Le journal français “Le Canard Enchaîné” révèle ce mercredi que François Hollande a “éviter d’énerver” le président Abdelaziz Bouteflika lors de son discours prononcé le 20 décembre dernier devant les parlementaires algériens en trappant une petite partie de son allocution.
A en croire le même journal, le président français avait reconnu la veille en réponse à une question d’une journaliste algérienne l’existence de divergences entre Alger et Paris sur le dossier syrien en affirmant qu’”il y a une différence, et je la respecte, mais nous nous avons considéré qu’il fallait, dès lors que nous souhaitions une transition, qu’il y ait bien un interlocuteur légitime qui représente la Syrie demain, c’est le choix que nous avons fait”.
Le lendemain lors du discours de François Hollande les deux phrases suivantes : “nous avons participé (avec les Algériens) à la réunion récente des Amis du peuple syrien” et “notre solidarité est essentielle à cet instant critique où le régime de Bachar El Assad fait la guerre à son propre peuple, et où nous devons aider les Syriens à trouver la voie de la liberté” sont effacées, toujours selon le “Le Canard Enchaîné” pour qui, l’évocation de la crise syrienne figurait dans la version écrite distribuée aux journalistes pendant qu’il était à la tribune. Alors que “le président français a fait l’impasse sur ce dossier à propos duquel les avis de la France et de l’Algérie divergent”.
A l’origine de ce changement de dernière minute dans le discours du président français, selon le même hebdomadaire, “un tête à tête quelques heures avant le discours de François Hollande, Abdelaziz Bouteflika a glissé une remarque au président français”. Bouteflika aurait relevé que le positionnement de la France en Syrie “n’est pas cohérent avec celui au Nord-Mali”.
Selon le Canard Enchaîné, c’est ce “message” qui aurait fait changer d’avis François Hollande évitant ainsi d’évoquer le dossier syrien dans son discours devant les parlementaires algériens.
A en croire le même journal, le président français avait reconnu la veille en réponse à une question d’une journaliste algérienne l’existence de divergences entre Alger et Paris sur le dossier syrien en affirmant qu’”il y a une différence, et je la respecte, mais nous nous avons considéré qu’il fallait, dès lors que nous souhaitions une transition, qu’il y ait bien un interlocuteur légitime qui représente la Syrie demain, c’est le choix que nous avons fait”.
Le lendemain lors du discours de François Hollande les deux phrases suivantes : “nous avons participé (avec les Algériens) à la réunion récente des Amis du peuple syrien” et “notre solidarité est essentielle à cet instant critique où le régime de Bachar El Assad fait la guerre à son propre peuple, et où nous devons aider les Syriens à trouver la voie de la liberté” sont effacées, toujours selon le “Le Canard Enchaîné” pour qui, l’évocation de la crise syrienne figurait dans la version écrite distribuée aux journalistes pendant qu’il était à la tribune. Alors que “le président français a fait l’impasse sur ce dossier à propos duquel les avis de la France et de l’Algérie divergent”.
A l’origine de ce changement de dernière minute dans le discours du président français, selon le même hebdomadaire, “un tête à tête quelques heures avant le discours de François Hollande, Abdelaziz Bouteflika a glissé une remarque au président français”. Bouteflika aurait relevé que le positionnement de la France en Syrie “n’est pas cohérent avec celui au Nord-Mali”.
Selon le Canard Enchaîné, c’est ce “message” qui aurait fait changer d’avis François Hollande évitant ainsi d’évoquer le dossier syrien dans son discours devant les parlementaires algériens.
Alter Info l'Information Alternative
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Nous vous invitons ici à donner votre point de vue, vos informations, vos arguments. Nous refusons les messages haineux, diffamatoires, racistes ou xénophobes, les menaces, incitations à la violence ou autres injures. Merci de garder un ton respectueux et de penser que de nombreuses personnes vous lisent.
La rédaction