L'Innocence des musulmans Téléchargement Gratuit
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LIBYE - Un simple film a déclenché le chaos dans les pays arabes. Intitulé "Innocence of Muslims" ("L'Innocence des musulmans"), l'oeuvre est à l'origine d'un violent attentat contre un consulat américain en Libye, et de manifestations en Égypte mardi 11 septembre, selon le Wall street journal.
En Libye, l'ambassadeur américain Chris Stevens ainsi que trois autres membres de l'ambassade américaine ont été tués dans la nuit de mardi à mercredi, qui a eu lieu à Benghazi dans l'est libyen, selon l'agence de presse Reuters. Une information confirmée à 13h30 heure française par le président Obama. "Un fonctionnaire américain a été tué et un autre blessé à la main. Les autres membres du personnel ont été évacués et sont sains et saufs", a indiqué à l'AFP Wanis al-Charef, vice-ministre libyen de l'Intérieur, chargé plus particulièrement de l'Est. Des manifestants armés se sont attaqués en début de soirée au consulat et des roquettes ont été tirées sur le bâtiment, selon des sources officielles libyennes.
Selon le porte-parole de la Haute commission de sécurité du ministère de l'Intérieur, Abdelmonoem al-Horr, des roquettes RPG ont été tirées sur le consulat. Des témoins ont indiqué à l'AFP que des manifestants ont arraché le drapeau américain et ont mis le feu au consulat, ajoutant que des affrontements ont eu lieu entre des forces de sécurité et des hommes armés et que les routes menant au bâtiment ont été fermées. "Des dizaines de manifestants ont attaqué le consulat et y ont mis le feu", a déclaré à l'AFP Omar, un habitant de Benghazi. Un autre témoin a indiqué que des salafistes se trouvaient parmi les assaillants, faisant état d'actes de pillage et de vandalisme.
En Égypte, des milliers de personnes, en majorité des salafistes, ont manifesté le jour anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis devant l'ambassade américaine au Caire.
Les Frères musulmans, première force politique d'Egypte, ont appelé mercredi à manifester à travers le pays vendredi contre le film. Le mouvement, dont est issu le président Mohamed Morsi, appelle dans un communiqué "à des manifestations pacifiques vendredi devant les principales mosquées d'Egypte pour dénoncer les insultes contre la religion et le prophète". La confrérie demande aussi à "toutes les forces nationales de rejoindre ces manifestations" vendredi, jour de la traditionnelle prière hebdomadaire des musulmans, dans ce communiqué signé par son secrétaire général, Mahmoud Hussein.
Mahomet dépeint en escroc et en train d'avoir des relations sexuelles
Selon le Wall Street Journal, le film a été réalisé par un Israélo-Américain, Sam Bacile, promoteur immobilier de 54 ans. Après la manifestation du Caire, il a déclaré au quotidien américain: "l'islam est un cancer". Selon d'autres sources citées par LCI,et figurant sur une page Youtube où est hébergé un exemplaire de la vidéo, le film aurait été réalisé en arabe par deux chrétiens coptes. Le long métrage a reçu le soutien du controversé pasteur américain Terry Jones, qui avait créé la polémique en brûlant des exemplaires du Coran en avril.
séquence du film l'innocence des musulmans
« L’innocence des musulmans » : les images du film anti-islam Vidéo LCIWAT sélectionnée dans Actualité
Hillary Clinton invoque la "tolérance religieuse"
Confirmant dans un communiqué la mort d'un agent du département d'Etat, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a déclaré que "certains ont essayé de justifier ce comportement brutal en le présentant comme une réponse à des éléments incendiaires diffusés sur internet". "Les Etats-Unis déplorent toute volonté délibérée de dénigrer les croyances religieuses d'autrui. Notre engagement en faveur de la tolérance religieuse remonte aux origines mêmes de notre nation", a ajouté Hillary Clinton, en soulignant: "mais que les choses soient claires: rien ne saurait jamais justifier des actes de cette nature". Elle a par ailleurs indiqué s'être entretenue avec le président de l'Assemblée nationale libyenne Mohamed al-Megaryef, des moyens de mieux protéger les Américains travaillant en Libye.
