Se trouvant actuellement dans la résidence de l’ambassadeur américain, cet affairiste véreux, reclus chez lui depuis des semaines, est depuis ce matin assiégé par les forces de police et les miliciens révolutionnaires. Avec ses propres miliciens armés, il a résisté aux forces de l’ordre toute une journée. Récit d’une tentative d’arrestation qui a échoué.
C’est notre confrère du site El-Sabeh News, qui a été la première à diffuser l’information ce matin : l’affairiste véreux et premier agent américain en Tunisie, Kamel Eltaëf, est menacé chez lui, au palais de Sidi Bousaïd. L’auteure de cet article, Sabah Chebbi, a contacté l’avocat de Kamel Eltaïef, M. Nizar Ayed, pour vérifier l’information en question. Maître Ayed lui a déclaré qu’il se trouvait en ce moment avec son client à son domicile et que ‘information était une intox. Il a précisé cependant et paradoxalement s’inquiéter pour son précieux client d’autant plus que ces derniers jours et jusqu’à présent, des membres des « Comités de protection de la révolution », en voitures ou à pieds, surveillaient la résidence de son client probablement « pour mettre à exécution leur menace, diffusée auparavant sur internet et par vidéo », selon laquelle « Si Kamel Eltaïef n’est pas arrêté avant le 14 janvier, on se chargera de la faire nous-mêmes ». M. Nizar Ayed a ajouté que son client a pris toutes les dispositions pour assurer sa propre sécurité.
Il y a quelques heures, nous avons eu plus d’informations grâce à Africain Manager. Nos confrères ont affirmé qu’au moins « 60 policiers, auxquels se seraient joints des éléments des Comités de protection de la Révolution, assiègent depuis 11 heures 15 minutes de ce samedi 12 janvier 2013, la maison de l’homme d’affaire tunisien Kamel Ltaïef, reclus chez lui dans sa maison de Sidi Bousaïd. Le siège de la maison de Ltaïef, aurait été levé vers 16 heures, après son refus de sortir et après que des policiers lui aient glissé une nouvelle convocation sous la porte ». African Manager a précisé que les policiers voulaient « l’amener de force, sur la base d’une convocation à la Brigade économique. Cette convocation, aurait été émise contre Kamel Ltaïef par l’avocat Chérif Jbali, selon ce que nous a déclaré l’intéressé, dans le cadre d’une plainte contre les Entreprises Ltaïef, Slaheddine et Kamel Ltaïef ». Ce dernier a parlé d’une « tentative de kidnapping à son égard » et a indiqué que « s’il ne s’était pas présenté ce jour à la Brigade Economique, il avait envoyé son avocat pour s’enquérir du sujet de la convocation et que cela n’aurait pas plu au Procureur qui tenterait ainsi de le kidnapper ».
Notre correspondant, dépêché sur place depuis 13h, nous a confirmé toutes ces informations en précisant qu’il y avait beaucoup plus que 60 policiers en uniforme et en civil et qu’il y a même eu une tentative de forcer le portail extérieur d’entrée au palais de Kamel Eltaïef à Sidi Bousaïd. Cet espèce de blocus a été » levé » après 16h, puisque les derniers policiers que notre correspondant a vu quitter les lieux, c’était il y a une heure, c’est-à-dire vers 18h30. Certains se sont repliés d’ailleurs dans l’avenue principale, dans un café juste en face de la pharmacie, où ils se trouvent encore.
Toujours selon notre correspondant et des informations parallèles, Kamel Eltaïef vit reclus dans son palais qu’il n’a pas quitté depuis 15 jours, et qu’il a quitté son domicile aujourd’hui, depuis ce matin et bien avant 11h, pour se réfugier dans la résidence privée de l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, adjacente au palais de l’affairiste véreux. Il est donc sous la protection des services de sécurité américain, ses patrons et ordonnateurs depuis 1982. On peut assurer et tranquilliser tous les amis tunisiens du bienfaiteur Eltaïef, qui est sous haute protection américaine pour empêcher la « Justice » de M.Bhiri et la police de M.Larayedh de faire leur devoir dans un pays supposé être indépendant. Depuis un mois, l’agent numéro un des américains en Tunisie, refuse tout contact avec le parquet et ne communique avec celui-ci que par l’intermédiaire de son avocat. D’où le mandat d’amené émis contre lui depuis plus d’un mois et qui a mis à exécution aujourd’hui samedi, 12 janvier en présence des forces de l’ordre. Les lèches-bottes de Kamel Eltaïef peuvent dormir tranquilles : cet affairiste véreux et premier mercenaire des Etats-Unis depuis les années 80, n’ira pas en prison comme Sami Fehri, Moncef Gouja, Sadok Chabaane, Mohamed-Lamine el-Abed…et bien d’autres encore. Pour la simple raison que ses protecteurs sont aussi les parrains de Rached Ghannouchi et de Rachid Ammar !
