L'émir du Qatar devait célébrer à Tunis l'an 2 de l'ère américano-qatarienne. Appréhendant l'accueil très "chaleureux" que lui auraient fait les tunisiens réveillés de leur névrose révolutionnaire, il n'y a pas été. Comme tous les autres chefs d'Etat invités, qui ont mieux à faire que de célébrer une "révolution" à laquelle les tunisiens sont les derniers à y croire...sans vraiment y croire!
Le 14 janvier 2013, la Tunisie peut enfin tourner la page de sa tunisianité pour devenir un nouvel Emirat-bananier," une suzeraineté qatarienne" selon la formule consacrée, empruntée à un grand ami dans la vie. L'organisation fasciste et milicienne d'Ennahdha va dérouler le tapis rouge de l'ignominie et de la félonie taché du sang indélébile et noble des patriotes tunisiens au pied de l'Emir du Qatar, l'homme qui se rêve en Calife d'opérette. Prenant prétexte de la célébration des réjouissances du 2ème anniversaire de la Révolution du Jasmin, qui est son nom de code en réalité attribué par les stratèges du Département d'Etat, Ennahdha va apporter la Tunisie dans sa corbeille de mariage entre un esclave et son maître. La Révolution du jasmin fané est un stratagème conçu et mis en musique par les Yankees pour favoriser la main mise des wahhabites et les Mamamouchi turcs sur les pays du Croissant arabe dont le pays de Bourguiba en était la pièce essentielle du mécano US.
Mais au-delà des enjeux géostratégiques et géopolitiques sous-jacents à cette Révolution ubuesque et kafkaïenne, grandiloquente, burlesque, vaudevillesque, " karakouzienne", guignolesque, mais ô combien cauchemardesque pour le peuple tunisien car synonyme de sa descente aux enfers wahhabites et du règne du désordre chaotique, des troubles et de confusion, il n'en demeure pas moins que cette visite doit heurter et interpeller les patriotes tunisiens qui s'inquiètent de l'inféodation programmée de la Tunisie au 6ème Califat qui peuple les rêves du Premier Sinistre Hamadi Jébali, la marionnette de service de Mc Cain, un acteur majeur de l'ordre des IlluminatI.
En principe, quand on invite, on s'adresse à des symboles. Or, cette visite ne peut qu'être qu'une insulte aux valeurs de liberté, d'humanisme, de morale politique et de la démocratie. En quoi la présence de l’Emir Hamad Ben Khalifa al Thani sur le sol tunisien est un honneur pour le pays, si ce n'est pour sceller la main mise définitive du Qatar sur la Tunisie ? Lui-même est le symbole de trahison et d'ignominie en organisant un coup d'Etat de palais contre son propre père. Il n'est ni Mandela, ni Ghandi, ni Stéphane Hessel.
Il est le symbole du despotisme arrogant saoudien et du mépris de l'humain. Il est le symbole des souvenirs des années noires de la Tunisie de par sa qualité d'hôte de l'ancienne caste propriétaire du pays responsable du chaos dans lequel est plongée la Tunisie actuellement. Cet homme est moralement complice de la répression sanguinaire qui a frappé la Tunisie dans sa chair et son âme. Comment ce personnage hideux, la cause première des tourments du peuple tunisien et ami de ses despotes et argentier de la mafia islamiste peut-il honorer par sa présence profanatrice du sang des blessés et la mémoire des morts tombés sous les balles de ses sbires ? Il symbolise l'état de servitude et de servilité pathologique de la secte d'Ennahdha vis-à-vis de l'impérialisme wahhabite et la preuve vivante de la félonie des séides tunisiens qui veulent en faire le symbole de la grande nuit noire et grise de l'abdication de la souveraineté nationale au profit de cette province-confetti américaine. En le conviant, ils s'honorent et se réjouissent de leur ignominie culminant au plus haut degré du mépris de soi. Comme si leur ego de sangsue et de limace allait être flatté par la présence ignoble de leur maître-esclavagiste, la pire insulte pour la dignité de la Tunisie et une profanation de la terre sacrée de Saint-Augustin et de la République moderne de Bourguiba. Ils veulent marquer leur allégeance inconditionnelle au Prince du monde des ténèbres et du machiavélisme islamiste. La terre tunisienne irriguée du sang de ses vrais enfants et de ses martyrs, ne doit pas être profanée et foulée par les pieds d'un personnage maléfique, impérial, belliciste, un croque-mitaine imbu de sa personne, mégalomane, gargantuesque et à l'appétit féroce. Il se veut le Roi Ubu après avoir été le Prince des ténèbres. La fierté nationale est bafouée et la souveraineté populaire piétinée. Est-ce ça le sens premier de cette révolution de la "dignité" ?
