Slim Riahi joue au barbouze avec l’argent des Kadhafi. En lançant l’UPL, il a même cru à un destin national. Après l’échec de son OPA sur Ettounsiya, son dernier sabotage de cette chaîne de TV montre que cet escroc ne lésine pas sur les moyens pour faire main basse sur les biens d’autrui. Portrait d’un malfrat britannique devenu notable tunisien.
Il est arrivé dans les égouts du « printemps arabe » grâce auquel il a hérité des millions de dollars planqués par le fils du colonel Kadhafi, Khamis Kadhafi, dans les banques suisses, italiennes et londoniennes. A la grande joie de Slim Riahi, le fils de Kadhafi a été tué en même temps que son père. Il a « hérité » d’un bon pactole qui lui a permis de s’acheter une notabilité dans cette nouvelle Tunisie. Fondateur de l’Union patriotique libre (UPL) et propriétaire du club africain, il ne lui restait plus qu’une chaîne de télévision pour devenir un acteur incontournable du jeu politique tunisien. Il a jeté son dévolu sur la meilleur d’entres elles, à savoir Attounisiya, fondée par Sami Fehri, le premier journaliste prisonnier politique en Tunisie. Avant d’aller plus loin, arrêtons-nous sur le parcourt de cet escroc recyclé dans la politique, comme beaucoup d’autres depuis que le jasmin a changé d’odeur en Tunisie.
Lire la suite:http://www.tunisie-secret.com/Slim-Riahi-escroc-et-mercenaire-de-pere-en-fils_a512.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Nous vous invitons ici à donner votre point de vue, vos informations, vos arguments. Nous refusons les messages haineux, diffamatoires, racistes ou xénophobes, les menaces, incitations à la violence ou autres injures. Merci de garder un ton respectueux et de penser que de nombreuses personnes vous lisent.
La rédaction