The Electric Universe, Wal Thornhill, 18 novembre 2012
« En ces temps exubérants, avec un sens lucide de ce qu'est théorie solide et de ce qui n'est que spéculation non corroborée, il est essentiel de prêter une attention critique à la fois aux contraintes de l’observation et aux lois mathématiques fondamentales. Cette platitude apparente est avancée ici sans plaisanter, parce qu'il existe à l'heure actuelle des "théories" – des scénarios parfois très détaillés – défendues sérieusement et souvent passionnément pour pratiquement chaque objet astronomique exotique indéterminé dans le télescope. En revanche, la seule étoile qui pourrait être comprise correctement – le prosaïque Soleil – présente une diversité de phénomènes qui défient la compréhension théorique actuelle. » Eugene N. Parker
En science, un « point de basculement » est censé se produire quand le poids des preuves contraires à la théorie fait pencher l'opinion en sa défaveur. Mais, en cette ère spatiale, nous sommes aveuglés par la « réalité virtuelle » née des ordinateurs et par le génie pratique de la science appliquée. On peut donc être surpris de s'entendre dire que la science moderne théorique est en crise. De nos jours, la pyramide inversée de la science repose sur les mathématiques d’imaginaires particules et énergie, décrites par une théorie quantique acausale que personne n’est capable d’expliquer. De temps en temps, les scientifiques les plus sincères avouent ne pas comprendre les phénomènes fondamentaux, comme la masse, la gravité, le magnétisme, la foudre, les galaxies, et même le Soleil ! Il n'est donc pas surprenant que l'on découvre des planètes, étoiles et galaxies qui « ne devraient pas exister », et que l'univers visible semble n’être en grande partie qu’un corps étranger englouti dans les mystérieuses « matière noire » et « énergie noire ». Dans son rôle de système de croyance consensuel, la « science établie » d’aujourd'hui est désormais plus souvent face à des contradictions surprenantes ne pouvant être adaptées aux dogmes. Et parce que persiste l’incompréhension des mystères fondamentaux, des prix Nobel de physique sont décernés pour des découvertes purement imaginaires. La nature bizarre de ces « découvertes » devrait servir à nous alerter que la science est à un point critique d'une ampleur sans précédant.
Science en dysfonctionnement
La science est à un tournant car, après avoir été fragmentée en spécialités et sous-spécialités, elle n'est plus à même de réfuter des données. La barrière des jargons techniques et les politiques intéressées empêchent les spécialistes de voir ce qui ne serait que trop évident depuis un poste d’observation plus élevé. Ce genre de système empêche de contredire du dehors « ceux qui transcendent le conventionnel », et les grands spécialistes décident de les ignorer. Bien sûr, avant l’érection des barrières modernes, les apports scientifiques décisifs étaient acceptés de la part de nombreux « tiers », comme William Herschel et Michael Faraday, de ceux qui, « étant en mesure de se protéger des dogmes et préjugés courants, étaient capables de voir le monde avec des yeux neufs. » (Albert Einstein) Peu d’universités ont montré le courage d'insister en faveur d’un panorama large et équilibré des connaissances actuelles ou d’une comparaison impartiale entre hypothèses théoriques et alternatives existantes. Appliquer ces principes premiers aujourd'hui risquerait de discréditer des départements entiers.
Enseignement en dysfonctionnement
En vérité, il se peut que nous soyons aussi loin d'une véritable « théorie du tout », que l’était l'Homme des cavernes de mettre le pied sur la Lune. Nos universités protègent au pied de la lettre la procédure standard théorique. L’indispensable autocorrection exigerait l’opposé, un horizon plus vaste, avec un regard sur les idées et les faits cruciaux au-delà des frontières des diverses disciplines. Cela voudrait dire, en fait, de revenir aux méthodes interdisciplinaires de la philosophie naturelle. La connaissance devrait être ouverte à la critique, et la critique ne devrait pas être réservée aux pairs les plus proches. L'un des pires défauts de l'éducation moderne, c’est de ne pas encourager les étudiants à cultiver l'esprit critique ou explorer les possibilités plus générales. Aujourd'hui, le « bon étudiant » est prié de se conformer, d’absorber les connaissances pré-emballées, pareilles à la restauration rapide moderne. Pourtant, au lieu de certitudes, nous devrions nourrir l’étudiant de doutes et de mystères, pour qu’ils stimulent l'imagination et incitent à la recherche personnelle. C'est la manière de réaliser des progrès.
« La formation scientifique intensive et circonscrite vous garantira de ne jamais faire de percée scientifique... nous devons forger un enseignement novateur, dont le but soit de produire des généralistes pleins d'imagination, capables de bien comprendre l'avenir inexploré. » Root-Bernstein – Sparks of Genius
Jeux informatiques et médias
Les chercheurs ont de nos jours des ordinateurs pour simuler pratiquement tout ce qu'ils peuvent imaginer. La puissance de calcul associée à l'imagination produisent le fin du fin des jeux informatiques, un monde virtuel où peut s'épanouir l’imaginaire débridée. « Vous pouvez faire gober n'importe quoi en l'arrangeant comme il faut... Vous pouvez fournir un résultat qui est absolument "n’importe quoi", mais, sorti du contexte, les critiques sont incapables de voir la discordance », dit un astrophysicien. Paroles sévères ? Pas si vous lisez de nombreux documents où des simulations sont dites « prouver » une théorie. Chaque découverte « surprenante » fait naître des modèles informatiques ad hoc, construits à partir d’idées toutes cuites et de logiciels forcés de reproduire approximativement ce que l'on imagine avoir découvert. D'attrayantes imitations « artistiques » générées par ordinateur aident au financement. Le thème des laboratoires de recherche s'articule autour de simulations et de techniques de présentation, le Large Hadron Collider (LHC), par exemple. Cest pourquoi les bibliothèques scientifiques sont à présent pleines d'une débauche de documents techniques illisibles et non lus, tandis que la différence entre la nature elle-même et les « mondes virtuels » des médias populaires devient de plus en plus indécise. Dans ce tournant fatal, le monde virtuel obtient publicité et financement. Et pendant tout ce temps-là, décline progressivement l'enthousiasme qui attire les jeunes esprits vers la vraie découverte.
Dans How Einstein Ruined Physics [Comment Einstein ruina la physique], Roger Schlafly, lui-même titulaire d'un doctorat en mathématiques de Berkeley, écrit : « La physique moderne a été envahie par des chercheurs universitaires se disant théoriciens en physique, mais qui en vérité pondent de la science-fiction. Ce ne sont pas des mathématiciens qui prouvent leurs résultats avec la logique, ni des scientifiques qui vérifient leurs hypothèses avec des expériences. Ils font grands cas de la façon dont leurs formules prétentieuses expliqueront le fonctionnement du monde, et ne donnent pourtant aucun moyen d’asseoir le bien-fondé de leurs idées. »
La vache : Ok...Parle-moi de ce nouveau système de calcul que tu pondisses.
Le savant de Marseille : Oh, c'est très simple. À la place de l'ancienne méthode absconse, je commence par [accoucher de] la réponse. Il suffit ensuite de repartir d’elle pour inventer une équation qui s'y adapte, et ... le tour est joué ! ... J'obtiens toujours [la solution] juste !
