«La liste du nouveau gouvernement, sera présentée en milieu de semaine. Je n’accepterais pas de condition d’aucun parti », a déclaré le chef du gouvernement tunisien Hammadi Jbali rapporte ce samedi 9 février 2013, l’agence officielle Tap.
Cette nouvelle déclaration de Hammadi Jbali, intervient après une soirée télévisée où au moins deux représentants du CPR, ont intervenu sur différents plateaux TV. Le plus intransigeant a été Mohamed Abbou qui a menacé de démission de tous ses ministres, en cas de non accord avec le chef du gouvernement. S’y est ajouté le secrétaire général adjoint du parti du CPR (congrès pour la République), Imed Deymi qui a assuré, samedi aussi, que son parti est décidé à retirer “en fin de journée” ses ministres du gouvernement si “on ne parvient pas à un gouvernement de consensus national”. “Le CPR s’oppose à la désignation d’un gouvernement sans consulter l’assemblée nationale constituante”, a expliqué M Daymi samedi matin à l’agence TAP, exprimant un refus total concernant la proposition pour la constitution d’un gouvernement de technocrates.
Cette nouvelle déclaration de Hammadi Jbali, intervient après une soirée télévisée où au moins deux représentants du CPR, ont intervenu sur différents plateaux TV. Le plus intransigeant a été Mohamed Abbou qui a menacé de démission de tous ses ministres, en cas de non accord avec le chef du gouvernement. S’y est ajouté le secrétaire général adjoint du parti du CPR (congrès pour la République), Imed Deymi qui a assuré, samedi aussi, que son parti est décidé à retirer “en fin de journée” ses ministres du gouvernement si “on ne parvient pas à un gouvernement de consensus national”. “Le CPR s’oppose à la désignation d’un gouvernement sans consulter l’assemblée nationale constituante”, a expliqué M Daymi samedi matin à l’agence TAP, exprimant un refus total concernant la proposition pour la constitution d’un gouvernement de technocrates.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Nous vous invitons ici à donner votre point de vue, vos informations, vos arguments. Nous refusons les messages haineux, diffamatoires, racistes ou xénophobes, les menaces, incitations à la violence ou autres injures. Merci de garder un ton respectueux et de penser que de nombreuses personnes vous lisent.
La rédaction