La Cour de district de Jérusalem a rejeté une plainte du député arabe Talab El-Sana (Ra’am-Ta’al). Il demandait que le film controversé, « L’Innocence des musulmans », produit aux États-Unis, soit rendu inaccessible au peuple d’Israël via travers Internet. La juge Miriam Mizrahi a décidé de s’abstenir de délivrer une ordonnance pour limiter l’accès au film à travers le site YouTube.
El-Sana, ainsi que d’autres arabes israéliens, ont demandé que la page YouTube avec le film soit inaccessible depuis l’Etat Juif.
Bien que les requérants aient demandé une audience d’urgence sur la question afin que le tribunal puisse rendre une ordonnance provisoire rapidement, Mizrahi a déclaré dans sa décision que ceux qui pensent qu’ils seront offensés par la projection du film ne doivent pas le rechercher sur Internet. «Celui qui ne cherche pas le film ne le trouvera pas, de sorte que le public qui pense qu’il sera offensé évitera de le voir», explique Mizrahi avec brio.
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Le tribunal doit se poursuivre les discussions sur cette question le 15 octobre, après que les deux parties soumettent leurs explications détaillées juridiques. Les requérants, par procuration affirment que «le film est extrêmement offensant, profane à l’image du prophète Mahomet d’une manière raciste. Il piétine sa sainteté et son nom, et porte atteinte à l’honneur et à la foi de plus d’un milliard de musulmans dans le monde entier et de plus d’un million de musulmans qui sont citoyens d’Israël. »
Selon la plainte, la publication du film viole le code pénal en offensant les sentiments des musulmans, incitant au racisme et est une injure.
Le procureur Hagit Bleiberg, qui représentait Google (propriétaire de YouTube) dans cette affaire, a souligné que «Personne dans le monde, et en Israël en particulier, n’a reconnu le moteur de recherche Google en tant qu’éditeur. Le créateur du film est son éditeur. C’est lui qui a téléchargé le contenu. YouTube ne l’a pas fait. C’est un fait que le tribunal doit reconnaître pour ne pas nous rendre responsables. »
A la fin de la session, El-Sana a averti que de violentes manifestations peuvent avoir lieu en Israël si l’accès au film n’est pas bloqué. Et oui, en Israël aussi les arabes promettent de violentes émeutes si la démocratie ne leur donne pas raison. Une mentalité que l’on peut retrouver dans la jungle: celui qui ne respecte pas le lion se fait bouffer. A la différence que dans un monde civilisé humain, la arabes qui réclament le retrait de ce film ressemblent davantage à des hyènes dévastatrices qu’à des Rois de notre jungle.
Jeremyah Albert – JSSNews
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El-Sana, ainsi que d’autres arabes israéliens, ont demandé que la page YouTube avec le film soit inaccessible depuis l’Etat Juif.
Bien que les requérants aient demandé une audience d’urgence sur la question afin que le tribunal puisse rendre une ordonnance provisoire rapidement, Mizrahi a déclaré dans sa décision que ceux qui pensent qu’ils seront offensés par la projection du film ne doivent pas le rechercher sur Internet. «Celui qui ne cherche pas le film ne le trouvera pas, de sorte que le public qui pense qu’il sera offensé évitera de le voir», explique Mizrahi avec brio.
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Le tribunal doit se poursuivre les discussions sur cette question le 15 octobre, après que les deux parties soumettent leurs explications détaillées juridiques. Les requérants, par procuration affirment que «le film est extrêmement offensant, profane à l’image du prophète Mahomet d’une manière raciste. Il piétine sa sainteté et son nom, et porte atteinte à l’honneur et à la foi de plus d’un milliard de musulmans dans le monde entier et de plus d’un million de musulmans qui sont citoyens d’Israël. »
Selon la plainte, la publication du film viole le code pénal en offensant les sentiments des musulmans, incitant au racisme et est une injure.
Le procureur Hagit Bleiberg, qui représentait Google (propriétaire de YouTube) dans cette affaire, a souligné que «Personne dans le monde, et en Israël en particulier, n’a reconnu le moteur de recherche Google en tant qu’éditeur. Le créateur du film est son éditeur. C’est lui qui a téléchargé le contenu. YouTube ne l’a pas fait. C’est un fait que le tribunal doit reconnaître pour ne pas nous rendre responsables. »
A la fin de la session, El-Sana a averti que de violentes manifestations peuvent avoir lieu en Israël si l’accès au film n’est pas bloqué. Et oui, en Israël aussi les arabes promettent de violentes émeutes si la démocratie ne leur donne pas raison. Une mentalité que l’on peut retrouver dans la jungle: celui qui ne respecte pas le lion se fait bouffer. A la différence que dans un monde civilisé humain, la arabes qui réclament le retrait de ce film ressemblent davantage à des hyènes dévastatrices qu’à des Rois de notre jungle.
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