Les mathématiques sont un outil formidable, mais il ne s’agit pas de physique. Un bon prix a été attribué récemment à un astrophysicien australien qui encourage les étudiants à l'imiter et à « voir les choses comme des problèmes de mathématiques plutôt que comme des problèmes de physique. » C'est quelqu’un qui nous a fourgué l’imaginaire « matière noire », afin de permettre aux mathématiques d’être à la hauteur des problèmes de physique. À son crédit, Albert Einstein a fait montre d’une meilleure compréhension : « Dans la mesure où des lois mathématiques se rapportent à la réalité, elles ne sont pas vraies ; et dans la mesure où elles sont vraies, elles ne se réfèrent pas à la réalité. »
Financement de la recherche
Consensus scientifique et besoin désespéré de publier des articles dans quelque revue « reconnue » chaperonnée par la censure de pairs vérificateurs, publication sélective de données, parti pris confirmatif et, dans certains cas, fraude. Les demandes de financement de recherche doivent être sous réserve d’un contre-interrogatoire public. Si la recherche ne peut pas être expliquée et justifiée devant des arbitres cultivés faisant usage de critique compétente, sur quoi se base la confiance en les aventures scientifiques de plusieurs milliards de dollars d'aujourd'hui ? « Faites-nous confiance, nous sommes les experts », n’est pas acceptable. La confiance aveugle aboutit à des projets biscornus de plusieurs milliards de dollars, comme le Large Hadron Collider à 9 milliards de dollars, et l’International Thermonuclear Experimental Reactor (ITER), une expérience à 16 milliards de dollars sur 30 ans, qui, lorsqu'ils sont examinés de manière critique, sont loin de justifier scientifiquement ce que le public est en droit d'attendre.
La cosmologie comme mythe
Tentant de nous donner le plus grand tableau, la cosmologie d'aujourd'hui concurrence la religion en investissant dans un mythe de création alternatif qui brise les lois observées de la physique. Ce mythe est appelé « big bang » et n'a aucun sens. Ce que nous observons, c’est que la matière « emprisonne » l'énergie électromagnétique, qui se manifeste sous la forme de masse selon E = mc2 (nul besoin de l’hypothétique boson de Higgs). Mais nous n'avons aucune idée de la façon dont l'énergie peut créer de la matière (quelle qu'elle soit en fin de compte). Aussi, nous ne pouvons rien dire à propos de la création de l'Univers. Bien qu'il prétende expliquer les phénomènes observés, le big bang exige que l'on trouve une explication logique à une immense accumulation d’anomalies, qui obligent les cosmologues à consacrer l'essentiel de leur temps à inventer des façons de contourner les contradictions en introduisant des concepts purement théoriques, comme la matière noire, l'énergie noire, les trous noirs et bien d’autres encore. Le vocabulaire exotique qui a vu le jour échoue à chaque test raisonnable du rasoir d'Occam. Les résultats inattendus reçoivent des solutions improvisées. Il y a toujours une réponse.
Le mythe du big bang, avec sa représentation bizarre de notre situation dans l'Univers, accable la société par sa désespérance et le gaspillage d'argent et de ressources. La cosmologie moderne est brandie comme une religion laïque en concurrence avec le créationnisme et les scénarios de fin du monde. La science ne s’est pas encore libérée du carcan de notre passé mal compris.
La cosmologie via les modèles informatiques
La solidité d’une cosmologie se mesure à sa capacité à prédire de nouvelles découvertes probables et des voies de recherche dans d'autres disciplines. La cosmologie du big bang échoue à ce test. De nos jours, le sempiternel étonnement devant les données astronomiques incompatibles n’incite jamais à reconsidérer radicalement les hypothèses de base. « Revenir à la planche à dessin » ne veut jamais dire recommencer. Les mystères mentionnés plus haut n’ont aucune influence. Personne ne lit les documents originaux d’où a surgi le dogme. Les surprises font seulement marcher le financement du cirque de la science médiatique pour favoriser l’improvisation d’absurdités – « prouvées » par des modèles informatiques. Mais les modèles informatiques ne peuvent rien prouver. La plupart s’appuient sur des idées erronées, du genre considérer le plasma spatial comme du gaz magnétisé, et avoir tellement de paramètres ajustables que les modèles ne peuvent pas être prouvés faux. Les physiciens sont formés pour travailler dans un vide intellectuel. Il en résulte l’absence de progrès réel masquée par de plus en plus de gros titres scientifiques bizarres et des promesses de réussite future, qui n'arrivent jamais. Pensez à la promesse d'énergie thermonucléaire propre, illimitées « comme le Soleil », vieille de plusieurs décennies. Le manquement à cet engagement n’a jamais suscité de reconsidérer le Soleil. Mais cela peut être un indice.
D’abord, comprendre le Soleil
Martin Rees par Anne-Katrin Purkiss, 2006
Martin Rees, l’un des astronomes les plus éminents du monde, est professeur de cosmologie et d'astrophysique à l'université de Cambridge et Astronome Royal britannique. Dans son livre, New Perspectives in Astrophysical Cosmology [Nouvelles perspectives dans la cosmologie astrophysique] (C.U.P. 2000), il écrit : « Les mieux comprises des structures cosmiques sont les plus petites : les étoiles individuelles. » Rien ne pourrait être plus loin de la vérité ! Pas une seule des caractéristiques de notre propre étoile : couronne, chromosphère, photosphère granulaire, taches solaires, n’est prévue dans le modèle standard, basé sur la fusion thermonucléaire. Avec l’inondation de nouvelles données venant des sondes solaires et de celles focalisées sur la frontière entre le Soleil et l'espace interstellaire, il crève manifestement les yeux que nous n’entravons que couic au Soleil. Et ne comprenant pas le Soleil, nous ne savons rien de l'Univers !
Le Soleil est le point de basculement, le point de départ de l'ancienne cosmologie du big bang. Dans l'introduction de son livre, Rees écrit : « La gravité, presque indétectable entre les masses à l'échelle du laboratoire, est la force astronomique et cosmique dominante. Les structures de base de notre environnement cosmique, étoiles, galaxies et amas galactiques, toutes impliquent un équilibre entre attraction gravitationnelle et effet perturbateur de la pression ou de l’énergie cinétique. » Trois choses ressortent immédiatement. Tout d'abord, la gravité est la force la plus faible dans l'Univers. Ensuite, la gravité est incomprise. Et enfin, bien que des champs magnétiques soient détectés sur le Soleil et partout dans l'espace, il n'est fait nullement mention des courants électriques générateurs nécessaires dans le plasma, qui constitue 99,999 pour cent de l'univers visible ! Voilà un échec doctrinal essentiel à relever.
Les astrophysiciens ont des équations décrivant ce que fait la gravité et un évangile hyper-géométrique dénué de sens à propos de déformation spatiale en présence de matière. Ils n’ont pas songé au problème le plus fondamental : comment la matière produit-elle l’effet de masse et la gravité. Nulle part dans la cosmologie on ne trouve la structure électrique de la matière et la force électrique, qui est de 39 ordres de grandeur plus puissante que la gravité, qui est estimée considérable. Aussi longtemps que nous nous accrocherons à des concepts erronés et dépassés, nous ne comprendrons jamais le Soleil ni aucune autre étoile.
