La tension monte entre le gouvernement et l’organisation la plus structurée de la mouvance salafiste jihadiste, Ansar ach’charia (les partisans de la Charia) qui a prévu d’organiser son troisième rassemblement national annuel dimanche à Kairouan. Peut-elle aller jusqu’à la confrontation et enterrer un processus de transition affaibli par les nombreux retards ?
Ansar ach’Charia est notamment mise en cause dans l’attaque de l’ambassade américaine le 14 septembre dernier. Suite à ces événements, son leader, Abu Iyadh, est entré dans la clandestinité.
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La rédaction