Depuis aussi longtemps que je me souvienne, documentaires sur la nature et les manuels ont dit que flocage oiseaux et poissons en bancs se rassemblent dans de grands groupes coordonnés pour se protéger des prédateurs. Cette explication prend tout son sens. Après tout, beaucoup d'yeux peut repérer un danger plus facilement, et de nombreux corps peut confondre les sens des chasseurs. Mais le bon sens nous amène souvent égarés dans la biologie, et très peu de gens ont vérifié pour voir si un mouvement collectif fait de la sécurité offre des prédateurs.
Christos Ioannou est une de la première. En permettant un poisson prédateur pour chasser la proie virtuelle, dont les mouvements qu'il ne pouvait contrôler avec précision, Ioannou a montré que les groupes coordonnés sont, en effet, moins susceptibles d'être attaqués. Jusqu'à présent, les résultats sont évidents, mais Ioannou ont une implication fascinante: les prédateurs peuvent déclencher l'évolution des mouvements collectifs, même si leur proie ne peut pas les voir. Alors que nous pensons souvent de flocage et de hauts-fonds comme une réponse aux avances d'un chasseur, que la réponse ne doit pas être un acte délibéré. Proie menacés pourrait évoluer à se déplacer comme une même sans aucune connaissance de la menace qu'ils font face.
Ioannou travaille actuellement à l'Université de Bristol, mais il a fait son ...
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