D’abord, avant de prendre le large, une remarque s’impose: Pourquoi cette insistance de Soumaya à utiliser son nom de jeune fille et non celui de son mari ? Peut-être bien qu’elle trouve son épanchement sémantique moins tranchant quand sa signature est affublée de Bouchleka, auquel cas c’est son obscur époux qui en broierait de noir. Bien sûr, elle préfère se cacher derrière le gourou politique que derrière l’apprenti géographe. C’est bien connu, un vieux démon supplante de loin un sorcier en herbe .Ce n’est après tout qu’un détail.
Elle se démène , à en perdre pied et haleine, pour nous la jouer grand esprit politique et acrobate en neurones, elle en grille quelques unes rien que pour faire montre de son art consommé de l’insulte et nous persuader, sans s’en rendre compte, de sa vision étriquée et décalée des choses. Cependant, on ne peut que lui reconnaitre la virtuosité, vraisemblablement héréditaire, de savoir combiner la fourberie légendaire de son cher père avec l’arrogance fascisante de son mari et d’alterner la langue de bois avec les clichés tordus. Un mélange détonant pour passer inaperçu ! Il est bien connu que certains mots, comme certaines bouches, ont si mauvaise haleine. Les siens , pire encore, outre dégagent les effluves de la rancune et de l’intolérance. Une odeur de cynisme et de sang, propre aux charognards qui ne se nourrissent que de leur veulerie.
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