Les islamophiles sont unanimes, lorsqu’ils parlent du terrorisme : « l’islam, ce n’est pas ça » disent-ils. Ce qu’ils ne peuvent nier, en revanche, c’est que l’islam crée des terroristes.
Nicolaï Sennels, psychologue danois, et auteur du livre « Parmi les criminels musulmans », paru en 2009, dévoile son expérience de psychologue dans une prison pour jeunes délinquants de Copenhague, majoritairement Musulmans, et expose les différences psychologiques entre les Musulmans et les Occidentaux.
Personne ne naît meurtrier de masse ou violeur ou criminel violent. Alors comment la culture musulmane arrive-t-elle à influencer ses enfants, au point de pousser un nombre relativement élevé de musulmans à nuire à d’autres personnes ?
Le Danemark accueille des étrangers du monde entier et selon les statistiques officielles du “Danmarks Statistik”, explique Sennels, les groupes d’immigrés non musulmans sont moins criminels que les Danois de souche. Par contre, tous les groupes musulmans sont plus criminels que n’importe quel autre groupe ethnique.
Nicolaï Sennels : « En tant que psychologue dans une prison danoise pour jeunes délinquants, j’ai eu la chance unique de pouvoir étudier la mentalité des Musulmans, vu que soixante dix pour cent des jeunes délinquants au Danemark sont d’origine musulmane. J’ai pu comparer leur comportement avec celui de jeunes délinquants non-Musulmans de la même tranche d’âge, issus plus ou moins du même milieu social. Je suis arrivé à la conclusion que l’islam et la culture musulmane contiennent certain des mécanismes psychologiques qui nuisent au développement des personnes et favorisent le comportement criminel. Dès lors, parler des caractéristiques psychologiques de la culture musulmane est très important. »
Nicolaï Sennels :
On pourrait distinguer deux groupes de mécanismes psychologiques, qui, à la fois individuellement et associés, augmentent les comportements violents :
• Un groupe de mécanismes est principalement lié à la religion, qui vise à inculquer les valeurs islamiques chez les enfants le plus tôt possible, par tous les moyens, y compris la violence et l’intimidation. On peut comprendre l’inquiétude d’un parent musulman sur le choix religieux de sa progéniture, car la charia ordonne la peine de mort pour leurs enfants, si ces derniers devaient choisir une autre religion que celle de leurs parents.
• L’autre groupe de mécanismes est plus culturel et psychologique. Ces mécanismes sont la conséquence naturelle de l’influence d’une religion comme l’islam, issue d’une ancienne société tribale d’il y a 1.400 ans, professant une liberté très limitée, par rapport à d’autres religions.
Méthodes classiques de « brainwashing » dans l’éducation musulmane, de prise de contrôle de l’esprit.
Le lavage de cerveau amène les gens à croire ou à commettre des actions contraires à leur propre nature humaine, comme haïr ou tuer des innocents, et cette manipulation psychologique s’obtient traditionnellement par la combinaison de deux facteurs : la douleur et la répétition. Le fait d’infliger consciemment des souffrances physiques et psychologiques finit par briser la résistance de la personne au message constamment répété.
Cette méthode est utilisée par les régimes totalitaires pour réformer les dissidents politiques, par les armées des pays moins civilisés pour former des soldats sans état d’âme, voire impitoyables, et par les sectes religieuses pour fanatiser leurs disciples.
Lors de mes nombreuses séances avec plus d’une centaine de « clients » musulmans, j’ai découvert que la violence et la répétition des messages religieux sont très répandues dans les familles musulmanes.
La culture musulmane n’a tout simplement pas le même degré de compréhension du développement humain que les sociétés civilisées, et la douleur physique et les menaces sont donc souvent les outils privilégiés pour élever des enfants. C’est pourquoi tant de jeunes filles musulmanes sont éduquées à accepter la violence dans leur mariage, et les garçons musulmans à apprendre que la violence est acceptable. Et c’est la raison principale pour laquelle sur un total de dix enfants retirés à leurs parents par les Autorités de Copenhague, neufs sont issus de familles immigrées musulmanes. Utiliser la douleur et l’intimidation pour imposer la discipline aux enfants fait partie de la tradition musulmane, et cette méthode est largement appliquée dans les écoles musulmanes, même en Occident [NDT: elle explique également le blocage de l'intelligence et de la capacité créative généralisés dans les sociétés arabo-musulmanes].
Ces procédés, combinés avec des répétitions incessantes de versets coraniques dans les écoles islamiques et les familles, empêchent les enfants de se défendre contre l’endoctrinement coranique, même si ce dernier s’oppose aux lois laïques, à la logique, et à la compréhension de la compassion.
Nous avons pu l’observer sur de nombreuses études psychologiques, briser le carcan éducatif une fois adulte demande un effort considérable quand on a subi une telle influence dans son enfance.
