Alors que son fils, Tamim était entrain de prendre les rennes de l’émirat, Sheikha Mozah était au Sénégal pour une raison indéterminée.
La troisième épouse de l’Emir du Qatar qui vient de céder son trône à son fils, a presque été expulsée du Sénégal à cause de la venue du président américain Barack Obama.
En effet, selon la presse sur place, son jet privé a été interdit d’atterrir à l’aéroport Léopold Sédar Senghor mais plutôt à celui de Saint-Louis. En arrivant, elle a été conduite, avec tout son staff, dans un hôtel de l’île de Saint-Louis où elle était surveillée de près.
Certaines sources parlent même d’une éventuelle discorde entre le Qatar et les Etats Unis et que le remplacement à la tête du petit pays du Golfe vient suite à des pressions américaines.
Comment interpréter cette info
D’abord, qu’est-ce qu’elle est allée faire au Sénégal la Sheikha Mozah ? Qu’y avait-elle de si important à faire au point de rater l’investiture de son fils chéri en tant qu’Emir du Qatar ?
Et d’un autre côté, est-ce que les choses ont à ce point dégénéré entre les Etats Unis et l’ancienne direction du Qatar ? Ou est-ce simplement un excès de zèle de la part des autorités sénégalaises qui ne badinent pas avec la sécurité sur la venue de Barack Obama ?
Ces autorités ont en effet, et d’après certains journaux africains « presque » expulsé la princesse royale du Qatar, Sheikha Mozah avant-hier, lundi, soir vers les coups de 17 heures 30 mn lorsque son jet privé, en provenance de la Guinée-Bissau, a été interdit d’accès à l’aéroport Léopold Sédar Senghor et détourné sur celui de Saint-Louis.
En compagnie de ses deux petites sœurs, sa petite cour et ses gardes du corps, la princesse aurait atterri à Saint Louis vers 18 heures. Elle aurait aussitôt été accueillie par les forces de sécurité qui, après avoir vérifié son identité, l’ont conduite dans un hôtel de l’île de Saint-Louis où Sheikha Mozah surveillée de près, serait restée cloitrée dans sa chambre avant de quitter le territoire, le lendemain matin, pour rallier le Maroc en présence du commissaire central, Ibrahima Diop, un gradé de la gendarmerie nationale et ses hommes, des agents de la Police aérienne et des frontières et des éléments de la BMS.
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La rédaction