Suite à l’article sur le martyre de la petite mariée afghane1, des lecteurs musulmans indignés prétendent que cette « tradition » barbare, autorisant le mariage des fillettes dès l’âge de 8-9 ans, n’existe que dans certaines régions rurales, éloignées de la civilisation, et n’a aucun rapport avec l’islam et le mariage de Mahomet avec la petite Aïcha.
Ces musulmans d’Occident ne connaissent pas leur propre religion.
Protégés par nos lois républicaines, ils semblent ignorer ou refusent d’admettre que dans les pays musulmans, régis par la charia, les religieux au pouvoir ou proches du pouvoir par leur influence, multiplient les fatwas autorisant le mariage des fillettes, qu’ils justifient, contrairement à nos lecteurs, par l’exemple du prophète, en se référant au hadith authentique de Bukhari évoquant le mariage de leur prophète avec Aïcha, une enfant de 6 ans, qui fut consommé dès qu’elle eut ses premières règles, à l’âge de 9 ans.
Dans nos pays, les chefs religieux islamiques ne sont pas encore suffisamment puissants pour imposer cette loi « religieuse » abjecte, qui porte atteinte aux droits fondamentaux de l’enfant, mais certains imams, impatients de voir l’Occident sous la coupe de la charia, commencent à semer les graines de la légitimation de la pédophilie en référence à leur prophète.
Afin de permettre aux musulmans d’Europe de parfaire leurs connaissances de l’islam, voici quelques exemples :
Pays Bas :
L’imam al-Maghraoui a soutenu le le mariage des fillettes de 9 ans, en invoquant l’exemple de Mahomet, qui consomma son mariage avec Aïcha, dès qu’elle fut âgée de 9 ans. Cet imam fut banni des Pays Bas. (Source : Imam who backs child marriage should be banned from Holland: MPs, Dutch News, 6 décembre 2011)
Grande Bretagne :
Une enquête a révélé que des responsables de mosquée acceptent de pratiquer des mariages secrets avec des fillettes parfois âgées seulement de 12 ans.
Ils demandent aux parents de garder le secret sur le mariage. L’un des imams aurait déclaré : « dans la loi islamique, la charia, marier une fille de 12 ans n’est pas un problème ». (Résumé d’un article par sur le Daily Mail le 9 septembre 2012).
Toronto :
Des « savants » d’une mosquée affirment sur leur site web : « On peut marier des fillettes de moins de 9 ans. »
Arabie Saoudite :
Le Grand Mufti réaffirme que les filles sont mûres pour le mariage à 10 ans.( Source : Girls ready for marriage at 12 – Saudi Grand Mufti, Arabian Business, April 24, 2012).
C’est la même très haute personnalité islamique qui avait appelé à détruire toutes les églises du Moyen-Orient, alors qu’en Occident, les mosquées se multiplient à l’infini.
Dr Ahmed Al-Mub’i, officiant saoudien de mariage : «Le prophète Mahomet, dont nous suivons le modèle, a épousé Aïcha, quand elle avait six ans et a eu des rapports sexuels avec elle quand elle avait neuf ans » « Il est permis d’épouser une fillette d’un an, si les relations sexuelles sont reportées » déclare le Dr Ahmed Al-Mub’i et de citer l’exemple de Mahomet.
Iran :
Augmentation dramatique des mariages de fillettes de moins de 10 ans.
Mahomet, le modèle parfait, a épousé Aïcha, alors qu’elle avait six ans et il a consommé son mariage quand elle en a eu neuf. Selon la loi iranienne, les petites filles deviennent des femmes à l’âge de neuf ans. L’État organise des cérémonies pour marquer leur entrée dans « l’âge des devoirs».
Le député fondamentaliste Mohammad Ali Asfenani a affirmé que l’Iran avait une obligation religieuse de reconnaître la légalité du mariage des fillettes dès l’âge de neuf ans. «Puisque certaines personnes ne respectent pas nos lois actuelles, nous devons considérer qu’une fillette a atteint la puberté à l’âge de neuf ans et remplit les conditions pour se marier», a déclaré M. Asfenani, président de la commission parlementaire juridique et judiciaire, à Khabaar Online.