Dès lors, il n’est pas étonnant de constater que les musulmans considérés en tant que groupe affichent une foi plus forte par rapport à celle d’autres groupes religieux.
Non seulement une éducation traditionnelle musulmane ressemble à un lavage de cerveau classique, mais la culture qu’elle génère cultive quatre caractéristiques psychologiques, qui aboutiront, par la suite, à un comportement violent. Ces quatre caractéristiques psychologiques sont : la colère, la confiance en soi, la responsabilité envers soi-même et l’intolérance.
La colère
Dans la culture occidentale, la colère est vue comme un signe de faiblesse, voire un enfantillage. Des explosions de colère incontrôlées sont souvent considérées comme le meilleur moyen de perdre la face, en particulier dans les pays du Nord. Et si les gens en colère peuvent susciter la crainte, ils ne sont jamais respectés.
Dans la culture musulmane, la colère est beaucoup mieux acceptée. Etre capable d’intimider les gens est un signe de force et une source de respect. Des groupes ethniques musulmans voire des pays, instituent fièrement « des jours de colère » et utilisent des expressions telles que «sainte colère», un terme qui semble contradictoire, dans les cultures pacifiques.
Un comportement agressif, accompagné de menaces, est en général bien accepté, voire même souhaité, lors de règlements de conflits. Si un Musulman ne répond pas à une insulte d’une manière menaçante, il est considéré, comme un être faible, une personne, en qui on ne peut faire confiance, il perd dès lors la face et ne suscite que du mépris.(une femme musulmane, par contre, doit rester humble, calme et réservée)
La confiance en soi
Dans les sociétés occidentales, la capacité de gérer la critique de manière constructive, si elle est justifiée, et avec un haussement d’épaules si elle est erronée, est considérée comme une expression de la confiance en soi et d’authenticité. Comme nous avons tous pu le remarquer, c’est loin d’être le cas chez les Musulmans.
Dans le monde musulman, la critique, même fondée, est considéré comme une atteinte à l’honneur, et l’offensé est tenu de le restaurer par tous les moyens, quitte à réduire l’offenseur au silence. Les Musulmans essayent rarement de contrer les critiques via des arguments logiques, ils préfèrent faire taire les critiques, sous le prétexte d’avoir été offensés, par des injures, des menaces ou le meurtre de l’offenseur.
Cette différence culturelle est extrêmement importante quand il s’agit de négocier avec des régimes ou des organisations musulmanes. Notre façon de régler des désaccords politiques passe par le dialogue diplomatique, et par les appels aux leaders musulmans à faire preuve de compassion, de bon sens et à accepter des compromis. Cette approche pacifique est considérée par les Musulmans comme une expression de faiblesse et un manque de courage. Eviter de cette façon les risques d’une confrontation est synonyme de faiblesse, et dans la culture musulmane, c’est une invitation à l’exploitation et à la soumission de l’autre.
La responsabilité envers soi-même
Le troisième facteur psychologique concerne la responsabilité de l’individu envers lui-même. Ici le phénomène du «locus of control » (lieu de contrôle) joue un rôle majeur.
Le locus de contrôle (LC) se rapporte à un trait de personnalité, dans lequel se manifeste la croyance fondamentale que ce qui arrive dans la vie résulte de ses propres actions ou, au contraire, d’influences extérieures. Les personnes, qui attribuent de préférence une causalité interne aux événements pensent pouvoir exercer un certain contrôle à la fois sur les événements et le tissu contextuel de leur vie, et sur les « renforceurs » qui y sont associés, c’est-à-dire sur les résultats dont ils perçoivent qu’ils viennent récompenser leurs comportements et attitudes.
A l’inverse, les personnes penchant pour une causalité externe croient ne pas pouvoir influencer les événements et circonstances de leur vie, et attribuent les phénomènes de renforcement au hasard – ou à d’autres personnes plus puissantes.
Les personnes éduquées selon les standards occidentaux ont généralement un «lieu de contrôle intérieur » et elles décident elle-mêmes de leur vie, de la façon de gérer leurs émotions et les situations. Elles font leurs propre choix, et ont leur propre vision du monde.
A l’inverse, les musulmans sont éduqués à accepter que leurs vies sont contrôlées par des éléments extérieurs. Ils ne sont pas maîtres de leur destin. Les « Inch Allah » (si Allah le veut) foisonnent dans leurs conversations. Les nombreuses lois religieuses, les innombrables interdits, les traditions, et les puissants guides spirituels, leur laissent très peu de place pour la responsabilité individuelle. C’est la racine de cette fameuse mentalité victimaire, si caractéristique des musulmans : le coupable est toujours l’autre, et c’est lui qui doit être blâmé et puni pour tous les problèmes.