Le Congrès général national (CGN) libyen, la plus haute autorité politique du pays, a lui exprimé dans un communiqué son "indignation" et "sa condamnation dans les termes les plus forts" de l'attaque "criminelle" qui a conduit "à la mort et la blessure d'un certain nombre de personnes". Le CGN a annoncé l'"ouverture immédiate d'une enquête" et a indiqué que le président du Congrès, Youssed al-Megaryef a appelé à une réunion d'urgence avec le gouvernement d'Abdelrahim al-Kib.
Réactions aux États-Unis, en France et en Libye
Le président américain Barack Obama a fermement condamné mercredi l'attaque contre le consulat des Etats-Unis à Benghazi dans laquelle quatre Américains sont morts, dont l'ambassadeur Chris Stevens. Le président a rendu hommage dans un communiqué à l'ambassadeur et à ses collègues tués dans cette attaque menée contre le consulat des Etats-Unis à Benghazi. La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a fermement condamné mercredi comme un "attentat choquant pour toutes les consciences" l'attaque menée mardi contre le consulat américain à Benghazi en Libye dans laquelle quatre Américains, dont l'ambassadeur, ont péri.
De son côté, Laurent Fabius a demander aux autorités de "réagir" et "d'arrêter les coupables". Il a également estimé que cette attaque était "inqualifiable". "Nous avons condamné ces actions absolument inqualifiables, nous voulons dire aux autorités libyennes d'arrêter les coupables et de ne pas permettre ces exactions".
Le président François Hollande a "condamné" mercredi "avec la plus grande fermeté" l'attaque qui a provoqué mardi soir à Benghazi la mort de l'ambassadeur des Etats-Unis en Libye et celle de trois diplomates américains. "Je condamne avec la plus grande fermeté l'attaque qui a provoqué hier soir à Benghazi la mort de l'ambassadeur des Etats-Unis en Libye, Christopher Stevens, ainsi que celle de trois diplomates américains", écrit François Hollande dans ce communiqué diffusé par l'Elysée. "La France demande aux autorités libyennes de faire toute la lumière sur ces crimes odieux et inacceptables, d'en identifier les responsables et de les traduire devant la justice", poursuit-il. "Dans ces circonstances tragiques, j'exprime la pleine solidarité de la France avec les Etats-Unis", ajoute le président français, avant d'adresser "toutes (ses) condoléances aux familles et aux proches.
La Libye a présenté ses excuses mercredi aux Etats-Unis. "Nous présentons nos excuses aux Etats-Unis, au peuple américain et au monde entier pour ce qui s'est passé", a déclaré dans une conférence de presse à Tripoli Mohamed al-Megaryef, le président du Congrès général national (CGN), plus haute autorité politique du pays. "Nous nous tenons aux côtés du gouvernement américain face à ces (...) assassins", a-t-il encore dit, qualifiant l'attaque de "lâche".
"L'ONU s'oppose à toutes formes de calomnie contre une religion mais il n'y a aucune justification à une violence telle que celle qui a eu lieu à Benghazi", a déclaré lors d'un débat sur la Libye au Conseil de sécurité Jeffrey Feltman, secrétaire général adjoint aux affaires politiques.
Destruction de mausolées musulmans
Considérée comme fief des islamistes radicaux, Benghazi, deuxième ville du pays et bastion de la révolution libyenne, a connu une vague de violences ces derniers mois, avec des attaques contre des Occidentaux et des assassinats d'officiers de l'armée ou de la sécurité. Les autorités libyennes, déjà dépassées par la recrudescence des violences et la prolifération d'armes depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en octobre dernier, se sont trouvées depuis quelques semaines face à une montée en puissance de la mouvance salafiste.