Un nouveau Soleil s’élève sur l'Univers électrique
Une nouvelle cosmologie est prête à être reconnue. L'Univers électrique inspire des gens de tous âges. C’est facile à comprendre. C’est une discipline expansive et complète, qui incite le « bricoleur de garage » à réaliser ses propres expériences. Elle fusionne à un degré poussé sciences dures et sciences humaines. Ceux qui la connaissent disent : « Elle est simplement logique. » Nous commençons pour la première fois à comprendre notre existence sur cette fragile planète bleue et notre relation au Soleil et à l'Univers stupéfiant.
Même au stade précoce de son développement, la théorie de l'Univers électrique a prédit avec succès et expliqué des découvertes surprenantes. C’est unique à l'ère spatiale, dans laquelle elle a grandi de l’approfondissement scientifique des premières données astronomiques. Elle ne suppose pas que le ciel a toujours eu l’apparence d’aujourd'hui, ni que les orbites préhistoriques des planètes sont rétroactivement calculables simplement. La recherche a abouti à reconnaître que de mystérieux pétroglyphes préhistoriques représentent fidèlement de puissantes décharges électriques dans les cieux préhistoriques. Cela associé à la physique moderne des plasmas et aux dernières découvertes des sondes spatiales, il était évident que l'électricité joue un rôle clé dans la dynamique céleste. Tout ceci a fait réfléchir à la nature électrique de l'astre central du Système solaire : le Soleil.
Caractéristique principale d’une véritable cosmologie, il n'existe pratiquement aucune discipline scientifique ou culturelle qui ne soit concernée par l'Univers électrique. La théorie de l'Univers électrique repose sur l'expérience et l'observation dans le monde réel, et non pas sur des « expériences pensées », un oxymoron, ou sur la spéculation libre à propos de ce qui pourrait bien se tramer invisible à l'intérieur d'une étoile ou dans les profondeurs spatiales. Elle montre plus clairement ce qu’il reste à découvrir et les directions prioritaires à étudier et explorer dans l'avenir.
Un Système solaire électrique troublant
Cette quête interdisciplinaire a atteint son apogée en 2000, lors d'une réunion à Portland, en Oregon, quand la nature électrique du Système solaire a été confirmée. Des preuves de ceci se sont accumulées depuis que les noyaux cométaires sont sous l'étroite surveillance de sondes spatiales. Mais, à la réunion, un grand spécialiste de la physique des plasmas a établi qu’une puissante activité électrique inhabituelle avait autrefois impliqué la Terre entière. Il a admis que les énigmatiques pétroglyphes préhistoriques représentent l'évolution des instabilités du plasma qu'il a observé dans les photos des plus puissantes décharges électriques générées en laboratoire. Des articles scientifiques annoncent la découverte d’un phénomène appelé « super-aurore », supposant la responsabilité du Soleil, et datant à peu près de la fin de la dernière ère glaciaire.
Toutefois, d'autres preuves convergentes ont confirmé qu’à l’échelle planétaire, les peuples anciens associaient certaines planètes à une arme redoutable appelée « foudre des dieux ». De nombreuses descriptions et représentations artistiques de ces « coups de foudre » ont révélé qu'il s’agissait de décharges de plasma à haute énergie. Ces planètes aujourd’hui lointaines ont été associées au chaos et à la terreur sur Terre. Certaines planètes ont aussi été représentées peu espacées dans une « grande conjonction » impossible dans un univers dominé uniquement par la gravitation, mais elles ont été gravées par milliers dans la roche. Le Soleil n'était pas responsable des « super-aurores ».
« Le grand jour de sa colère » – John Martin C., 1853
Toutes les évidences étayent une analyse antérieure, selon laquelle nous sommes les survivants traumatisés d’expériences célestes « apocalyptiques » dans la préhistoire. Ces cataclysmes semblent avoir déclenché le mystérieux développement soudain des premières civilisations. Ces événements ont été immortalisés dans les premières religions et de prodigieux monuments et constructions, et ils ont été reproduits dans des guerres destructrices. Les histoires mystérieuses de dieux planétaires se battant à coups de foudre dans les cieux sont aujourd'hui méprisées sans y réfléchir à deux fois, car elles ne s’accordent pas au mythe rassurant du mouvement d’horloge électriquement neutre d'un système planétaire newtonien, remonté il y a des milliards d'années. Pourtant, au 21ème siècle, nous faisons toujours instinctivement des guerres et des destructions insensées, tout en invoquant les dieux planétaires oubliés. La plus importante leçon de l'Univers électrique est peut-être sociétale. Guérir la compulsion de revoir la folie d'inspiration apocalyptique exige que nous soyons confrontés à la réalité de notre passé chaotique sur cette planète. Les implications pour la science, les sciences humaines et notre survie future, sont abyssales.
Un Soleil électrique ?
Les puissants échanges électriques entre les planètes sur des orbites excentriques aux temps de l'Homme préhistorique, sous-entendent un mécanisme électrique à l’œuvre dans le Système solaire pour rétablir rapidement l'ordre. Seule à l’œuvre, la gravité tend à augmenter le chaos plutôt qu’à rétablir et maintenir l'ordre. C’est pourquoi, la question centrale concerne la vraie nature de la gravité et de l’astre au centre de notre existence : le Soleil. Dans le passé, certains scientifiques ont établi des analogies entre les éclairs de foudre et les particularités sur le Soleil. Le physicien britannique C.E.R. Bruce a écrit : « Ce n'est pas une coïncidence si la photosphère a l'apparence, la température et le spectre d'un arc électrique ; elle a les caractéristiques d'un arc, parce que c’est un arc électrique ou un grand nombre d'arcs parallèles. » Giorgio Abetti, l’astronome italien spécialiste du Soleil, a écrit : « Il est vraisemblable que le problème de la dynamique des explosions influant sur les protubérances ne sera résolu que quand les conditions électriques ayant cours dans la chromosphère et la couronne intérieure seront mieux comprises. »
Néanmoins, notre conviction la plus chère est que nous comprenons la manière dont marche le Soleil, sans mentionner l'électricité. Inconsciemment, peut-être à cause de peurs existentielles, les scientifiques ont produit une histoire réconfortante, selon laquelle, grâce à la fusion nucléaire, le Soleil continuera à briller de façon constante pendant des milliards d'années. Mais est-ce bien le cas ? Un siècle se sera bientôt écoulé depuis que la promesse d'énergie de fusion, « comme le Soleil », a commencé à pousser la recherche dans le domaine énergétique. Elle a coûté très cher au public, sans rien donner. Sir Arthur Stanley Eddington nous a donné la base du modèle solaire standard dans son livre, The Internal Constitution of the Stars [Constitution interne des étoiles], publié en 1926. Le modèle solaire standard parle de calculs spécifiques, établis sur un jeu d'hypothèses de base dont la validité est acceptée. Eddington a écrit :
Eddington
« Dans la quête d’une source d'énergie autre que la contraction, la première question est de savoir si l'énergie qui rayonnera plus tard est actuellement cachée dans l'étoile ou si elle est captée en permanence de l'extérieur. Il a été suggéré que l'impact de la matière météorique fournisse la chaleur ou qu'il existe quelque rayonnement subtil traversant l’espace que capte l'étoile. De fortes objections peuvent être avancées individuellement contre ces hypothèses ; mais il est inutile de les examiner en détail, car elles sont apparues grâce à un malentendu sur la nature du problème. Aucune source d'énergie n’est de quelque utilité si l'énergie se dégage des profondeurs de l'étoile.
