Dans l'islam, le mot halal ("permis", "licite"), définit ce qui est permis pour le musulman et haram ce qui est un péché et ce qui est sacré, et qui est donc interdit.
Dans le domaine alimentaire, pour que la viande soit halal, il faut que l'animal égorgé vivant ne soit pas préalablement étourdi et ait la tête tournée vers La Mecque pour qu'il se vide de son sang. Un musulman doit lui couper la carotide et les jugulaires, tout en prononçant des paroles sacrées : Bismillah allahou akbar (Au nom de Dieu le plus grand).
En principe tout ce qui provient de la mer est halal (licite). Au delà de cet aspect général du Halal dans l'alimentaire, plusieurs produits transformés ne sont pas Halal à cause de l'origine de l'un de leurs ingrédients ou additifs.
Le Coran et la sunna spécifient les aliments haram ainsi que les conditions sous lesquelles certains aliments deviennent halal :
"Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ce sur quoi on a invoqué un autre nom que celui de Dieu, la bête étouffée, la bête assommée ou morte d'une chute ou morte d'un coup de corne, et celle qu'une bête féroce a dévorée - sauf celle que vous égorgez avant qu'elle ne soit morte -. (Vous sont interdits aussi la bête) qu'on a immolée sur les pierres dressées, ainsi que de procéder au partage par tirage au sort au moyen de flèches. Car cela est perversité."
Enfin, selon l'association Islamic Concern for Animals pour qu'une viande soit halal, il ne suffit pas que la viande soit issue d'un processus obéissant à certaines règles strictement alimentaires : il faut aussi que le traitement de l'animal vivant suive les principes musulmans ; ainsi pour elle, il n'est pas halal d'élever un animal comme une machine (en élevage intensif par exemple), les animaux aussi méritant compassion, puisqu'ils sont, comme les hommes, des créatures de Dieu.
Dans le domaine alimentaire, pour que la viande soit halal, il faut que l'animal égorgé vivant ne soit pas préalablement étourdi et ait la tête tournée vers La Mecque pour qu'il se vide de son sang. Un musulman doit lui couper la carotide et les jugulaires, tout en prononçant des paroles sacrées : Bismillah allahou akbar (Au nom de Dieu le plus grand).
En principe tout ce qui provient de la mer est halal (licite). Au delà de cet aspect général du Halal dans l'alimentaire, plusieurs produits transformés ne sont pas Halal à cause de l'origine de l'un de leurs ingrédients ou additifs.
Le Coran et la sunna spécifient les aliments haram ainsi que les conditions sous lesquelles certains aliments deviennent halal :
"Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ce sur quoi on a invoqué un autre nom que celui de Dieu, la bête étouffée, la bête assommée ou morte d'une chute ou morte d'un coup de corne, et celle qu'une bête féroce a dévorée - sauf celle que vous égorgez avant qu'elle ne soit morte -. (Vous sont interdits aussi la bête) qu'on a immolée sur les pierres dressées, ainsi que de procéder au partage par tirage au sort au moyen de flèches. Car cela est perversité."
Enfin, selon l'association Islamic Concern for Animals pour qu'une viande soit halal, il ne suffit pas que la viande soit issue d'un processus obéissant à certaines règles strictement alimentaires : il faut aussi que le traitement de l'animal vivant suive les principes musulmans ; ainsi pour elle, il n'est pas halal d'élever un animal comme une machine (en élevage intensif par exemple), les animaux aussi méritant compassion, puisqu'ils sont, comme les hommes, des créatures de Dieu.
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La rédaction