«Agir autrement serait une violation de la charia islamique».
(Source : Alarm as hundreds of children under age of 10 married in Iran, Telegraph, 26 août 2012)
Yemen :
Certains des leaders les plus influents de la communauté islamique Yéménite, dont un vit aux États-Unis, ont publiquement affirmé que “celui qui interdira les mariages d’enfants sera un apostat »
Le cheikh Abdul-Majid Al-Zindani, mentor « spirituel » de Ben Laden, fervent défenseur d’Al-Qaïda, a organisé une manifestation de femmes en niqab, afin de protester contre une proposition de loi relevant l’âge légal du mariage pour les filles de 9 à 17 ans, car cette loi serait contraire à l’islam.
En septembre 2009, une gamine de 12 ans, mariée de force, est morte après avoir lutté pendant trois jours en salle d’accouchement.
L’ONG Sister Arab Forum dénonce ces viols charia-compatibles.(Source Arab News)
Egypte :
L’économie de l’Égypte est en déroute mais la priorité est à la légalisation de la pédophilie et de la nécrophilie.
Le Conseil national des femmes d’Égypte (CNF) a appelé le Parlement dominé par les islamistes à ne pas approuver deux lois controversées, l’une rabaissant l’âge minimum du mariage et l’autre permettant au mari d’avoir des relations sexuelles avec sa défunte épouse dans les six heures suivant son décès, rapporte un journal égyptien. (Source : Al Arabya)
« l’Égypte commence à ressembler dangereusement au Pakistan. Nous sommes tranquillement en train de devenir un État voyou dysfonctionnel, à l’instar de ce pays. Pas plus tard que cette semaine, un membre salafiste de l’Assemblée constituante (les gens qui écrivent notre nouvelle constitution) a parlé d’efforts pour abroger ou modifier la loi afin d’abaisser l’âge légal du mariage des filles pour qu’elles puissent se marier dès la puberté, après leurs premières règles, même si elles ont à peine neuf ans. Eh oui, nous pourrions avoir une constitution qui nous accorde le droit de marier des enfants. Et si vous pensiez que c’était une guerre culturelle on peut affirmer sans risquer de se tromper qu’avec les islamistes au pouvoir, les épouses-enfants ne sont qu’un avant-goût de l’horreur que nous verrons sans doute dans les années à venir. »
Extraits An Open Letter to the United States of America, par Mahmoud Salem
Indonésie :
En prenant appui sur la loi islamique, une organisation musulmane majeure, la Nahdlatul Ulama [= “la renaissance des Oulémas”], a lancé une fatwa déclarant que les mariages des enfants pré-pubères étaient acceptables tant que le but de ces unions était de construire une famille heureuse.
Lors de la 32e édition du Congrès de la Nahdlatul Ulama, Cholil Nafis, secrétaire du comité pour les questions religieuses, confirma que l’assemblée était d’accord pour qu’il n’y ait aucune restriction d’âge pour le mariage car ni les versets sacrés coraniques ni les règlements [de la charia] ne stipulent qu’il existe un âge minimum.
« Elles peuvent être mariées à n’importe quel âge, même les petites filles qui n’ont pas encore leurs règles », dit-il. « Et elles peuvent avoir des relations et des rapports intimes [= des rapports sexuels] dès lors qu’elles en sont capables ».
Cholil rappelle que la loi islamique suggère seulement que les mariages semblent meilleurs après qu’elle ait eu ses premières règles. [référence au hadith authentique de Bukhari)
Maroc :
Mohamed Ben Abderrahman Al Maghraoui, un des symboles de la Salafia wahhabite au Maroc, avait lancé en 2008 une fatwa autorisant le mariage d’une fille dès l’âge dès 9 ans:
« On peut marier les filles de 9 ans. Elles sont plus performantes au lit que les femmes adultes »
Le Maroc subit l’influence montante de l’islam salafiste dont la propagation est financée par les pétrodollars saoudiens.