Ce personnage sinistre, égocentrique, à l'ego surdimensionné et aux délires psychotiques de grandeur et aux appétits hégémoniques insatiables, vouant un véritable culte à la corruption, représente le degré zéro de la perversion morale et du vice érigé en vertu. Il est l'incarnation des maux qui gangrènent et minent la Tunisie, l'Egypte, la Syrie et la Libye. Agressif, violent et expansionniste. Comment peux-t-on inviter un homme qui symbolise la Pax Americana ? Un homme aux accents martiaux et bellicistes menaçant outrageusement de mettre l'Algérie à feu et en sang. Que signifie cette visite d'un personnage moyenâgeux et féodal plus soucieux de la cause de ses mentors américano-sionistes que la cause des peuples arabisés ? Ses hôtes voudront certainement ce jour-là, celui de la déchéance morale et de l'indignité humaine, déposer la vertu de leur âme damnée à ses pieds. Ils seront contrairement aux serfs au Moyen Age, qui ont leur propre existence sociale, ravis de se prosterner aux pattes de pachyderme de leur seigneur et maître. Sa visite sera annonciatrice du dernier chant du cygne en Tunisie. Un requiem pour sa dignité chèrement conquise et rapidement perdue. Une visite prélude de la vassalisation du pays. De la mise à mort de ses institutions républicaines. Une visite qui marquera l'amorce de la renaissance de la théocratie islamique. Celle du Coran-constitution et de la charia-loi publique et privée. Comment une assemblée symbole de la nouvelle république peut elle s'enorgueillir de la présence d'un ennemi de la démocratie et des valeurs de la République ?Tunisie-Secret.com
En guise de constitution, les Tunisiens auront la Charia comme présent nuptial. Les wahhabites font tout pour transformer la Tunisie en nouvelle vitrine de l'islamisme triomphant. En occident, ils utilisent le football à des fins de propagande idéologique ; chez les peuples soumis à l’islam venu d’Arabie, ils utilisent la terreur et la politique pour asseoir leur hégémonie. En Afrique, ils sèment la haine et l’obscurantisme dont les chrétiens sont les premières victimes. Cette visite est nouvelle mort pour les morts de sa « révolution » et une double blessure infligée à ses blessés dans leurs corps et leurs âmes. Elle est surtout le symbole de la qatarisation de la Tunisie et la félonie d'Ennahdha. C'est pire que le traité de Bardo et la défaite éclair des Arabes à la guerre des 6 jours.
Tunisie-Secret.com
Salem Benamar
Mais au-delà des enjeux géostratégiques et géopolitiques sous-jacents à cette Révolution ubuesque et kafkaïenne, grandiloquente, burlesque, vaudevillesque, " karakouzienne", guignolesque, mais ô combien cauchemardesque pour le peuple tunisien car synonyme de sa descente aux enfers wahhabites et du règne du désordre chaotique, des troubles et de confusion, il n'en demeure pas moins que cette visite doit heurter et interpeller les patriotes tunisiens qui s'inquiètent de l'inféodation programmée de la Tunisie au 6ème Califat qui peuple les rêves du Premier Sinistre Hamadi Jébali, la marionnette de service de Mc Cain, un acteur majeur de l'ordre des IlluminatI.
En principe, quand on invite, on s'adresse à des symboles. Or, cette visite ne peut qu'être qu'une insulte aux valeurs de liberté, d'humanisme, de morale politique et de la démocratie. En quoi la présence de l’Emir Hamad Ben Khalifa al Thani sur le sol tunisien est un honneur pour le pays, si ce n'est pour sceller la main mise définitive du Qatar sur la Tunisie ? Lui-même est le symbole de trahison et d'ignominie en organisant un coup d'Etat de palais contre son propre père. Il n'est ni Mandela, ni Ghandi, ni Stéphane Hessel.
