Où se trouve-t-il Bouteflika en ce moment ?
Bouteflika a-t- il été réellement transféré à Paris. ? Qui a donc donné l’ordre de le transférer dans un hôpital militaire français. ? Selon d’autres sources, ce transfert est entouré de mystères et d’une situation explosive. Certains affirment, posséder des informations sûres, certaines et véridiques sources . ? Que Bouteflika a fait l’objet d’un enlèvement par la mafia de généraux. ? IL est en ce moment séquestré quelques parts, sur ordre des généraux mafieux. ? IL est placé dans un isolement total, il est privé de toute communication avec son peuple et ses amis. S’agit-il d’un coup d’état militaire, en préparation avec la complicité et la bénédiction de la France. ? D’autres affirment, que Bouteflika, n’a jamais été hospitalisé à l’hôpital militaire français, que toute cette histoire fut maquillée par les généraux avec la complicité des français. ? Qui dit la vérité. ? Si le pays avait une presse libre, un e presse à qui on fait l’honneur de l’inviter et de lui ouvrir toutes les portes, elle est digne d’informer le peuple dans tous les détails. Mais l’interdiction de deux journaux, la censure qui frappe la presse, prouve, au peuple algérien, que ce pouvoir incarne une dictature cruelle, une dictature féroce, coupable de tous les crimes imprescriptibles, coupables de génocides et à cause de cette sanguinaire dictature, nous sommes plongés dans une obscurité totale, nous ne savons rien sur le malade supposé transféré. ? Ou est-il, à Paris, à Alger, à Genève, à Tel-Aviv. ? Où se trouve-t-il en ce moment. ? La presse, n’est pas autorisé, les journalistes sont empêchés, les chaines des TV algériennes, ne sont pas dépêchées sur les lieux. ? L’absence du ministre de la communication, à Paris, en est une preuve que le malade n’est pas à Paris. ? En l’absence d’une presse libre et indépendante, nous sommes, conditionnés par la rumeur publique, la seule qui échappe au pouvoir et le peuple souffre de cet état de verrouillage systématique et de rétention de l’information, incompatible avec la démocratie. ? IL faut le dire haut et fort, que nous sommes dans un état policier, prédateur corrompu.
Le peuple exige toute la vérité. Aucun régime, n’a le droit de nous priver de savoir et de connaitre la réalité et de suivre cette hospitalisation mystérieuse et énigmatique. Ce régime n’a aucun respect, i de considération à l’égard du peuple, qu’il méprise de haine et de farouches sentiments inhumains.
La maladie de Bouteflika, prouve au peuple, que ce malade, n’est qu’un piètre figurant, de la mafia des généraux, qui gèrent et dominent le pays sans partage. Cette maladie a démasqué la vraie nature de cette mafia, laquelle a pris Bouteflika en otage, et il n’a jamais un authentique et un quelconque pouvoir entre ses mains, il n’est que l’exécutant des ordres des généraux mafieux. La mafia use de mensonges et de subterfuge pour dissimuler la vérité au peuple, une politique basée sur la séquestration et le silence complice d’un futur coup d’état militaire en vue. La mafia, s’empare de Bouteflika, pour l’éloigner de l’hôpital militaire à Alger, de peur, que certains divulguent les secrets susceptibles de contrarier leurs plans. Ils se sont arrangés, pour l’expédier à Paris et s’assurer de son isolement et de son écart de sa fonction toute symbolique. L’affaire de Hichem Aboud, dévoile la stratégie des généraux membres de la mafia, qui n’est pas habituée aux actes de désobéissance des éditeurs disciplinés et dociles pour publier des articles sans l’aval de la DRS. Pour prévenir, tous les Editeurs, et en particulier, el-Watan, la publication rebelle, les généraux mafieux décident de frapper fort les journaux qui ont osé révéler l’état de santé de Bouteflika ; mon journal et el-djarida d’une interdiction une manière de passer un message, d’intimidation à l’égard des éditeurs privés, de se tenir à l’écart et de ne pas imiter cette publication qui n’est pas du gout des décideurs mafieux. Toute cette agitation prouve que la situation est grave et que le malade est séquestré, dans un bâtiment militaire, comme s’il s’agissait d’un prisonnier, n’ayant aucun droit de communiquer avec son peuple. Cette situation est tragique pour le malade pris en otage, pour le peuple qui ne sait rien, risque de mettre les généraux dans les bancs des accusés et cette panique qui ébranle les généraux n’est pas sans lien avec la peur du changement rapide et radical.
C’est la confusion totale et je crois sans pouvoir étaler toutes les preuves, que M. Hicham dit la vérité, une vérité qui dérange les généraux mafieux. Dans un état démocratique qui se respecte un Président, doit pouvoir communiquer avec son peuple. Si au contraire, M. Aboud Hicham, a menti au peuple, il ne tient qu’au pouvoir, de filmer en direct le malade, en présence de personnes, membres de sa famille, ses amis et des journalistes français et étrangers invités à cette manifestation de la vérité.
Tous les membres du régime illégitime sont des menteurs et usent et abusent de mensonges flagrants et indignes. Au lieu de dire toute la vérité au peuple, le régime des militaires mafieux, usent de la censure et de l’interdiction de deux journaux qui ont courageusement dit au peuple la vérité sur la maladie ou sur l’enlèvement et la séquestration d’un Président d’un pays souverain. ????? ?