Il ne suffit pas de subvenir au rayonnement externe de l'étoile. Nous devons pourvoir au maintien d’une haute température interne sans laquelle l'étoile s'effondrerait. »
Ayant écarté les apports externes, Eddington a simplifié le problème en définissant le Soleil comme une « sphère de gaz idéale » isolée, soumise à sa propre gravitation, et qu’une source de chaleur en son centre « gonfle » à la taille que nous observons. Son modèle était limité car il n'avait aucune expérience pratique des phénomènes de décharges électriques dans un milieu presque vide, sinon il aurait pu comprendre la photosphère comme un phénomène de décharge électrique atmosphérique et non pas comme la surface du Soleil.
Cela met en évidence un problème fondamental avec la modélisation informatique moderne. Comprenons-nous bien ce que nous regardons ? Notre interprétation est limitée par notre expérience et notre imagination. Personne n'ayant l’expérience de l'intérieur d'une étoile, le complexe modèle solaire standard est ainsi purement imaginaire. Peu importe que la manière dont s’effondre un nuage moléculaire pour former une étoile n’ait pas été bien comprise et que le transfert de la chaleur interne d’un corps physique à travers une « zone de rayonnement » soit méconnu. Toujours est-il, la complexité impliquée en essayant d'obtenir le modèle solaire standard afin d’imiter ce que nous observons, a gardé les théoriciens occupés pendant un siècle – sans succès ! Une remise à plat se fait assurément attendre ?
Modèle solaire d’un ingénieur
Ralph E. Juergens (6 mai 1924 – 2 november 1979)
Depuis Eddington, il ne semble être venu à l’esprit de personne, à l'exception notable d’un ingénieur, le défunt Ralph Juergens de Flagstaff, en Arizona, que le Soleil peut être produit par « quelque rayonnement subtil traversant l’espace que capte l'étoile. » Juergens a participé à la recherche interdisciplinaire mentionnée plus haut, et il a vu la nécessité d'étudier la nature électrique du Soleil et du Système solaire. En 1979, il a publié un article fondateur, The Photosphere: Is it the Top or the Bottom of the Phenomenon we call the Sun? [La photosphère : Est-ce le haut ou le bas du phénomène que nous appelons Soleil ?]. Il a insisté sur le fait qu'aucune des caractéristiques observées du Soleil, comme la couronne, la chromosphère, les spicules, la granulation, les taches etc., n’avait affaire là, dans le modèle solaire standard. Par exemple, « ...la théorie établie de l'énergie stellaire est embarrassée par le comportement calme des granules de la photosphère du Soleil. » Les granules photosphériques sont censées être conventionnellement le sommet de violentes cellules de convection poussées par le four nucléaire au centre du Soleil. La convection interne est essentielle au modèle solaire standard, car elle est censée, « d’une manière ou d’une autre », générer les complexes champs magnétiques du Soleil.
L’observation de Juergens, à propos du « comportement calme des granules de la photosphère du Soleil », annonçait une découverte récente d’une équipe de scientifiques qui a développé une « IRM » des mouvements du plasma à l’intérieur du Soleil. Il a été rapporté que Shravan Hanasoge, un savant associé de recherche en géosciences à l'université de Princeton et professeur invité au Courant Institute of Mathematical Sciences de l’université de New York, avait déclaré :
« ...Nos résultats suggèrent que les mouvements convectifs à l’intérieur du Soleil sont près de 100 fois plus faibles que ce qui est attendu actuellement. Si ces mouvements ne sont vraiment que lents à l’intérieur du Soleil, alors la théorie la plus largement admise sur la génération du champ magnétique solaire est erronée, nous laissant sans théorie convaincante pour expliquer comment il génère ses champs magnétiques et avec la nécessité de réviser notre compréhension de la physique interne du Soleil. » (Tiré à part de documentations fournies par l’université de New York.)
Cette découverte aurait dû à elle seule sonner le glas du modèle solaire standard. Mais les croyances fondatrices ont la vie dure. Il y a eu plus tôt « le problème des neutrinos solaires » qui, depuis de nombreuses décennies, disqualifiait inéluctablement le modèle thermonucléaire du soleil, quand les flux de neutrinos furent jugés au mieux 3 fois plus petits que ce qui était prévu. Ce problème avait été balayé sous le tapis en supposant que les neutrinos dévient de leur trajectoire entre le cœur du Soleil et les détecteurs terrestres. Opportunément, les théoriciens n’ont aucun moyen de vérifier cela dans un avenir prévisible. Dans l’intervalle, il a été constaté que le nombre de neutrinos varie à l’inverse du nombre de taches solaires, qui sont un effet photosphérique ne pouvant être influencé par ce qui se passe au cœur du Soleil. Toute l'activité semble se passer dans la photosphère elle-même, ce qui attire l’attention sur la question peu commune de Juergens.
Un article paru récemment dans Nature (28 juin 2012), Swirls in the corona [Tourbillons dans la couronne], répond sans le vouloir à la fois à la question Juergens et au problème le plus insoluble pour le modèle solaire standard : « Les hautes températures associées à la couronne solaire ont fait de l’explication de leur existence l'un des plus vieux problèmes de l'astrophysique. »
Visualisation du plasma ionisé tournant en spirale grâce à la simulation numérique 3D d'une tornade magnétique dans l'atmosphère solaire.
Avec l'aimable autorisation de Wedemeyer-Böhm et autres.
L'article met l’accent sur la découverte de « super-tornades » dans la chromosphère, entre la couronne et la photosphère. On estime qu'il en existe en permanence plus de 10.000 en période calme du Soleil. Les chercheurs ont bondi sur un mécanisme de réchauffement possible de la couronne via ces super-tornades, qui sont reliées magnétiquement aux tourbillons photosphériques. Seulement, la manière dont se forment les tornades et la façon dont l’énergie est transférée des super-tornades à la couronne ne sont pas claires. Comme on pouvait le prévoir, il est présumé que toute cette énergie est poussée par le mouvement de convection et qu’elle piège les champs magnétiques sous la photosphère. Mais nous venons juste de voir plus haut que la convection photosphérique est insuffisante pour produire les champs magnétiques du Soleil.
Plus récemment (28 septembre 2012), dans la revue Science, un autre article, How Oblate is the Sun [Pourquoi le Soleil est aplati aux pôles] remarque : « ...le soleil n’apparaît pas aplati comme il devrait l’être... Les nouvelles mesures d’aplatissement exigent explication. » Prédire ou expliquer les observations, même les plus élémentaires concernant le Soleil, est une mesure de la nullité du modèle solaire standard. « Les observations donnent une foule de détails sur la photosphère, la chromosphère et la couronne. Mais nous avons du mal à accorder les observations à une théorie. » (Solar Interior & Atmosphere [Intérieur et atmosphère du Soleil], J.-C. Pecker) Mais les étudiants et le grand public ne sont pas mis au courant de cela par les médias. Il semble que les scientifiques oublient aussi cette vérité désagréable quand ils terminent une émission sur les recherches qui produiront de l'énergie thermonucléaire, « comme le Soleil ».