Un avocat marocain avait déposé une plainte contre cet islamiste marocain, déjà banni des Pays Bas :
« J’ai déposé une plainte contre un dénommé Mohamed Ben Abderrahman Al Maghrawi pour avoir émis un avis autorisant les filles à se marier dès l’âge de 9 ans », affirme Mourad Bekkouri, avocat du barreau de Rabat, dans sa plainte dont une copie a été remise à l’AFP.
« J’ai porté plainte contre l’atteinte au Code de la famille, aux droits des enfants et au risque de viol », a ajouté l’avocat.
Cet imam, ardent défenseur de la pédophilie, légitimée par le « mariage » réfugié en Arabie saoudite, a récidivé en 2011 en émettant une nouvelle fatwa.
Bahrein :
L’interdiction par les autorités du Bahreïn de la validation de tout mariage contracté entre des filles âgées de moins de 15 ans, et des garçons de moins de 18 ans, avait soulevé une vive polémique en 2007, sur fond d’atteinte aux valeurs de l’islam, les islamistes accusant le gouvernement de porter atteinte à l’islam et au prophète.
Cette décision prise par le Ministre de la Justice a été violemment critiquée par les radicaux chiites qui l’accusent « d’invalider de facto le mariage du prophète avec Aïcha, la mère des croyants». « Les musulmans doivent rejeter cette décision qui porte atteinte à leur prophète» a affirmé l’ouléma Issa Al-Qassem. (Mediarabe 2007)
Pour clore cet article en beauté toute islamique, justifiant la légitimation de la pédophilie par l’exemple du prophète, voici deux déclaration de l’ayatollah Khomeini, l’idole vénérée par des millions de Chiites :
« L’homme peut avoir le plaisir sexuel d’un enfant aussi jeune qu’un bébé. Cependant il ne doit pas pénétrer, mais sodomiser l’enfant. Si l’homme pénètre et cause des dégâts à l’enfant alors il devrait être responsable pour l’existence de cette fille pour toute sa vie. Cette fille, cependant ne compte pas comme une de ses quatre femmes permanentes. Cet homme ne peut pas épouser la sœur de cette fille. »
(Khomeini, « Tahrirolvasyleh », quatrième volume, Darol Orm, Gom, Iran, 1990)
(Khomeini, « Tahrirolvasyleh », quatrième volume, Darol Orm, Gom, Iran, 1990)
« Il est préférable pour une fille d’être mariée dans un tel temps quand elle commence sa première menstruation dans la maison de son mari plutôt que la maison de son père. Un tel père qui donne en mariage une fille si jeune aura une place permanente au Paradis. »
(Khomeini, « Tahrirolvasyleh », quatrième volume,Darol Orme, Gom, Iran, 1990)
(Khomeini, « Tahrirolvasyleh », quatrième volume,Darol Orme, Gom, Iran, 1990)
Actuellement en Iran, comme dans de nombreux pays musulmans, l’âge légal du mariage est déterminé par l’âge d’ Aïcha, quand elle fut mariée à Mahomet.
Lors de sa prise au pouvoir, l’ayatollah Khomeyni avait abaissé à 9 ans l’âge légal du mariage pour les fillettes (il avait été fixé à 16 ans à l’époque du Shah).
Cette relation entre Mohammed et Aïcha, sa femme-enfant, est décrite par un ensemble de Hadiths, parmi lesquels, le « Sahih Bukhari 5:58:236 : » Aïcha était une fillette de six ans ; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage « .
« Après Mahomet, rien de nouveau » : les coutumes et moeurs barbares de l’époque de Mahomet semblent être figées depuis le VIIe siècle dans l’esprit de certains, et les salafistes, wahhabites et autres « religieux » veulent les imposer au XXIe siècle, non seulement dans leurs pays, mais également en Occident.
Les musulmans occidentaux devraient prendre conscience de la nature violente, intolérante et barbare de l’idéologie islamique, et non se laisser bercer par la version édulcorée de l’islam, momentanément enseignée en Occident, dans l’attente d’une prise du pouvoir par les islamistes, ce qui leur permettrait d’appliquer la loi islamique, dans toute son horreur, en lieu et place de nos lois démocratiques.
Qu’ils ouvrent les yeux sur la réalité de l’islam dans les pays musulmans, où la charia n’apporte que ruine, larmes et désespoir.
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La rédaction