La censure d’ une publication est un crime , l’interdiction de journaux, est aussi un crime, on n’a pas le droit de priver le peuple d’informations, le régime, s’il était ce qu’il prétend, il y a qu’une seule manière de prouver au peuple, que la presse ne dit pas la vérité, c’est de mettre à la disposition de Bouteflika, un dispositif d’une chaine sur les lieux de sa détention et de sa séquestration, qui doit lui assurer de communiquer avec le peuple, deux fois par jours en direct. De saluer les citoyens algériens, hommes et femmes, de s’entretenir avec eux et de leur dire toute la vérité sur sa maladie, sur sa présence à l’étranger et qu’il n’est pas atteint d’une maladie honteuse pour la cacher. ? C’est la seule façon, de prouver que les éditeurs profitent d’une situation de confusion et de dire toute la vérité au peuple, de ce choix de traitement médical à l’étranger. Qui a donc décidé de ce transfert en catimini, à l’étranger dans un établissement militaire, dans le but de le soigner dans le plus grand secret. ? Est-il réellement à Paris. ? Qui a pu s’entretenir avec le pseudo malade. ? Nous sommes dans une période d’une complexe ambigüité, le régime cache la vérité au peuple et tente d’entretenir un état basé sur les mensonges et les intrigues. Qui peut prouver, à l’opinion publique et internationale, que les journaux Algériens inventent des mensonges. Sur l’état de santé de Bouteflika .? C’est le malade, lui-même, qui doit prendre la parole, et d’informer le peuple de sa convalescence et de son traitement médical prolongé. Mais comme le pouvoir militaire, qui gère la situation du malade, ce pouvoir illégitime et mafieux, n’autorise, ni le ministère de la communication, ni son médecin personnel, ni la télévision algérienne. Ni les membres de sa famille, ni les journalistes arabes et étrangers, pour s’assurer, qu’il se porte bien, et que son état ne cesse de s’améliorer. ? Est- lui, Bouteflika, qui refuse de communiquer avec son peuple. ? Qui peut le prouver. ? Pourquoi, son frère, Said, ce parrain de la mafia, si impliqué dans les scandales, ne se manifeste plus. ? Est-il de mèche avec les coupables de cet enlèvement spectaculaire. ?
Pourquoi, ce silence injustifié, un malade qui représente tout un peuple, a parfaitement le droit, de recevoir les journalistes algériens, de recevoir ses amis, et de nous dire comment il se porte et quels sont ses futurs objectifs. ? Non, on le cache au peuple, on le séquestre, on l’isole et on le prive de communiquer avec le peuple. ? C’est un drame pour le peuple algérien qui ne sait rien sur l’état du malade. Est-il vivant. ? Est-il mort. ? Est-il dans un coma profond pour ne pas pouvoir communiquer avec son peuple. ? Alors qui dit la vérité. Qui a intérêt à prolonger cette hospitalisation en catimini pour cacher la vérité au peuple. ? Si la presse algérienne, est systématiquement tenue à l’écart, comment le peuple, peut-il avoir des nouvelles de son Président gravement malade, si nos braves journalistes ne sont ni invités ni autoriser à rendre visite au malade.? La presse algérienne, fait un excellent travail, en dépit de toutes les intimidations et les chantages, les journalistes sont courageux, et dignes de respects. C’est le régime des généraux corrompus qui est pourri jusqu’à la moelle épinière. Un régime de prédateurs, de criminels, d’assassins qui ont les mains tachées de sang des innocents s. Ils vont subir le même sort que le général Argentin, mort en prison.
C’est une honte pour ce régime de séquestrer un malade et de spéculer sur sa maladie. Je suis certains, que si le Président, avait la liberté de communiquer avec le peuple et de s’entretenir avec son peuple, de lui dire toute la vérité, le peuple algérien, se sentira très touché, car il est humain et sensible, il organisera, une prière spéciale, pour invoquer la miséricorde et la clémence et la grâce divine sa faveur. Mais, il ne se manifeste pas, il ne fait aucune révélation, aucun signe, aucune communication susceptible de prévenir le peuple, qu’il est prisonnier de la mafia criminelle. Dans la précipitation, les généraux membres de la mafia coupables de crimes contre l’humanité, sont responsables de cette grave crise, qui a fait que Bouteflika, pourrait être considéré comme victime d’un enlèvement, suivi d’une séquestration et il est placé sous haute surveillance des militaires français dans un hôpital militaire français et tous les algériens dignes de ce nom doivent demander des comptes à la France sur cette séquestration d’un Président malade. C’est un crime imprescriptible, d’abuser d’une personne malade pour lui faire subir un isolement dans un immeuble spécialement aménagé pour tels cas. La complicité de la France, y est entière. Nous considérons, le régime des généraux mafieux, illégitime, indigne de notre peuple, nous condamnons ces pratiques antidémocratiques et à cette occasion, nous manifestons notre solidarité agissante au frère M. Hichem Aboud, et nous l’invitons à exiger du pouvoir, qu’il nous montre le visage de Bouteflika, que ce régime nous le montre, nous voulons voir son visage et qu’il s’exprime, s’il porte bien , et qu’il n’est pas l’ otage des généraux mafieux et sanguinaires . Loutfi.
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La rédaction