En Italie la crise n’est pas seulement économique. Les sites inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO sont vétustes. Certains s’effondrent même comme cela a été le cas d'une partie du mur à Pompéi en octobre 2011. Les autorités régionales ont un maigre choix : soit louer les sites historiques et culturels, soit tout simplement fermer les yeux. La parole à notre commentateur Sergueï Gouk.
De nombreux sites historiques, églises, monuments, ponts etc... risquent de s’effondrer. Le gouvernement qui s’applique à appliquer les mesures d’austérité budgétaire, alloue de moins en moins de moyens pour l’entretien des sites. Face au manque de financements, les régions acceptent tout ou presque. Les façades des églises, des cathédrales, des musées sont déjà ornées de panneaux publicitaires. L’opinion d’Alexandre Dukov, président du fonds russe Kultournoé Nasledié (Patrimoine culturel) :
« La situation que nous connaissons, est née de la non-exécution par les gouvernements, en l’occurrence le gouvernement italien, des engagements pris en matière de préservation et de restauration des sites faisant partie du patrimoine mondial de l’UNESCO. Bien sûr, l’argent, on en manque toujours. Pourtant chaque Etat est tenu des obligations qu’il doit exécuter. Vendre les droits de reproduction des images de ces sites est peut-être légitime. Mais installer des panneaux publicitaires à la proximité immédiate des sites ou, dans le pire des cas, sur ces sites-là, revient à détruire ceux-ci. A détruire le contexte historique de ce monument ainsi que la perception de celui-ci par les visiteurs. C’est du vandalisme qui ne peut pas être justifié ».
Selon les informations à la disposition du Washington Post, cette situation des sites culturels n’est pas propre à l’Italie.
french.ruvr.ru
De nombreux sites historiques, églises, monuments, ponts etc... risquent de s’effondrer. Le gouvernement qui s’applique à appliquer les mesures d’austérité budgétaire, alloue de moins en moins de moyens pour l’entretien des sites. Face au manque de financements, les régions acceptent tout ou presque. Les façades des églises, des cathédrales, des musées sont déjà ornées de panneaux publicitaires. L’opinion d’Alexandre Dukov, président du fonds russe Kultournoé Nasledié (Patrimoine culturel) :
« La situation que nous connaissons, est née de la non-exécution par les gouvernements, en l’occurrence le gouvernement italien, des engagements pris en matière de préservation et de restauration des sites faisant partie du patrimoine mondial de l’UNESCO. Bien sûr, l’argent, on en manque toujours. Pourtant chaque Etat est tenu des obligations qu’il doit exécuter. Vendre les droits de reproduction des images de ces sites est peut-être légitime. Mais installer des panneaux publicitaires à la proximité immédiate des sites ou, dans le pire des cas, sur ces sites-là, revient à détruire ceux-ci. A détruire le contexte historique de ce monument ainsi que la perception de celui-ci par les visiteurs. C’est du vandalisme qui ne peut pas être justifié ».
Selon les informations à la disposition du Washington Post, cette situation des sites culturels n’est pas propre à l’Italie.
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