La destruction de mausolées musulmans dans l'ouest du pays par des groupes d'islamistes extrémistes a révélé ces dernières semaines au grand jour la puissance de cette mouvance, jusque-là discrète, et connue pour avoir comme bastion l'Est libyen. Le ministre de l'Intérieur Fawzi Abdelali avait alors expliqué qu'il ne voulait pas risquer une confrontation avec les groupes extrémistes nombreux et bien armés.
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Le film L’innocence des musulmans
Des extraits du film, propagés sur la Toile, ont provoqué des émeutes en Egypte et en Libye entraînant la mort de l’ambassadeur américain.
Innocence of Muslims ou plus exactement L’innocence des musulmans est le titre du film américain, qui a mis le feu aux poudres en Egypte et en Libye, où des manifestations violentes ont eu lieu devant les ambassades américaines. Il aurait pu sombrer dans l’anonymat, mais ce brûlot anti-islam a rapidement fait le tour de la Toile, où quelques séquences qui ont filtré sur le Net ont enflammé les nombreux forums. Foncièrement anti-islam, la bande annonce de 13 minutes, diffusée en anglais sur Youtube, montre des forces de sécurité égyptiennes impuissantes face à une foule de musulmans pillant et brûlant les maisons de coptes égyptiens. Un round-up sur l’histoire, à l’époque du Prophète Mohamed, présenté sous la plus vile des images, entouré de musulmans égyptiens, particulièrement amoraux et violents à l’encontre des coptes.
Ces quelques séquences ont suffi pour enflammer la foule au Caire et à Benghazi. Réalisé et produit par Sam Bacile, un promoteur immobilier israélo- américain de 54 ans, originaire du sud de la Californie, ce film est sorti le 11 septembre, comme pour réagir aux attentats contre les deux tours jumelles de New York. Méprisant le Prophète, les quelques extraits de ce long métrage diffusés sur le Net ont provoqué la colère des musulmans contre surtout les représentations diplomatiques américaines. Dans une déclaration au journal américain, le Wall Street Journal, le producteur affirme avoir rassemblé cinq millions de dollars collectés auprès d’une centaine de donateurs juifs pour la production de ce film tourné en 2011 en Californie, avec 60 acteurs et une équipe de 45 personnes. Et pour faire dans la provocation, il qualifie l’islam de «cancer» tout en expliquant que le film «n’était pas religieux», mais plutôt «politique». Au journal Sacremento Bee, il précise : «Je veux aider Israël, (son pays d’origine, ndlr), en montrant au monde les défauts de l’islam. Le principal problème est que je suis le premier à mettre à l’écran quelqu’un qui représente le prophète Mahomet. Ça les rend fous (…), nous devons ouvrir les vannes. Après le 11 Septembre, tout le monde doit être jugé, même Jésus, même Mahomet.
Les Etats-Unis ont perdu beaucoup d’argent et de personnes dans leurs guerres en Irak et en Afghanistan, mais nous nous battons avec des idées.» Au journaliste de l’agence de presse américaine, Associated Press, il se déclare «désolé» de l’assassinat du fonctionnaire américain à Benghazi, par une foule en colère, tout en déplorant cependant «des ambassades mal gardées». Pour l’instant, seul le pasteur américain, Terry Jones, qui avait suscité, en avril dernier, la colère de la communauté musulmane, en brûlant des exemplaires du Coran soutient le brûlot du producteur israélo-américain. Dimanche dernier, dans un communiqué diffusé sur son site web, le pasteur avait déclaré : «C’est une production américaine, qui n’a pas pour but d’attaquer les musulmans, mais de montrer l’idéologie destructrice de l’islam.» Selon le journal français Le Figaro, le film «a été projeté il y a quelques mois dans un cinéma de Los Angeles».
