Israël contrôle la plupart des ressources palestiniennes en eau en Cisjordanie et refuse d'augmenter la quantité d'eau qu'il alloue aux Palestiniens, ce qui provoque des pénuries constantes dans la plus grande partie de la Cisjordanie .
Dans le secteur de Bethléem pour exemple, cet été, par deux fois les Palestiniens ont vu leur fourniture en eau complètement coupée pendant deux semaines de canicule. Pour tenter de faire face, les Palestiniens qui peuvent se le permettre ont construit de grandes citernes de collecte d'eau sur leurs toits, pour les jours où Israël la branche, mais souvent ces citernes ou celles construites pour recueillir l'eau de pluie sont détruites par les colons israéliens ou l'armée. Une situation qui oblige les Palestiniens à acheter leur propre eau à Israël à des prix prohibitifs.
Sur un toit d'Hébron, deux citernes percées par des tirs de l'armée d'occupation
A Gaza, la situation est encore pire. Là, entre 90 et 95% de l'eau est contaminée et impropre à la consommation humaine, et en conséquence, une crise de la santé est en cours. Attili prévoit que d'ici 2 ans, il pourrait ne plus y avoir d'eau potable à Gaza, puisque Israël n'autorise pas le transfert de l'eau de la l'aquifère de montagne en Cisjordanie à la population de Gaza.
Il y a des différends sur le nombre total de colons illégaux en Cisjordanie (les estimations vont de 300.000 à 650.000 colons, selon la définition à laquelle on se réfère pour les classer), mais ce qui ne souffre d'aucune contestation, c'est la disparité dans l'accès à l'eau pour les Palestiniens. Quel que soit le chiffre retenu, les colons israéliens illégaux vivant en Cisjordanie en violation du droit international n'ont aucune restriction d'accès à l'eau et en utilisent plus que les 2,3 millions de Palestiniens de Cisjordanie , pour arroser leurs vertes pelouses et leurs jardins luxuriants, pour leurs fermes à l'irrigation intensive et pour remplir leurs piscines privées.
(1) Amnesty International, mars 2010.
Source : IMEMC
Traduction : MR pour ISM
Dans le secteur de Bethléem pour exemple, cet été, par deux fois les Palestiniens ont vu leur fourniture en eau complètement coupée pendant deux semaines de canicule. Pour tenter de faire face, les Palestiniens qui peuvent se le permettre ont construit de grandes citernes de collecte d'eau sur leurs toits, pour les jours où Israël la branche, mais souvent ces citernes ou celles construites pour recueillir l'eau de pluie sont détruites par les colons israéliens ou l'armée. Une situation qui oblige les Palestiniens à acheter leur propre eau à Israël à des prix prohibitifs.
A Gaza, la situation est encore pire. Là, entre 90 et 95% de l'eau est contaminée et impropre à la consommation humaine, et en conséquence, une crise de la santé est en cours. Attili prévoit que d'ici 2 ans, il pourrait ne plus y avoir d'eau potable à Gaza, puisque Israël n'autorise pas le transfert de l'eau de la l'aquifère de montagne en Cisjordanie à la population de Gaza.
Il y a des différends sur le nombre total de colons illégaux en Cisjordanie (les estimations vont de 300.000 à 650.000 colons, selon la définition à laquelle on se réfère pour les classer), mais ce qui ne souffre d'aucune contestation, c'est la disparité dans l'accès à l'eau pour les Palestiniens. Quel que soit le chiffre retenu, les colons israéliens illégaux vivant en Cisjordanie en violation du droit international n'ont aucune restriction d'accès à l'eau et en utilisent plus que les 2,3 millions de Palestiniens de Cisjordanie , pour arroser leurs vertes pelouses et leurs jardins luxuriants, pour leurs fermes à l'irrigation intensive et pour remplir leurs piscines privées.
(1) Amnesty International, mars 2010.
Source : IMEMC
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