Au moment où nous nous apprêtions à publier cet article, nous apprenons que le mausolée de Sidi Bousaïd a été saccagé et incendié. Si cette information s’avère vraie –notre correspondant n’étant plus sur les lieux pour nous la confirmer-, qui a commis cet acte criminel ? Les salafistes comme ils disent déjà ? Ou les miliciens des « Comités pour la protection de la révolution », énervés de n’avoir pas pu arrêter Kamel Eltaïef ce matin ? Ou encore les barbouzes de cet affairiste véreux, qui est passé maître dans l’art des diversions et des manipulations ?
www.tunisie-secret.com
Karim Zmerli et F.B
Il y a quelques heures, nous avons eu plus d’informations grâce à Africain Manager. Nos confrères ont affirmé qu’au moins « 60 policiers, auxquels se seraient joints des éléments des Comités de protection de la Révolution, assiègent depuis 11 heures 15 minutes de ce samedi 12 janvier 2013, la maison de l’homme d’affaire tunisien Kamel Ltaïef, reclus chez lui dans sa maison de Sidi Bousaïd. Le siège de la maison de Ltaïef, aurait été levé vers 16 heures, après son refus de sortir et après que des policiers lui aient glissé une nouvelle convocation sous la porte ». African Manager a précisé que les policiers voulaient « l’amener de force, sur la base d’une convocation à la Brigade économique. Cette convocation, aurait été émise contre Kamel Ltaïef par l’avocat Chérif Jbali, selon ce que nous a déclaré l’intéressé, dans le cadre d’une plainte contre les Entreprises Ltaïef, Slaheddine et Kamel Ltaïef ». Ce dernier a parlé d’une « tentative de kidnapping à son égard » et a indiqué que « s’il ne s’était pas présenté ce jour à la Brigade Economique, il avait envoyé son avocat pour s’enquérir du sujet de la convocation et que cela n’aurait pas plu au Procureur qui tenterait ainsi de le kidnapper ».
Notre correspondant, dépêché sur place depuis 13h, nous a confirmé toutes ces informations en précisant qu’il y avait beaucoup plus que 60 policiers en uniforme et en civil et qu’il y a même eu une tentative de forcer le portail extérieur d’entrée au palais de Kamel Eltaïef à Sidi Bousaïd. Cet espèce de blocus a été » levé » après 16h, puisque les derniers policiers que notre correspondant a vu quitter les lieux, c’était il y a une heure, c’est-à-dire vers 18h30. Certains se sont repliés d’ailleurs dans l’avenue principale, dans un café juste en face de la pharmacie, où ils se trouvent encore.
Toujours selon notre correspondant et des informations parallèles, Kamel Eltaïef vit reclus dans son palais qu’il n’a pas quitté depuis 15 jours, et qu’il a quitté son domicile aujourd’hui, depuis ce matin et bien avant 11h, pour se réfugier dans la résidence privée de l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, adjacente au palais de l’affairiste véreux. Il est donc sous la protection des services de sécurité américain, ses patrons et ordonnateurs depuis 1982. On peut assurer et tranquilliser tous les amis tunisiens du bienfaiteur Eltaïef, qui est sous haute protection américaine pour empêcher la « Justice » de M.Bhiri et la police de M.Larayedh de faire leur devoir dans un pays supposé être indépendant. Depuis un mois, l’agent numéro un des américains en Tunisie, refuse tout contact avec le parquet et ne communique avec celui-ci que par l’intermédiaire de son avocat. D’où le mandat d’amené émis contre lui depuis plus d’un mois et qui a mis à exécution aujourd’hui samedi, 12 janvier en présence des forces de l’ordre. Les lèches-bottes de Kamel Eltaïef peuvent dormir tranquilles : cet affairiste véreux et premier mercenaire des Etats-Unis depuis les années 80, n’ira pas en prison comme Sami Fehri, Moncef Gouja, Sadok Chabaane, Mohamed-Lamine el-Abed…et bien d’autres encore. Pour la simple raison que ses protecteurs sont aussi les parrains de Rached Ghannouchi et de Rachid Ammar !
Au moment où nous nous apprêtions à publier cet article, nous apprenons que le mausolée de Sidi Bousaïd a été saccagé et incendié. Si cette information s’avère vraie –notre correspondant n’étant plus sur les lieux pour nous la confirmer-, qui a commis cet acte criminel ? Les salafistes comme ils disent déjà ? Ou les miliciens des « Comités pour la protection de la révolution », énervés de n’avoir pas pu arrêter Kamel Eltaïef ce matin ? Ou encore les barbouzes de cet affairiste véreux, qui est passé maître dans l’art des diversions et des manipulations ?
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Karim Zmerli et F.B
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