Quand on doit créer un site Web ou que l’on passe derrière un autre webmaster, il y a certaines choses à faire. On peut tout faire à la main ou se servir de quelques outils bien pratiques qui permettent de gagner du temps.
Après avoir pris connaissance du cahier des charges et des demandes inhérentes à la prestation – dans un cadre professionnel – ou avoir dressé la liste de ce que l’on voulait faire – dans un cadre privé – on met les mains dans le cambouis, à savoir le code.
Comment être sûr(e) que le code est correct, surtout quand le site est bâti « from scratch », sans CMS ? Pour cela, il suffit de se servir du validateur unifié du W3C. Cet outil disponible en ligne gratuitement permet de vérifier l’intégrité du code. On peut entrer directement l’URL, charger un document ou coller directement les bouts de code à vérifier. Le validateur va vérifier le code HTML, le CSS ainsi que le flux RSS. Les résultats sont présentés en quatre colonnes indiquant le numéro de ligne, le bout de code qui ne va pas et l’explication sur l’erreur, ce qui permet de la corriger. L’outil permet également de vérifier également la conformité sur appareil mobile.
Lorsque l’on bricole un site Web, on utilise généralement son navigateur préféré et même si on le teste sur différents navigateurs, il arrive que l’on ne puisse pas le tester sur tous les navigateurs existants car ils sont spécifiques à certains systèmes d’exploitation. A partir de là, comment s’assurer que les pages vont être correctement chargées sur la majorité des navigateurs ?
Browsershot est là pour lever le moindre doute. Testant une page avec la plupart des navigateurs existants, sur quatre systèmes différents (Linux, Windows, MAC, BSD), il propose également de personnaliser certains paramètres comme la taille de l’écran, la profondeur des couleurs, la présence de Java et de Flash. Il intègre également les différentes versions des navigateurs y compris les plus anciennes comme Firefox 1.5. Il suffit d’entrer l’URL à tester et de le laisser travailler. Le chargement des screenshots peut prendre quelques minutes en fonction du nombre de navigateurs testés. Au moment de l’analyse, vous observerez un nombre de connexion montant, ce qui est normal donc pas d’inquiétudes. L’effet indirect sera donc faire de grimper les chiffres de lecture de certaines pages.
A noter que l'outil est limité à un essai complet (136 navigateurs) par jour.
Autre outil fort sympathique : Copyscape. Il va scanner le web pour savoir si des sites Web se copient. Par exemple, en faisant le test avec mon site, j’ai vu apparaître trois sites qui avaient repris intégralement ou partiellement certains de mes contenus. Dans la mesure où la licence appliquée ici le permet, que ce sont des flux RSS et que je suis citée, il n’y a aucun souci (merci au passage à tous ceux qui font des backlinks par ici). Mais lorsque certains violent manifestement les licences appliquées, cela permet de voir qui reprend les contenus – avec ou sans autorisation, ce qui évite de perdre un temps infini à fouiller les tréfonds des Internets.
Il existe bien sûr d’autres outils, notamment certains adds-on de Firefox qui permet d’avoir des informations sur un site Internet, notamment les DNS, le WHOIS, le poids des mots-clefs, comme Passive Recon ou KGen.
Après avoir pris connaissance du cahier des charges et des demandes inhérentes à la prestation – dans un cadre professionnel – ou avoir dressé la liste de ce que l’on voulait faire – dans un cadre privé – on met les mains dans le cambouis, à savoir le code.
Comment être sûr(e) que le code est correct, surtout quand le site est bâti « from scratch », sans CMS ? Pour cela, il suffit de se servir du validateur unifié du W3C. Cet outil disponible en ligne gratuitement permet de vérifier l’intégrité du code. On peut entrer directement l’URL, charger un document ou coller directement les bouts de code à vérifier. Le validateur va vérifier le code HTML, le CSS ainsi que le flux RSS. Les résultats sont présentés en quatre colonnes indiquant le numéro de ligne, le bout de code qui ne va pas et l’explication sur l’erreur, ce qui permet de la corriger. L’outil permet également de vérifier également la conformité sur appareil mobile.
Lorsque l’on bricole un site Web, on utilise généralement son navigateur préféré et même si on le teste sur différents navigateurs, il arrive que l’on ne puisse pas le tester sur tous les navigateurs existants car ils sont spécifiques à certains systèmes d’exploitation. A partir de là, comment s’assurer que les pages vont être correctement chargées sur la majorité des navigateurs ?
Browsershot est là pour lever le moindre doute. Testant une page avec la plupart des navigateurs existants, sur quatre systèmes différents (Linux, Windows, MAC, BSD), il propose également de personnaliser certains paramètres comme la taille de l’écran, la profondeur des couleurs, la présence de Java et de Flash. Il intègre également les différentes versions des navigateurs y compris les plus anciennes comme Firefox 1.5. Il suffit d’entrer l’URL à tester et de le laisser travailler. Le chargement des screenshots peut prendre quelques minutes en fonction du nombre de navigateurs testés. Au moment de l’analyse, vous observerez un nombre de connexion montant, ce qui est normal donc pas d’inquiétudes. L’effet indirect sera donc faire de grimper les chiffres de lecture de certaines pages.
A noter que l'outil est limité à un essai complet (136 navigateurs) par jour.
Autre outil fort sympathique : Copyscape. Il va scanner le web pour savoir si des sites Web se copient. Par exemple, en faisant le test avec mon site, j’ai vu apparaître trois sites qui avaient repris intégralement ou partiellement certains de mes contenus. Dans la mesure où la licence appliquée ici le permet, que ce sont des flux RSS et que je suis citée, il n’y a aucun souci (merci au passage à tous ceux qui font des backlinks par ici). Mais lorsque certains violent manifestement les licences appliquées, cela permet de voir qui reprend les contenus – avec ou sans autorisation, ce qui évite de perdre un temps infini à fouiller les tréfonds des Internets.
Il existe bien sûr d’autres outils, notamment certains adds-on de Firefox qui permet d’avoir des informations sur un site Internet, notamment les DNS, le WHOIS, le poids des mots-clefs, comme Passive Recon ou KGen.
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La rédaction