La tolérance
Et enfin, le quatrième facteur psychologique, qui rend le musulman vulnérable au message violent du coran concerne la tolérance.
Dans les sociétés occidentales, une personne ouverte et tolérante est définie comme quelqu’un de bien.
Dans les sociétés islamiques, on enseigne aux Musulmans qu’ils sont supérieurs aux non-musulmans, qu’ils sont destinés à les dominer, et qu’ils doivent dès lors se démarquer socialement et émotionnellement de ces infidèles.
Les nombreux versets et hadiths haineux du coran visant à déshumaniser les Musulmans ressemblent fortement à la propagande psychologique utilisée par les dictateurs contre leur propre peuple, afin de le préparer mentalement au combat et au meurtre de l’ennemi. Il est psychologiquement beaucoup plus facile de tuer une personne que vous détestez et que vous ne percevez pas comme un être humain à part entière.
Pourquoi l’islam crée des jihadistes ?
La colère, la faible estime de soi, une mentalité de victime, et la volonté de se laisser aveuglement guider par des Autorités extérieures sont les ingrédients d’un cocktail culturel et psychologique mélange de peur et de violence. Ajoutez à cela une vision agressive et discriminatoire envers les non-musulmans, imposée aux Musulmans par l’endoctrinement via la douleur, l’intimidation, et l’engourdissement de l’esprit par la répétition d’un nombre incalculable de versets du Coran qui incitent à la haine et à la violence contre les non-musulmans, et il est dès lors facile de comprendre la raison pour laquelle l’islam crée des monstres, des terroristes, des jihadistes.
Le problème psychologique au sein de l’islam
• Le problème avec l’islam et la culture musulmane, c’est l’existence d’un grand nombre de facteurs psychologiques qui incitent les adeptes à avoir des comportements violents envers les non-musulmans, si bien qu’un affrontement violent, du moins d’un point de vue psychologique, devient inévitable.
Avec l’ensemble des pressions exercées contre nous, et ces sentiments violents à notre égard, je ne vois pas comment nous pourrions éviter d’affronter la tempête qui se prépare.
Pour que les Musulmans changent, ils doivent non seulement le vouloir et en être capables, mais aussi être autorisés à le faire. Hélas, seule une infime minorité de musulmans a cette chance.
Beaucoup trop de gens sous-estiment la puissance de la psychologie intégrée dans la religion et la culture.
Aucune armée de travailleurs sociaux, aucun Etat providence, aussi généreux soit-il, aucun politicien au discours mielleux et aux belles promesses, aucun journaliste politiquement correct, aucune démocratie ne peut arrêter ces forces islamiques déferlantes. L’unique chose que les émigrés musulmans craignent est le renvoi au pays.
Seules des lois sensées sur l’immigration et l’islamisation de nos pays pourront limiter les dégâts et les souffrances, mais basé sur mes recherches et mon expérience professionnelle de psychologue pour musulmans, j’estime que nous ne serons pas en mesure de dévier ou d’éviter cette attaque agressive contre notre culture.
• Les imams sont une quatrième branche du gouvernement. Ils exercent une très forte influence sur les adeptes. Pour la plupart des Musulmans, la parole de l’imam a force de loi, ils sont des guides pour la vie privée et pour les opinions politiques. Le pouvoir qu’exerce les autorités islamiques sur les Musulmans a très souvent plus d’influence et est plus respecté que les lois et normes séculières. Et cette vérité là, nos gouvernements refusent obstinément de la voir.
Si l’intégration consiste simplement en l’apprentissage de la langue et l’obtention d’un emploi, cela ne pose aucune difficulté. Mais si l’intégration demande également le respect des non-musulmans, cela devient impossible pour la plupart des Musulmans :
• ils se considèrent comme des êtres à part, supérieurs aux non-Musulmans.
• Ils essayeront toujours de vivre en communautés fermées,
• ils recréent leurs propres sociétés islamiques parallèles, des mini bandes de Gaza, et n’éprouvent aucun respect pour les non-Musulmans.
• Une véritable intégration n’implique pas nécessairement une conversion religieuse. Toutefois, pour les Musulmans, cela présuppose une conversion culturelle, et rares sont les Musulmans qui en ont la volonté, la liberté sociale, la force de caractère, pour parcourir un tel cheminement psychologique.
Si notre société démocratique et instruite pouvait se concentrer et s’organiser pour préserver nos valeurs et nos constitutions, alors nous pourrions gagner ce conflit, initié par les adeptes consanguins de la charia. La question est de savoir combien cela nous coûtera en sacrifices, en larmes et en sang.
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Source : ». Psychology: Why Islam creates monsters “ by Nicolai Sennels” (traduit et adapté par Rosaly)
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La rédaction