Il est le symbole du despotisme arrogant saoudien et du mépris de l'humain. Il est le symbole des souvenirs des années noires de la Tunisie de par sa qualité d'hôte de l'ancienne caste propriétaire du pays responsable du chaos dans lequel est plongée la Tunisie actuellement. Cet homme est moralement complice de la répression sanguinaire qui a frappé la Tunisie dans sa chair et son âme. Comment ce personnage hideux, la cause première des tourments du peuple tunisien et ami de ses despotes et argentier de la mafia islamiste peut-il honorer par sa présence profanatrice du sang des blessés et la mémoire des morts tombés sous les balles de ses sbires ? Il symbolise l'état de servitude et de servilité pathologique de la secte d'Ennahdha vis-à-vis de l'impérialisme wahhabite et la preuve vivante de la félonie des séides tunisiens qui veulent en faire le symbole de la grande nuit noire et grise de l'abdication de la souveraineté nationale au profit de cette province-confetti américaine. En le conviant, ils s'honorent et se réjouissent de leur ignominie culminant au plus haut degré du mépris de soi. Comme si leur ego de sangsue et de limace allait être flatté par la présence ignoble de leur maître-esclavagiste, la pire insulte pour la dignité de la Tunisie et une profanation de la terre sacrée de Saint-Augustin et de la République moderne de Bourguiba. Ils veulent marquer leur allégeance inconditionnelle au Prince du monde des ténèbres et du machiavélisme islamiste. La terre tunisienne irriguée du sang de ses vrais enfants et de ses martyrs, ne doit pas être profanée et foulée par les pieds d'un personnage maléfique, impérial, belliciste, un croque-mitaine imbu de sa personne, mégalomane, gargantuesque et à l'appétit féroce. Il se veut le Roi Ubu après avoir été le Prince des ténèbres. La fierté nationale est bafouée et la souveraineté populaire piétinée. Est-ce ça le sens premier de cette révolution de la "dignité" ?
Ce personnage sinistre, égocentrique, à l'ego surdimensionné et aux délires psychotiques de grandeur et aux appétits hégémoniques insatiables, vouant un véritable culte à la corruption, représente le degré zéro de la perversion morale et du vice érigé en vertu. Il est l'incarnation des maux qui gangrènent et minent la Tunisie, l'Egypte, la Syrie et la Libye. Agressif, violent et expansionniste. Comment peux-t-on inviter un homme qui symbolise la Pax Americana ? Un homme aux accents martiaux et bellicistes menaçant outrageusement de mettre l'Algérie à feu et en sang. Que signifie cette visite d'un personnage moyenâgeux et féodal plus soucieux de la cause de ses mentors américano-sionistes que la cause des peuples arabisés ? Ses hôtes voudront certainement ce jour-là, celui de la déchéance morale et de l'indignité humaine, déposer la vertu de leur âme damnée à ses pieds. Ils seront contrairement aux serfs au Moyen Age, qui ont leur propre existence sociale, ravis de se prosterner aux pattes de pachyderme de leur seigneur et maître. Sa visite sera annonciatrice du dernier chant du cygne en Tunisie. Un requiem pour sa dignité chèrement conquise et rapidement perdue. Une visite prélude de la vassalisation du pays. De la mise à mort de ses institutions républicaines. Une visite qui marquera l'amorce de la renaissance de la théocratie islamique. Celle du Coran-constitution et de la charia-loi publique et privée. Comment une assemblée symbole de la nouvelle république peut elle s'enorgueillir de la présence d'un ennemi de la démocratie et des valeurs de la République ?Tunisie-Secret.com
En guise de constitution, les Tunisiens auront la Charia comme présent nuptial. Les wahhabites font tout pour transformer la Tunisie en nouvelle vitrine de l'islamisme triomphant. En occident, ils utilisent le football à des fins de propagande idéologique ; chez les peuples soumis à l’islam venu d’Arabie, ils utilisent la terreur et la politique pour asseoir leur hégémonie. En Afrique, ils sèment la haine et l’obscurantisme dont les chrétiens sont les premières victimes. Cette visite est nouvelle mort pour les morts de sa « révolution » et une double blessure infligée à ses blessés dans leurs corps et leurs âmes. Elle est surtout le symbole de la qatarisation de la Tunisie et la félonie d'Ennahdha. C'est pire que le traité de Bardo et la défaite éclair des Arabes à la guerre des 6 jours.
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Salem Benamar
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