Les quelques extraits ayant filtré sur le Net présentent le Prophète de la manière la plus abjecte, légitimant de fait la colère de la communauté musulmane, que ce soit en Egypte, en Libye ou ailleurs. Le journal Le Monde décrit les quelques séquences de ce métrage en disant : «Des acteurs en ‘costumes d’époque’ grossièrement incrustés sur des paysages du désert rejouent, dans un studio bas de gamme, la vie du prophète Mahomet : ce film amateur de mauvaise facture, nommé Innocence of Muslims, avait tout, techniquement, pour passer aux oubliettes de l’histoire du cinéma.» Un navet à cause duquel, malheureusement, quatre diplomates américains ont été tués et des appels à des actions anti-américaines inondent la Toile. Un remake de la publication des caricatures de l’artiste danois diffamant le Prophète…
Nakoula Basseley Nakoula[modifier]
Le 11 septembre 2012, lors d'une conversation téléphonique avec Associated Press, un homme identifié comme « Sam Bacile » affirme que le film a été produit pour attirer l'attention sur ce qu'il appelle les « hypocrisies » de l'islam2. L'homme déclare dans un autre entretien téléphonique que le film a été projeté dans son intégralité une seule fois, dans une salle de cinéma vide la plupart du temps, à Hollywood4. Ce Sam Bacile a prétendu être un « promoteur immobilier israélo-américain »5, et avoir 52 ou 56 ans.
Selon NPR, la principale radio non commerciale des États-Unis, leurs recherches n'ont pas permis de trouver de traces d'une personne de ce nom. Aucune propriété, numéro de téléphone, permis de conduire ne sont enregistrés sous cette identité aux États-Unis. Les autorités israéliennes ont déclaré ne pas avoir de données attestant de l'existence d'un tel citoyen israélien4.
Selon ABC News, Steve Klein, membre de « l’Église de Kaweah », se présentant comme « ayant contribué à la production », a déclaré que Bacile et autres bailleurs de fonds du film étaient des « réfugiés du Moyen-Orient ». Il a ajouté que « Bacile n'était pas Israélien ou Juif » et laissé entendre qu'il serait « unArabe chrétien citoyen américain ». Trois organisations chrétiennes américaines, dont deux répertoriées comme « des groupes promouvant la haine » par leSouthern Poverty Law Center et une autre militant pour les coptes égyptiens auraient « un lien avec la production ou la distribution finale du film »6. Steve Klein, avait déclaré auparavant que le nom « Sam Bacile » est, en fait, un pseudonyme pour une quinzaine de chrétiens coptes et évangéliques de Syrie, deTurquie, du Pakistan et d'Égypte7.
L'actrice Cindy Lee Garcia a déclaré que Bacile a prétendu être un magnat de l'immobilier israélien. Par la suite, il lui aurait dit qu'il était égyptien, elle rapporte l'avoir entendu parler en arabe avec d'autres hommes sur le plateau8.
Le 12 septembre, les recherches afin d'identifier ceux qui sont derrière ce pamphlet ont conduit à un copte de Californie, Nakoula Basseley Nakoula âgé de 55 ans, condamné pour malversations financières et qui a reconnu « un rôle dans la gestion et la logistique de la production » et a déclaré à Associated Press qu'il était « directeur de la société qui a produit Innocence des musulmans ». Il a nié avoir réalisé le film et affirmé ne pas connaitre Sam Bacile. Toutefois, son numéro de téléphone cellulaire est localisé près de Los Angeles à la même adresse que celle du cinéaste qui s'est identifié comme Sam Bacile. Il a aussi nié être Bacile. Durant son entretien avec un journaliste de cette agence de presse, il a présenté son permis de conduire pour prouver son identité « mais a gardé son pouce sur son deuxième prénom, Basseley ». D'autres vérifications faites par la suite indiquent d'autres liens entre Nakoula et le personnage Bacile. Le numéro de téléphone cellulaire de Bacile avait été donné à Associated Press par Morris Sadek, un activiste conservateur copte vivant aux États-Unis qui avait fait la promotion du film sur son site web9.
