L'Europe donne à la Grèce l'espoir d'avoir un répit. Le président de l'Eurogroupe Jean-Claude Juncker a promis d'essayer de donner plus de temps à Athènes pour réduire le déficit budgétaire comme le premier-ministre Antonis Samaras l'avait demandé.
La décision définitive sera prise après la publication du compte-rendu du trio européen sur la situation dans le pays. Cependant, pour le moment Berlin n'a pas l'intention de donner à Athènes le répit.
Dimanche Samaras doit rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande. Ici les problèmes peuvent surgir, croit l'économiste Vladimir Rozhankovsli.
Je ne pense pas que les Grecs auront ce répit. Il y aura des froissements sérieux avec les Allemands. Les Allemands sont persuadés qu'il ne faut pas coincer la nation. Elle doit avoir la possibilité de respirer et de se développer. Cependant, débarrasser des engagements et laisser couler l'affaire signifie donner un mauvais exemple pour tous les autres parce qu'en ce cas là, par exemple, les Espagnols seront induit en tentation: vous avez tout pardonné aux Grecs et pourquoi non pas à l'Espagne.
Si pendant les négociations de vendredi la chancelière fait des concessions, les électeurs et les membres de son parti ne le lui pardonneront pas, croit l'économiste Sergueï Khestanov.
Les élections approchent dans les pays où tout va bien. L'octroi de crédits à la Grèce éveille le mécontentement des citoyens. Les élections françaises ont montré qu'une chose pareille attend Madame Merkel. Les mécontentements rendent la possibilité de la cessations de l'aide à la Grèce très réelle. A son tour, la cessation d'aide provoquera le défaut de payement.
Selon l'expert, la sortie de la Grèce de la zone euro aurait dû avoir lieu beaucoup plus tôt. Aujourd'hui les hommes politiques européens payent pour ce qu'ils ont été menés à la bride des banques qui sont les plus grands détenteurs de la dette grecque.
Le nouveau délais de la sortie de la Grèce de la zone euro c'est la fin de septembre. La BCE, le FMI et l'Eurogroupe devront présenter les conclusions sur l'octroi du nouveau crédit à Athènes.
french.ruvr.ru
Dimanche Samaras doit rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande. Ici les problèmes peuvent surgir, croit l'économiste Vladimir Rozhankovsli.
Je ne pense pas que les Grecs auront ce répit. Il y aura des froissements sérieux avec les Allemands. Les Allemands sont persuadés qu'il ne faut pas coincer la nation. Elle doit avoir la possibilité de respirer et de se développer. Cependant, débarrasser des engagements et laisser couler l'affaire signifie donner un mauvais exemple pour tous les autres parce qu'en ce cas là, par exemple, les Espagnols seront induit en tentation: vous avez tout pardonné aux Grecs et pourquoi non pas à l'Espagne.
Si pendant les négociations de vendredi la chancelière fait des concessions, les électeurs et les membres de son parti ne le lui pardonneront pas, croit l'économiste Sergueï Khestanov.
Les élections approchent dans les pays où tout va bien. L'octroi de crédits à la Grèce éveille le mécontentement des citoyens. Les élections françaises ont montré qu'une chose pareille attend Madame Merkel. Les mécontentements rendent la possibilité de la cessations de l'aide à la Grèce très réelle. A son tour, la cessation d'aide provoquera le défaut de payement.
Selon l'expert, la sortie de la Grèce de la zone euro aurait dû avoir lieu beaucoup plus tôt. Aujourd'hui les hommes politiques européens payent pour ce qu'ils ont été menés à la bride des banques qui sont les plus grands détenteurs de la dette grecque.
Le nouveau délais de la sortie de la Grèce de la zone euro c'est la fin de septembre. La BCE, le FMI et l'Eurogroupe devront présenter les conclusions sur l'octroi du nouveau crédit à Athènes.
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La rédaction