la Suisse, les États-Unis et, de plus en plus, les pays asiatiques). Depuis le 1er août 2011, ce ne sont pas moins de 155 milliards d’Euros qui ont quitté l’Espagne pour aller vers les pays sûrs de la zone Euro, dont 65 milliards rien que pour le mois de mars dernier. Cette fuite des capitaux nous indique la mesure de la défiance des investisseurs. Si l’on regarde maintenant la fuite des capitaux hors de la zone Euro, nous avons aussi la mesure de la défiance vis-à-vis de l’euro”.(Source: Marianne)





La presse du jour exprime les avis des experts économiques. “La crise de la dette souveraine et les difficultés du secteur bancaire reprennent de l’ampleur dans les pays du sud de l’Europe, notamment la situation du bilan des banques espagnoles qui suscite des craintes grandissantes“, expliquent les analystes du courtier IG Markets.





Nous publierons demain un article sur BANCO SANTANDER.





Voilà qui annonce de nouvelles grandes manœuvres de la Main anonyme, cette finance anonyme et vagabonde qui cherche à faire sauter ce verrou qu’est la nation, comme le prophétisait le baron de Rothschild en 1970… Quel visionnaire !





http://liesidotorg.wordpress.com/2012/04/14/une-nouvelle-crise-bancaire-pointe-a-lhorizon/


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