Tournage et projection[modifier]
L'International Business Times se demande « Tout cela est-il un canular ? » et note qu'il n'y a aucune preuve que la projection hollywoodienne du film ait eu lieu10.
Des acteurs et des techniciens ont confirmé avoir participé au tournage d'un film sous la direction d'un homme se présentant comme Sam Bacile. Ils ont annoncé qu’ils « se dissociaient du contenu de la vidéo de 14 minutes » présentée comme bande annonce. L'actrice Cindy Lee Garcia, de Bakersfield (Californie), qui joue dans le film le rôle de la mère de la future épouse de Mahomet, a déclaré au site Gawker que le tournage a eu lieu durant l'été 2011 et que la bande son de la vidéo avait été « doublée pour faire dire aux membres de la distribution des choses qu’ils n’ont pas dites. ». Elle a précisé « qu'il n’était d’ailleurs aucunement question du prophète Mahomet dans le scénario original, intitulé Desert Warriors »11,12.
Selon le site internet Gawker relayé par La Libre Belgique, le film aurait été réalisé par Alan Roberts (en), connu pour des petits budgets comme Karate Cop(1991). Il est aussi producteur de films érotiques, dont des adaptations de L'Amant de Lady Chatterley13. Il travaille beaucoup en tant que monteur sur de petites productions. Mais Alan Roberts n'aurait réalisé qu'une première version du film, celle-ci n'étant pas islamophobe. La version finale aurait été retravaillée par le producteur14.
Selon la BBC, un film intitulé The Innocence of Ben Laden avait été projeté deux fois le 30 juin 2012 dans un petit cinéma indépendant, le « Théâtre Vine », sur Hollywood Boulevard. Sa durée aurait été d'environ une heure et il n'aurait attiré « qu'une poignée de spectateurs aux deux séances », selon un témoin souhaitant rester anonyme. Il a ajouté que la personne qui avait organisé la projection était « un égyptien vivant en Amérique », et que « deux agents de sécurité égyptiens avaient été embauchés pour la soirée »15.
Selon le Los Angeles Times, le film n'a été projeté qu'une seule fois, devant moins de dix spectateurs, dans un cinéma situé sur Hollywood Boulevard, le The Vine Theater, loué pour l'occasion16.
Promotion[modifier]
Terry Jones, un pasteur américain qui s'est rendu célèbre en brûlant des exemplaires du Coran, a fait la promotion de ce film. Il a prévu de montrer une bande-annonce de 13 minutes le 11 septembre dans son église de Gainesville (Floride). Il a déclaré que « c'est une production américaine dont l'intention n'est pas d'attaquer les musulmans mais de montrer l'idéologie destructive de l'islam » et « de plus, le film montre de manière satirique la vie de Mahomet »5.
Le 2 juillet 2012, un extrait de 14 minutes du film, en anglais, est posté sur YouTube. En septembre, le film sous-titré en arabe, attire l'attention de dirigeantsmusulmans qui ont critiqué la description faite de Mahomet. D'après le Daily Telegraph, le film décrit Mahomet comme un défenseur de la pédophilie et unhomosexuel, et le montre en train d'accomplir des actes sexuels17.
Traduit en dialecte égyptien par des anonymes, une version en arabe a circulé sur Twitter[Quand ?], puis sur les chaînes d'information arabes, et égyptiennes en particulier qui ont diffusé des extraits du film et invité des personnalités musulmanes qui l'ont dénoncé.
Morris Sadek, un Égyptien copte connu aux États-Unis pour ses positions anti-islam a fait la promotion de ces images qui montrent la répression à laquelle les coptes font face en Égypte sur son site Internet et devant des chaînes de télévision. Il a déclaré que « Les violences engendrées en Égypte sont une preuve supplémentaire de combien la religion et les gens sont violents en Égypte, et une preuve que le film ne montre que des faits réels ». Il a été accusé d'être « l'instigateur » de ces images
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La rédaction