Ces découvertes récentes confirment l’alimentation électrique externe du Soleil de Juergens. Associées aux trouvailles sur l'interface entre Soleil et galaxie à l’héliopause, qui infirment tous les modèles théoriques antérieurs, elles ont achevé radicalement la théorie solaire standard. La photosphère est le bas du phénomène que nous appelons Soleil. Le Soleil peut désormais être facilement compris, et le modèle électrique est confirmé empiriquement puisque ce que nous pouvons voir est tout ce que nous avons besoin de connaître. Le Projet Thunderbolts est dédié à cette tâche.
Les paragraphes suivants démontrent brièvement la simplicité et la cohérence du modèle électrique du Soleil. Il s'agit d'un modèle unique qui explique depuis longtemps les mystères du Soleil et qui s'applique à toute étoile, de la brune à la bleue-blanche en passant par la rouge, et de la naine à la géante. Les différences stellaires sont toutes compréhensibles en fonction de trois modes de décharges de plasma différents : sombre luminescent et arc. L'Univers électrique répond à toutes les exigences d'une bonne théorie. Elle se conforme aux principes du génie électrique et de la science des plasmas spatiaux, tels qu'ils sont reconnus par l'Institut d’ingénierie électrique et électronique (IEEE).
Naissance des étoiles électriques
Les présentations médiatiques sur papier glacé montrent le Soleil et les planètes se formant à partir d’un nuage de poussière en rotation. Aussi, la plupart des gens s’étonneront que les experts considèrent la formation des étoiles comme une « question ouverte » et « le défi le plus important pour l'astronomie dans la prochaine décennie. » (R. de Grijs, 2012) Le défi devient plus coriace avec le perfectionnement des télescopes. Je prédis qu'il deviendra impossible quand de nouveaux instruments comme le télescope spatial James Webb et le Square Kilometer Array seront opérationnels. Des champs magnétiques inexpliqués sont impliqués. « Quelque chose crée et maintient à très grande échelle les champs magnétiques micro-Gauss cohérents. » (B. Gaensler, 2008) C’est pourquoi le bon sens suggère qu’il faille nous tourner vers la cosmologie du plasma, qui explique la formation des étoiles simplement en fonction de l’électromagnétisme.
Réseau de 27 filaments géniteur d'étoiles provenant d'observations du télescope spatial Herschel dans le nuage moléculaire IC 5146.
Crédit : D. Arzoumanian et autres.
Les étoiles se forment dans des nuages moléculaires, grâce au processus de convection de Marklund vers les filaments de courant ressemblant à une forme de foudre cosmique entre nuages. Cette découverte a surpris les théoriciens qui comptent sur l’accrétion gravitationnelle sphérique de la matière vers le centre de la masse, dont la force est inversement proportionnelle au carré de la distance, 1/r2. En fort contraste, la convection de Marklund concentre la matière le long d'un filament de courant grâce à une force électromagnétique à longue portée et plus puissante, inversement proportionnelle à la distance, 1/r. Fait significatif, la convection de Marklund sépare les éléments chimiques, entraînant au plus près de l'axe les plus froids et les plus facilement ionisables, comme le fer et le silicium. Avec suffisamment de matière le long du filament, la gravité aide à former le long d'un canal d’éclairs des étoiles et de petits astres séparés, un peu comme des perles lumineuses aux noyaux froids d'éléments lourds et aux atmosphères d'hydrogène et d'hélium. Notez qu'aucune réaction thermonucléaire ne peut s'allumer dans un noyau stellaire froid d’éléments lourds !
Origines des planètes électriques
Si les éléments lourds sont concentrés au cœur des étoiles, comment expliquer la formation de planètes dotées de noyaux d'éléments lourds ? Avec plus de 800 « exoplanètes » découvertes, le modèle d'accrétion standard est de plus en plus aux abois. Le premier problème a été la découverte des « Jupiter chaudes » sur des orbites basses autour d’étoiles. Selon le modèle d'accrétion, il est impossible pour elles de se former là. Les géantes gazeuses doivent donc, d’une façon ou d’une autre, avoir « migré » vers l'intérieur depuis une orbite plus éloignée. Mais le modèle d'accrétion exige de nos géantes gazeuses qu’elles migrent avant de se former, de sorte que les planètes intérieures aient le temps nécessaire pour acquérir les éléments qui les composent !
Au surplus, quelles étoiles arborent des « disques d'accrétion » ? Il est simplement supposé que ces disques sont dus à la chute gravitationnelle. Pourtant, la gravité est facilement vaincue par la répulsion électromagnétique, comme nous l'observons dans les éjections de masse solaire. C’est pourquoi les étoiles montrent des expulsions de jets et de disques plutôt que des disques d'accrétion. Parfois, pour des raisons dynamiques ou pour répartir la charge électrique sur une plus grande surface, la formation des étoiles se partagera électriquement en des systèmes stellaires binaires ou multiples. Ce scénario a le don d’expliquer en partie l'abondance étonnante de systèmes d'étoiles multiples et les « Jupiter chaudes » sur orbites rapprochées.
En outre, les naissances à foison de naines brunes et de petits astres à proximité d’un long cordon ombilical électrique, fournit une occasion de capture par les étoiles brillantes pour former des systèmes planétaires. La capture est grandement améliorée par l'échange d'énergie électrique lorsque la section transversale de la capture est incluse dans les limites de l’énorme portée électrique de l’étoile, appelée héliosphère (environ 200 unités astronomiques de large) ou « astrosphère ». Les naines brunes capturées par l’étoile brillante se verront voler leur source d'alimentation, perdront leur éclat et deviendront des géantes gazeuses. Cela explique un mystère connu sous le nom de « désert de naines brunes » [absence de naines brunes, ndt], autour des étoiles de la séquence principale.
Le processus de capture d'une naine brune implique son rajustement électrique draconien d’anode en cathode, que l’astre capturé accomplit grâce à une expulsion électrique de type cométaire de matériaux de son cœur d’éléments lourds et de son atmosphère, en formant des satellites et des anneaux. Certains débris expulsés s’échappent pour devenir des familles de comètes, des astéroïdes et des météorites. C'est un processus très similaire au morcellement électrique des noyaux cométaires, que l’on observe souvent quand ils sont très proches du Soleil.
L'applicabilité de ce modèle au Système solaire est évidente avec les géantes gazeuses lointaines qui arborent de nombreux anneaux et lunes. Avec son système d'anneaux spectaculaire, la planète Saturne semble être la toute dernière capturée. Les planètes intérieures sont des satellites perdus par des étoiles naines, jadis géantes gazeuses. Dernièrement, des astronomes ont commencé à suggérer que le proche environnement d'une étoile naine est propice à la vie. Mais il y a bien plus en ce qui concerne cette idée dans un univers électrique. Ainsi, le bizarre assortiment de planètes du Soleil et leurs satellites sont une famille adoptée et non pas originelle. La comparaison des inclinaisons axiales gyroscopiques stables peut montrer certaines associations familiales. Fait significatif, Saturne, Mars et la Terre semblent parentes par l’intermédiaire de cette hypothèse.
