Un bébé prématuré déclaré mort-né dans un hôpital du nord-est de l'Argentine a été retrouvé vivant 12 heures plus tard dans son petit cercueil. C'est grâce à l'insistance de la mère du nourrisson, qui désirait le revoir alors qu'il avait déjà été transféré à la morgue, que le bébé a pu être retrouvé. Le sous-secrétaire à la Santé argentin, Rafael Sabatinelli, a annoncé l'ouverture d'une enquête, estimant que le personnel de l'hôpital impliqué dans ce qui est arrivé « devra rendre des comptes ».
Les faits sont authentiques, et le déroulement de l'affaire rappelle étrangement un autre scandale de "morts-vivants" survenu, là aussi, dans un hôpital du continent sud-américain : En septembre dernier, dans les environs de Rio de Janeiro, au Brésil, une sexagénaire hospitalisée pour une infection pulmonaire avait été donnée pour morte par le médecin de garde et a passé deux heures dans un sac en plastique dans la morgue de l'hôpital avant d'être découverte vivante par sa fille, qui voulait l'embrasser pour la dernière fois. L'histoire est cette fois tout aussi incroyable et se déroule à l'hôpital Perrando à Resistencia, capitale du Chaco, une province du nord-est de l'Argentine.
Une mère du nom d'Analia Bouter y est venue pour accoucher de sa petite fille, mais le bébé y a été déclaré mort-né. 12 heures plus tard, et alors que la nuit était tombée pour laisser place au brouillard et à la Lune, le bébé, transféré à la morgue, a été retrouvé vivant dans son cercueil par ses deux parents. La mère, encore toute retournée, s'est livrée : « Je suis allée, la nuit, avec mon époux, trouver le petit cercueil. Soudain, j'ai entendu un gémissement : Notre fille était couverte d'une fine couche qui ressemblait à de la rosée ». Le directeur de l'hôpital, tout aussi chamboulé, s'est pour sa part risqué à un début d'explication : « Le bébé aurait pu souffrir d'une hypothermie et ce phénomène l'aurait préservé ».
Les parents, qui pensaient initialement appeler le bébé Luciana Abigail, ont depuis changé d'avis en décidant de lui donner le nom de Luz Milagros (ce qui signifie en espagnol "Lumière" et "Miracles"). Mais pour certaines personnes oeuvrant dans cet hôpital, désormais braqué par des journalistes venus des quatre continents, les miracles pourraient ne pas être au rendez-vous. A Buenos-Aires, le sous-secrétaire à la Santé, Rafael Sabatinelli, est en effet furieux : « Chaque membre du personnel impliqué dans ce qui est arrivé a des responsabilités et devra rendre des comptes ».
Photo : Analia Bouter
Une mère du nom d'Analia Bouter y est venue pour accoucher de sa petite fille, mais le bébé y a été déclaré mort-né. 12 heures plus tard, et alors que la nuit était tombée pour laisser place au brouillard et à la Lune, le bébé, transféré à la morgue, a été retrouvé vivant dans son cercueil par ses deux parents. La mère, encore toute retournée, s'est livrée : « Je suis allée, la nuit, avec mon époux, trouver le petit cercueil. Soudain, j'ai entendu un gémissement : Notre fille était couverte d'une fine couche qui ressemblait à de la rosée ». Le directeur de l'hôpital, tout aussi chamboulé, s'est pour sa part risqué à un début d'explication : « Le bébé aurait pu souffrir d'une hypothermie et ce phénomène l'aurait préservé ».
Les parents, qui pensaient initialement appeler le bébé Luciana Abigail, ont depuis changé d'avis en décidant de lui donner le nom de Luz Milagros (ce qui signifie en espagnol "Lumière" et "Miracles"). Mais pour certaines personnes oeuvrant dans cet hôpital, désormais braqué par des journalistes venus des quatre continents, les miracles pourraient ne pas être au rendez-vous. A Buenos-Aires, le sous-secrétaire à la Santé, Rafael Sabatinelli, est en effet furieux : « Chaque membre du personnel impliqué dans ce qui est arrivé a des responsabilités et devra rendre des comptes ».
Photo : Analia Bouter
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