Les systèmes gravitationnels sont essentiellement chaotiques, car la perturbation des orbites n’est pas corrigée. Avec les intrus bouleversant le Système solaire, la question évidente est comment les planètes font-elles pour avoir un mouvement d’horloge ? Il est important qu’un mécanisme « amortisseur » efficace agisse pour faire respecter l'ordre dans le Système solaire. L'Univers électrique propose simplement que les protons, neutrons et électrons, comme les atomes qu’ils forment, possèdent aussi des structures orbitales et peuvent être déformés dans un champ électrique jusqu’à former de minuscules dipôles électriques. La gravité peut alors être comprise comme une forme de liaison moléculaire, comme la force induite entre les faibles dipôles électriques de toutes les particules subatomiques d’un astres. Cela donne la possibilité essentielle de modifier la gravité et l'orbite d'une planète en modifiant sa charge électrique de surface. Les planètes échangeant leur charge électrique, du moins par l'intermédiaire de leur gaine de plasma cométaire, ce genre de modèle gravitationnel pallie les collisions en ajustant les orbites.
La lumière des étoiles électriques
Le modèle de l'Univers électrique d'une étoile commence là où s’arrête le plasma des cosmologues. Il semble que les étoiles continuent à recevoir de l'énergie électrique du filament de courant galactique dans lequel elles se forment. Cela a été récemment confirmé par le « surprenant » afflux énergique d'atomes neutres (ENA) provenant d'un anneau entourant le Système solaire, aligné à travers le champ magnétique interstellaire. L’anneau, avec ses « points lumineux », indique la présence d'un « pincement » électromagnétique dans les cylindres coaxiaux du courant interstellaire qui alimente le Soleil.
Nébuleuse planétaire M2-9.
Cette « nébuleuse planétaire » montre un circuit stellaire coaxial typique en « mode luminescent » le plus actif. Centré sur l'étoile, le « pincement » électromagnétique du plasma est clairement visible.
Ainsi, la photosphère des étoiles devrait être considérée comme un phénomène de décharge électrique à échelle planétaire, au sommet même de leur atmosphère stratifiée par la gravitation, là où abondent les éléments les plus légers, l'hydrogène et l'hélium. Pour le théoricien spécialiste du Soleil, le problème est qu'il n'y a pas d'explication à la foudre dans l’atmosphère stratifiée par la gravitation de la Terre ! Bien moins compris sont les phénomènes mystérieux au-dessus des éclairs. Et ce manque de compréhension de l’importance de l'activité électrique dans la photosphère passe inaperçu aujourd'hui, bien que de nombreux scientifiques l’aient pressentie dans le passé. Par exemple, le spécialiste du Soleil Giorgio Abetti a écrit : « Les protubérances [solaires] peuvent être expliquées comme des décharges électriques. » (The Sun, 1963) Et Eddington lui-même a écrit : « S'il n'y a pas d'autre solution, nous pouvons devoir supposer que les spectres de raies lumineuses dans les étoiles sont produits par des décharges électriques d’une manière similaire à celles qui produisent des spectres de raies lumineuses dans les tubes à vide. » (1926)
Les étudiants apprennent une erreur fondamentale, que la conductivité du plasma spatial est si grande, qu’à l’intérieur tout champ électrique peut être annulé. Mais les expériences de décharges électriques dans les gaz montrent que, dans le plasma, ce sont les courants qui comptent et non pas les champs électriques. Partout où nous regardons dans l'espace nous trouvons des champs magnétiques qui sont dus à des courants électriques. Il est donc erroné, comme l’a fait remarquer Hannes Alfvén, de considérer le vent solaire seulement comme du gaz magnétisé, comme le fait l'approche classique. Alfvén a montré que le « vent » solaire est obligatoirement un courant « obscur » circulant dans un circuit entre le Soleil et son environnement galactique. Plus important encore, le champ électrique dans le volume de plasma à l'intérieur de l'héliosphère n'est pas nul, mais extrêmement faible – juste suffisant pour précipiter les protons du « vent » solaire loin du Soleil et inverser ensuite la direction pour amener le vent solaire à s'arrêter mystérieusement à la limite de l'héliosphère, ou « cathode virtuelle » de la décharge électrique solaire. La dernière découverte récente a été une surprise totale. « Il n'existe plus aucune indication de ce qui constitue la sortie du Système solaire et l’entrée dans la galaxie. » (S. Krimigis, Nature 489:21, 2012)
Les étoiles en tant qu’électrodes positives
Juergens a identifié les nombreux phénomènes de décharge électrique observés sur le Soleil à des caractéristiques du genre de celles au-dessus d’une électrode positive. Le potentiel du plasma interplanétaire « se ferme » sur cette anode – le Soleil. Ainsi, le potentiel électrique entraînant le Soleil est pour une grande part enfermé dans les limites lointaines de l’héliosphère – dans la région rencontrée par les deux sondes Voyager, là où, « mystérieusement », le vent solaire en vient à s’arrêter. Ce n'est nullement un mystère si le modèle électrique est appliqué au Soleil. La gaine de plasma de l’héliosphère est la « cathode virtuelle » dans le circuit du Soleil. Le champ électrique s’inverse d’abord à l’approche de la cathode, faisant décélérer les protons sans le moindre signe de « vent contraire » galactique. Au-delà de cette région, les protons accéléreront rapidement en s'éloignant pour devenir des rayons cosmiques. Venant de cette immense « cathode virtuelle » sphérique, les électrons convergent vers l’intérieur en se concentrant un billion de fois, le temps d’atteindre la photosphère et de faire jaillir l’éclat du Soleil.
Les courants filiformes qui suivent la direction du champ magnétique environnant en tombant sur la photosphère, sont les indices à rechercher. Ces filaments s’observent à toutes les échelles dans la couronne solaire, la chromosphère et la photosphère. La couronne solaire est tout simplement un effet de la décharge électrique coronale, dans lequel le plasma diffus est apparemment chauffé à des millions de degrés par le courant électrique qui le traverse. Pour revenir aux tourbillons dans la couronne, l'énergie n'est pas transférée du Soleil vers la couronne par l'intermédiaire des « super tornades » magnétiques, mais descend dans la direction opposée, vers le Soleil par les tornades électromagnétiques. Les « super tornades » sont typiques de l’auto-organisation du plasma soumis à des courants de forte densité. Les filaments de courant adoptent alors un chemin hélicoïdal, ou en forme de « tornade ». Ce phénomène est considérable quand on observe minutieusement la photosphère.
La « granulation » photosphérique
La photosphère peut à présent être envisagée comme un phénomène anodique. La décharge de plasma solaire passe du mode obscur dans l'espace interplanétaire, où elle est appelée à tort « vent solaire », au mode luminescent dans la couronne et la chromosphère, puis au mode arc dans la photosphère. La photosphère présente une structure granulaire complexe et des taches solaires qui ne sont ni expliquées ni attendues dans le cas où le Soleil diffuserait simplement son énergie interne. Juergens a écrit :
« ...L'idée de convection thermique pour expliquer la granulation photosphérique – un concept qui semblait d'abord largement soutenu pour sa ressemblance avec des granules et des cellules en forme de blocs dans la cire fondue – s’en tire plutôt mal quand elle est soumise à l’examen minutieux. En tout cas, la croyance que le Soleil génère sa propre énergie est si irrésistible que les difficultés pratiques sont généralement méprisées. Selon le consensus, il doit y avoir convection, et donc la granulation photosphérique doit être d’une manière ou d’une autre une manifestation de ce processus. »
Au lieu d’une convection thermique, Juergens a identifié la granulation solaire à un phénomène d’« aigrettes de décharge anodique », dans lequel un plasma secondaire « dense, très lumineux, apparaît soudain sous la pression d'un plasma primaire plus diffus, moins lumineux. »
Les aigrettes de plasma flottent et se déplacent au-dessus de l'anode. Dotées d’une charge nettement positive, elles se répartissent symétriquement au-dessus du plan anodique. (F. H. Clauser, Plasma Dynamics)
Irving Langmuir a décrit les aigrettes anodiques comme une région plus ionisée du plasma, en réaction à un courant excessif sur l'anode. Il semble que les granulations de la photosphère soient les sommets de millions d’aigrettes anodiques étroitement serrées, séparées par leur gaine plasmatique du plasma primaire de l'ionosphère solaire, qui forme des vallées sombres entre les granulations.
Le corps du Soleil est beaucoup plus petit que la place occupée par la photosphère. La forme sphérique, presque parfaite du Soleil est donc peut être due aux forces électromagnétiques associées à la nécessité d’arriver à la plus haute densité de tassement des aigrettes anodiques en haut de l'ionosphère du Soleil. La symétrie sphérique résulte de la décharge qui suit les lignes du champ magnétique en mode « force free ». Descendant sur la photosphère, la décharge engendre le dipôle du champ magnétique du Soleil, qui n’a aucune forme d’aimant droit prévue, ni regroupement des lignes de champ près des pôles. Cela répond au fait surprenant que les lignes du champ magnétique solaire se déploient uniformément à partir de la photosphère.
Aigrettes anodiques et constante solaire
Juergens parle de courbe de distribution du potentiel électrique à travers une aigrette anodique. Le Dr Donald Scott, ingénieur électricien, a reconnu que cette courbe est typique de la courbe de tension aux bornes d'un transistor. Cette idée donne une explication simple à un autre mystère du Soleil : Comment font la chaleur et la lumière du Soleil pour rester stables à 0,1 pour cent près (« constante solaire »), alors que l’émission de rayons X varie de façon marquée avec le cycle d'activité solaire ? La réponse est « par des moyens électroniques ! » Les rayons X proviennent de la couronne et des éruptions solaires, qui réagissent directement à la puissance absorbée variable provenant de la galaxie. Toutefois, une légère variation de la tension des aigrettes de plasma par rapport au corps du Soleil suffit à réguler le courant traversant les aigrettes, et donc la chaleur et la lumière de la photosphère.
Schéma du transistor analogique d’une aigrette photosphérique. Le corps du Soleil est froid à l'origine.
Avec l'aimable autorisation du D. Scott.
Les mystérieuses taches solaires
Pour être certains que nous comprenons le Soleil, et les étoiles en général, il faut d'abord être capable d'expliquer simplement les choses que nous pouvons voir. Il est par conséquent extrêmement important de comprendre les taches solaires, puisque ce sont les seuls endroits sur le Soleil qui donnent une vision momentanée du dessous de la brillante photosphère. Les taches solaires montrent une formation ressemblant à la pupille et à l'iris des yeux, la pupille étant la région sombre et l'iris la pénombre filamenteuse.
Gros plan de la section d'une tache solaire.
Les taches solaires ont été décrites comme « un phénomène manquant d’explication scientifique ». (E. N. Parker) Le manque découle d’un enseignement borné qui ne reconnaît pas le phénomène de décharge de plasma. Quiconque ayant observé les filaments qui serpentent dans les boules de plasma à la mode, aura vu la manière dont les courants électriques dans le plasma forment naturellement des filaments. Des structures filamenteuses de toutes tailles sont visibles dans les taches solaires. Mais les astrophysiciens parlent plutôt de « tubes de flux » magnétique, comme si le magnétisme pouvait être présent sans courant électrique. Chose notable, les taches solaires de même polarité magnétique ne se repoussent pas mutuellement. Cela nécessite que les taches solaires sont des paquets de filaments de courants parallèles réunis, conformément à la loi d'Ampère, passant à travers la photosphère. Les taches solaires sont l’empreinte de décharges concentrées provenant d’un beignet de plasma ou « plasmoïde » d’énergie électromagnétique stockée dans l'anneau entourant le Soleil au-dessus de son équateur.
Le plasmoïde solaire a été photographié dans les ultraviolets par SOHO. Il y a plus de cent ans, Kristian Birkeland a réalisé avec sa Terrella (petite Terre) une expérience qui démontrait cet effet.
Structure des aigrettes anodiques
Les photos à haute résolution des taches solaires nous permettent de voir la structure des aigrettes anodiques sous la photosphère. Elles montrent les granulations photosphériques perchées au sommet des filaments incandescents de la pénombre. La forme torsadée invisible de la décharge plasmatique détectée dans la couronne est visible en mode arc à une échelle plus fine dans les filaments de la pénombre. Il est typique pour les phénomènes plasmatiques de montrer les mêmes comportements sur une immense gamme de grandeurs.
Un filament de la pénombre est une décharge de plasma torsadée semi-transparente. Quand la densité du courant est élevée dans le filament, il s’avive jusqu’à former des stries mouvantes. Le centre plus foncé est visible pour l'observateur seulement sous des angles favorables de l'axe du filament.
Les films en accéléré des filaments de la pénombre montrent les mouvement descendants réguliers de leurs extrémités inférieures pareilles à des points brillants, appelés « grains de pénombre », qui sont en général plus lumineux que la photosphère. De manière conventionnelle, les vitesses verticales observées de la matière ne suffisent pas à transporter l'énergie rayonnée au loin par les pénombres. Aussi, la convection n'est pas la réponse. Pouvons-nous trouver dans l'atmosphère terrestre stratifiée par la gravitation une activité de décharge électrique comparable celle observée dans les filaments de la pénombre ? Les tornades terrestres font disparaître l'activité de la foudre sur une vaste zone en fournissant un chemin vers le sol à une décharge hélicoïdale intense mais lente, qui peut expliquer leurs puissants effets et leur longévité. Et comme une tornade, l'atmosphère solaire montre des filaments de pénombre lobés produisant l'énigmatique « flux d’Evershed » sortant des taches solaires.
Foyer de plasma dense.
Par analogie, les grains lumineux de la pénombre peuvent être des éclairs dans l'atmosphère plus dense à la base d'une cheminée de tornade incandescente. Ou plus probablement, ils peuvent être une autre étape d'instabilité du plasma appelée foyer de plasma dense (DPF), dans lequel la matière et l'énergie électromagnétique sont extrêmement concentrées dans un petit « plasmoïde ». En laboratoire, le DPF est la source d'énergie de fusion la plus simple et la plus prometteuse.
Toute étoile brillante produit des éléments lourds
Expérimentalement, un DPF fait jaillir la fusion nucléaire et est une source abondante de neutrons. Dans un environnement dense de plasma de protons et d'ions positifs, la capture de neutrons est nécessaire pour « construire » les éléments lourds à partir d'éléments plus légers. Nous avons donc là une possible solution simple à la production d'éléments lourds en continu par toutes les étoiles. On peut aussi s'attendre à ce que la nucléosynthèse complexe dans les granules de la photosphère produise un mélange de différents types de neutrinos. La modulation observée des neutrinos par les taches solaires est alors facile à expliquer, puisque les taches solaires dégagent des zones de la photosphère de la granulation. Le bon sens exige une alternative à l'histoire conventionnelle de la production d’éléments lourds à partir de la dissémination des seules et rares explosions de supernovae, suivie d’une manière ou d’une autre par l'accrétion de la matière dispersée pour former la « prochaine génération » d'étoiles contenant plus d'éléments lourds. De toute évidence, le modèle électrique du Soleil n’a pas besoin de la complexité invérifiable de la cuisine thermonucléaire stellaire et de l’évolution stellaire grâce au sacrifice d’étoiles.
Umbral « dots » [Les points dans l’ombre]
Considérer le Soleil comme un astre doté d’une activité électrique à échelle planétaire dans son ionosphère, fournit un indice pour un autre mystère solaire. Les taches solaires ont un champ magnétique intense, qui identifie l'ombre à l'empreinte du champ aligné sur une puissante décharge de plasma perçant la brillante photosphère aux niveaux inférieurs. L'ombre n'est donc pas uniformément sombre. Elle est remplie d’une sorte de granulation connue sous le nom d'« umbral dots », qui est plus fines et plus persistante que les granules de la photosphère, et est plus chaude (environ 6200°K) que la photosphère. Ce sont des caractéristiques que nous pourrions attendre d'un coup de foudre à de plus fortes densités de courant et atmosphériques que celles qui prévalent au-dessus, dans la photosphère. Chose significative, les filaments de la pénombre ont tendance à se diviser en forme d’« Y » à leur base et semblent impliqués dans la formation des points dans l’ombre. Aux plus fortes densités atmosphériques, les décharges plasmatiques ont tendance à se diviser en filaments plus minces. Il s'agit d'un phénomène observé lors de grands orages terrestres, qui s'étendent entre les lueurs de l'ionosphère jusqu’à la foudre au niveau du sol. Les éclairs chauffent aussi et précipitent vers le haut dans le canal de foudre les gaz de régions de plus hautes pressions vers les régions de plus basse pression. Cela peut expliquer, en partie, les points chauds de l’ombre sur le fond sombre du corps froid du Soleil.
Le cycle solaire
Dans le cadre du modèle solaire standard, le cycle solaire est une énigme. « Le cycle de l'activité solaire fascine pareillement scientifiques et amateurs depuis plus d'un siècle, mais son mystère reste entier, et même se corse au fur et à mesure que nous rassemblons de nouvelles données qui révèle toute sa complexité. » (D. M. Rabin et autres, Solar Interior & Atmosphere [Intérieur et atmosphère du Soleil]) Les tentatives de modélisation du cycle solaire comptent sur une dynamo hypothétique à l'intérieur du Soleil ; en d'autres termes, l'action inductrice des mouvements de fluides imprégnant l'intérieur du Soleil, explique les particularités apparaissant à l’extérieur du Soleil. Mais rien ne ressemble de loin au consensus actuellement existant sur le mode de fonctionnement de la dynamo solaire. Et le coup de grâce semble avoir été délivré par l’absence de mouvements de fluides découverte dernièrement sous la photosphère.
Le transformateur solaire.
Dans le modèle de l'Univers électrique, le cycle des taches solaires est simplement le résultat de la variation du courant continu d'entrée d’une décharge de plasma focalisée sur le Soleil. Pour qu’un courant continu circule, il doit y avoir un circuit. Hannes Alfvén a apporté le circuit mais a identifié à tort le Soleil à un générateur dans un circuit local fermé, au lieu d'une charge dans un circuit galactique. Le Dr D. Scott fourni le regard d'un ingénieur électricien sur les modifications du champ magnétique du Soleil dues à des variations du courant d’entrée. La simplicité est évidente. L'inversion du champ dipolaire du Soleil et de l'ordre des taches solaires au cours du cycle solaire est le résultat naturel de l’action d’un transformateur, car le courant d’entrée principal augmente et diminue mais ne s’inverse jamais. Le cycle solaire doit être prévu, puisque les circuits plasmatiques sont réputés pour leur tendance à osciller.
La masse stellaire
Cachée à la vue de tous, il y a la relation bien connue entre la masse et l'énergie, E = mc2, qui nous indique que la masse est une variable électromagnétique. Plus la tension électrique sur un corps est haute, plus est grande la charge de polarisation interne, et ainsi, plus la masse du corps est grande. La masse d'une étoile ne peut pas nous indiquer la quantité de matière qu’elle contient. C’est pourquoi, les estimations de la composition des corps célestes en fonction de la mesure de la masse et du volume de leur photosphère ne sont pas valides. La masse d'une étoile ne donne aucune information sur sa taille ou la composition de son noyau d'éléments lourds ou sur sa structure interne. Le fait que la relation échoue pour les naines blanches et les étoiles rouges est dû au fait que leur luminosité est générée respectivement par de considérables décharges coronales et chromosphériques en mode luminescent.
Relation entre masse et luminosité
La relation masse-luminosité stellaire est importante dans le modèle conventionnel car, en tentant de faire coller les observations, une tour de théorie chancelante a été édifiée. Le modèle est impossible à vérifier et nécessite un système ad hoc de « cuisine » thermonucléaire complexe et d’effets des « cendres brûlées » résultantes sur la structure interne de l’étoile. Si nous abandonnons la théorie standard, il nous faut une explication électrique.
Pour les étoiles brillantes de la séquence principale, la relation masse-luminosité indique que ces deux variables sont liées au niveau de tension électrique que subit l’étoile. Pour des gammes de masses différentes, les variations dans la relation masse-luminosité peuvent être attribuées à des différences dans la manière dont une décharge de plasma supporte la densité de courant à la photosphère. Par exemple, la luminosité dépend de l’éclat et de la taille de la photosphère, qui se dilate et change de couleur du jaune au bleu-blanc pour répondre à la montée de la tension électrique.
Au-delà du point de basculement
Qu'est-ce qu'il va falloir faire pour évacuer les anciennes croyances ? Le changement peut se produire lentement, de bas en haut, ou rapidement, de haut en bas. Malheureusement, les forces du haut ont tendance à favoriser la stagnation plutôt que le changement. La science moderne est devenue une structure monolithique, financée par les gouvernements et soumise à des fins politiques. Changer radicalement est sans doute plus difficile à réaliser dans une telle situation qu'à tout autre moment du passé. Le financement des scientifiques dissidents n’est pas disponible, leurs publications dans des revues scientifiques sont rejetées par les pairs anonymes du système de révision, et leur carrière compromise. Pendant ce temps-là, les médias acceptent paresseusement ce dont les « experts » les nourrissent.
C'est peut-être une ironie méritée que l'Internet, qui a été construit pour la communication entre scientifiques, fournisse désormais le moyen de contourner la censure pour atteindre un auditoire mondial. Les puissants organes de presse découvrent cela à leur grande gêne. Ainsi, pendant que les empereurs de la science se pavanent nus, des chercheurs venus de nombreuses disciplines convergent vers une nouvelle science appelée Univers électrique, qui propose une renaissance scientifique et culturelle sans précédent. Le Thunderbolts Project a été mis sur pied comme point focal de ce mouvement. Il finance désormais des bourses pour étudiants, des expériences et une conférence annuelle. Rejoignez-nous à la conférence annuelle de janvier 2013 du Projet Thunderbolts, appelée « The Tipping Point » [le point de basculement].
« Nous ne devons pas cesser l'exploration, et la fin de notre quête sera d'arriver là où nous avons commencé et de connaître pour la première fois notre place. » T. S. Eliot
Original : www.holoscience.com/wp/sciences-looming-tipping-point/
Traduction copyleft de Pétrus Lombard
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